L'Équipe du 18/02 : Troyes enfonce Metz

[Janis57]

Edité: Propos sans fondements

[stepslo]

J'ai l'impression que chaque bosse, c'est une occase...
Plus grande est la bosse et plus grande est l'occase peut-être.

C'est à peu près ça

Et l'on voit que le plus grosse occasion du match, elle était pour Metz et en début de partie.

Ca me laisse perplexe : ça signifierait qu'entre la 63ème et la 90ème Troyes aurait eu beaucoup de grosses occasions. Or il n'en fut rien. C'était plutôt l'inverse...

[DCD]

Ca me laisse perplexe : ça signifierait qu'entre la 63ème et la 90ème Troyes aurait eu beaucoup de grosses occasions. Or il n'en fut rien. C'était plutôt l'inverse...

Non, à part l'occasion du but, Troyes a eu peu d'occasions de marquer entre la 63ème et 90ème.

[Jerk]

On se dirigeait vers un 0-0 avant que Deplagne ne s'arrache.

Ou plutôt avant que notre arrière gauche ne le regarde partir tranquille et qu'un de nos arrières centraux se dise qu'on peut laisser un attaquant adverse seul dans la surface sans danger...
Niakhaté s'est fait bouffer au duel, je ne lui en veux pas. J'en veux clairement aux 2 autres pour leur laxisme, faute grave pour moi à ce moment du championnat, dans notre situation et face à notre concurrent le plus direct...

[Jerk]

desole mais ds notre situation, à la 87 eme minute, tu n essaie pas de relancer, tu dégages le ballon en touche pour ne prendre aucun risque

En touche franchement vu comme il est placé et qu'ils arrivent tous les 2 en même temps sur le ballon donc obligé de défendre avec la jambe droite pour être 1er au ballon, ça aurait été short. Ca aurait plus fait corner que touche pour le coup...
Quoi qu'il en soit il perd effectivement son duel. Mais rien à voir avec un mec qui trottine et l'autre qui lâche son marquage de façon irréaliste.

[stepslo]

Ca me laisse perplexe : ça signifierait qu'entre la 63ème et la 90ème Troyes aurait eu beaucoup de grosses occasions. Or il n'en fut rien. C'était plutôt l'inverse...

Non le graphe est cohérent, entre le 63eme et le but, Troyes ne se créait plus d'occasions du tout, (d'où la platitude de la ligne)

On se dirigeait vers un 0-0 avant que Deplagne ne s'arrache.

OK mais comment expliques-tu que la "platitude" des non occasions troyennes se situe au-dessus de la multiplicité des occasions messines de la même période ?