Moselle open

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djiba.07
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Re: Moselle open

Messagepar djiba.07 » 26 sept. 2011, 20:52

Mais n'importe quoi, c'est : Sunny day - Stero MCS :bieres:

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Symph57
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Re: Moselle open

Messagepar Symph57 » 26 sept. 2011, 21:21

Relis la conversation ... Mais merci

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sablonnais
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Re: Moselle open

Messagepar sablonnais » 25 avr. 2013, 14:42

Républicain Lorrain
Publié le 25/04/2013

Yvon Gérard : « Il nous faut une salle de dix mille places »

Pour Yvon Gérard, manager général du tournoi messin, l’avenir du Moselle Open passe par un équipement beaucoup plus important que celui de Metz Expo, où il s’est installé en 2011.
A moins de cinq mois de la onzième édition du Moselle Open, où en êtes-vous dans la préparation du tournoi ? « Il se dit beaucoup de choses sur le Moselle Open et je tiens à en remettre certaines à plat. Il y a un succès médiatique, sportif et populaire, mais on est loin du succès économique. C’est difficile de boucler notre budget. On a donc procédé à une augmentation importante du capital en interne : on a levé 500 000 euros. Quasiment tous les associés ont suivi, preuve que tout le monde croit en ce projet. »

INTERVIEW

• Quelles difficultés rencontrez-vous ? « Quand on achète le tournoi il y a trois ans, on investit deux millions d’euros : 1,2 est apporté par les associés et on emprunte 800 000 auprès d’une banque locale. Le chiffre d’affaires progresse tous les ans, le taux de renouvellement de tous nos espaces est très élevé, il y en aura quatre supplémentaires dans le village cette année, la zone commerciale sera multipliée par deux… Et, pourtant, on n’y arrive pas. On a généré dix à douze millions d’euros de chiffre d’affaires depuis qu’on a racheté le tournoi. Le budget est de trois millions d’euros mais on se trimballe une perte cumulée de 800 000 euros sur trois ans. »

• Malgré tout, les perspectives semblent rassurantes pour uné épreuve qui a été récompensée par l’ATP du prix de l’excellence avec la meilleure progression et meilleure organisation en 2012… « Oui. Par rapport à ce qu’on a fait depuis la dernière édition, on s’est mobilisé de manière très forte. Après, on manque de moyens humains : on a quatre personnes et demie qui travaillent toute l’année sur le Moselle Open. Moi, je m’engage de manière bénévole. »

• Comment consacrez-vous votre temps sur ce rendez-vous ? « Je suis allé voir les autres, j’ai comparé avec les tournois équivalents, notamment en France, à Marseille et à Montpellier. On confronte nos problématiques. Et je me rends compte qu’en déménageant à Metz Expo, ce qui nous a valu "l’Award" de l’ATP, on a grandi mais on a également des contraintes supplémentaires. »

« On ne se gave pas ! »

• Lesquelles ? « Metz Expo nous coûte un tiers de notre budget entre la location et l’aménagement du site. On arrive sur un site qui n’est pas chauffé, éclairé, équipé. En 2010, pour notre première fois à la tête du tournoi, le compte de résultat était positif. Le site n’était pas adapté mais il était équipé. Aujourd’hui, ce sont des charges importantes. Plus on va prendre de l’espace, plus on va payer cher. Et je ne suis pas sûr de le retrouver dans le chiffre d’affaires. Il est hors de question d’augmenter la billetterie publique. On est blindé dès le mercredi ! Si je multiplie les partenariats, je ne peux pas les multiplier par des tarifs exorbitants. »

• Comment vous placez-vous par rapport à l’Open 13 à Marseille ? « Comme à Metz, c’est un tournoi ATP 250, son budget est de quatre millions, son bassin économique est plus grand. Quant à l’équilibre public-privé, il est différent : chez nous, avec le conseil général et la ville, c’est du 30-70 ; à Marseille, avec le conseil général, la ville et la communauté d’agglomération, les fonds publics représentent 45 % du budget. Et ils sont dix-sept à travailler toute l’année dessus. »

• Vous plaignez-vous de votre sort ? « Non, c’est une constatation. Depuis quelques mois, j’entends dire qu’on se gave… Eh bien, non ! On adore notre événement. On a un actif qui prend de la valeur. Notre ambition, c’est que le Moselle Open reste le plus longtemps possible à Metz. Pour cela, il nous faut une salle de dix mille places. C’est un besoin. »

• Est-ce les enseignements que vous tirez ? « Le constat est là. On perd de l’argent mais on fait un événement fantastique. Je ne vais pas perdre de l’argent pendant dix ans, je ne vais pas retourner aux Arènes. Tout le monde doit prendre conscience qu’on a besoin de cet équipement. Il faut se rendre compte que c’est une chance inouïe d’avoir un événement de cette importance en Lorraine, avec un formidable ambassadeur qu’est Jo-Wilfried Tsonga. »

• N’en demandez-vous pas beaucoup ? « On a un événement qui pourrait faire vivre cette salle. Il y a une équipe de handball à Metz qui est en finale d’une Coupe d’Europe féminine. Cela pourrait aussi tirer les garçons vers le haut. On veut éviter de vendre le tournoi parce qu’on n’a plus les moyens de l’organiser. Je suis continuellement démarché et approché par des agents pour cela. »
Maxime RODHAIN.

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Re: Moselle open

Messagepar ouragan » 26 avr. 2013, 14:59

Il veut quoi ? une salle neuve ??? :gne:

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Re: Moselle open

Messagepar D0menech » 02 mai 2013, 13:46

ils ont qu a le faire a St Symph

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sablonnais
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Re: Moselle open

Messagepar sablonnais » 02 mai 2013, 14:40

Républicain Lorrain
Publié le 26/04/2013
Tennis - Moselle Open
Le conseil général monte au filet

Jean François, vice-président du CG57, rejoint Yvon Gérard : « Il nous manque cruellement une salle modulable de dix mille places. »

Hier, dans nos colonnes, Yvon Gérard a fait part de son souhait de voir le Moselle Open investir un lieu plus grand que celui de Metz Expo où il s’est installé en 2011, huit ans après sa naissance dans les Arènes messines. « Il nous faut une salle de dix mille places. C’est un besoin », a lancé le manager du tournoi ATP 250. Selon lui, l’outil est indispensable pour pérenniser ce rendez-vous dans la région, sachant que les actionnaires viennent de réinvestir 500 000 euros pour boucler le budget s’élevant à trois millions.

Le conseil général de la Moselle, partenaire n°1 de l’épreuve, n’a pas tardé à réagir aux propos tenus par le dirigeant messin. « Yvon Gérard a tout à fait raison. Il nous manque cruellement une belle et grande salle modulable de dix mille places. Comme à Montpellier. C’est vrai pour le tennis, pour le handball mais aussi pour l’organisation d’autres grands tournois, matches, rencontres, mais aussi pour des spectacles », a fait savoir Jean François, vice-président du CG57 délégué aux sports. « Depuis près de deux ans maintenant, je défends l’idée d’un grand pôle sportif dans l’agglomération messine comprenant bien sûr un tel équipement. Le conseil général de la Moselle est conscient de cette nécessité et c’est pour cela que nous attendons un peu plus de clarté et de réactivité du côté de la BA 128. En matière d’équipements sportifs d’envergure, il serait grand temps que les différents partenaires concernés se mettent autour de la table. Je rappelle que la BA 128, c’est 450 hectares au milieu d’un bassin de population de 300 000 habitants. Messieurs Rausch ou Kieffer auraient-ils laissé ces terrains en friches ? » s’interroge le conseiller général du canton de Verny.
M. R.

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sablonnais
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Re: Moselle open

Messagepar sablonnais » 12 sept. 2014, 00:58

RL 11/09/2014
par Michael PERRET

Moselle Open (du 13 au 21 septembre)
Fenêtre sur court


Encore en plein chantier à 72 h de son coup d’envoi, la douzième édition du Moselle Open s’est dévoilée, hier. L’état des lieux avec Yann Kaysen, directeur commercial et logistique de l’événement.

Son temps est compté. Le tennis le dévore. Aux Arènes de Metz, Yann Kaysen, directeur commercial et logistique du Moselle Open, est sur le pied de guerre depuis 7 h du matin. Il sera libéré à 21 h. Horaires inflexibles, discipline monstre : il faut au moins cela pour préparer une douzième édition d’ores et déjà pas comme les autres. Tour d’horizon des nouveautés à deux jours des premiers coups de raquette.

Un retour aux Arènes très attendu
C’est le très gros changement de cette édition. Après trois années passées à Metz-Expo, le Moselle Open est de retour aux Arènes, son berceau originel. Souhaité par beaucoup de monde et fruit d’une longue réflexion entre collectivités, partenaires et organisation, le déménagement s’est bien passé selon Yann Kaysen : « On a toujours été dans les temps et on a réussi, avec nos structures éphémères, à garder de la place pour tout le monde. Le seul souci, c’est qu’à Metz-Expo, il nous suffisait de monter et démonter alors qu’ici, il faut faire salles vides avant de débuter le montage. »

Les courts d’entraînement délocalisés
« C’était impossible de faire autrement. » Dans la voix de Yann Kaysen, une pointe de déception : les courts d’entraînement ont, comme à chaque édition aux Arènes, été rebasculés vers l’ASPTT Metz. « Un court en plus, c’était 1000 m² de structure supplémentaire , explique le directeur commercial et logistique. 800 m² rien que pour le court et 200 m² pour les tribunes. Soit un coût supplémentaire de plus de 70 000 euros. Heureusement, aux Hauts-Peupliers, les courts d’entraînement sont toujours en excellent état et on ne sera qu’à cinq minutes en voiture des Arènes. »

Les joueurs au cœur de l’événement
Périmée, la zone des joueurs de 2010 nichée dans un coin des Arènes, entre voitures aux vitres teintées et passages éclair. Le plan 2014 voit les vestiaires des champions collés au hall du public. « Même s’ils auront, évidemment, droit à leur intimité, c’était un de nos souhaits , souligne Yann Kaysen. Il faut que les gens puissent les voir, les croiser, qu’ils fassent partie de l’événement. » Côté coulisses, Wawrinka et ses collègues seront plutôt bien servis avec notamment un sauna, une salle de jeux, une salle de musculation et un grand espace pour les kinés.

Le Hawk-Eye en invité
L’innovation technologique 2014, c’est le Hawk-Eye. Régulièrement utilisé en Grand Chelem, l’arbitrage vidéo fait son arrivée à Metz. Un atout évident pour séduire les joueurs, désormais habitués à l’outil, et au plus grand plaisir de l’ATP (Association du tennis professionnel), « qui avait préconisé son apparition dans les points du tournoi à améliorer. »

Un déménagement en chiffres

2 000. Puisque le Moselle Open ne se résume plus à un simple rendez-vous sportif depuis longtemps, 2 000 m² d’installations supplémentaires ont été mis en place. Pour servir tout le monde : un parc de jeux dédié aux enfants, des cuisines éphémères mais spacieuses pour la restauration et un espace VIP repensé dans son intégralité.

5 000. Soit le nombre de sièges aux Arènes après transformation totale. Grâce à deux tribunes modulables achetées pour le handball et le tennis, l’enceinte messine a vu ses standards agrandis de 700 places.

10 000. En mètres carrés, la capacité d’accueil. C’est évidemment beaucoup moins grand que Metz-Expo (18 000 m²) mais Yann Kaysen a trouvé une compensation non-négligeable : « Ici, nous sommes dans une vraie salle de sport ».

35 000. C’est le coût, en euros, de la mise en place et de la location du Hawk-Eye, l’arbitrage vidéo du tennis, souhaitées par les organisateurs du Moselle Open,

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sablonnais
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Re: Moselle open

Messagepar sablonnais » 09 oct. 2016, 14:47

Yvon Gérard annonce la disparition du tournoi

Adieu le Moselle Open, on t’aimait bien… Clap de fin sur une belle aventure, qui aura duré de 2003 à 2016. Le tournoi de tennis part à Taïwan, plus riche. Yvon Gérard, patron meurtri mais lucide, s’explique.
http://www.republicain-lorrain.fr/sport ... du-tournoi

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Pierre-lost-in-Paris
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Re: Moselle open

Messagepar Pierre-lost-in-Paris » 09 oct. 2016, 15:42

Le tennis devient comme la F1... Il n'y a que le pognon qui compte...

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fAZIA
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Re: Moselle open

Messagepar fAZIA » 19 nov. 2016, 13:20

Pierre-lost-in-Paris a écrit :Le tennis devient comme la F1... Il n'y a que le pognon qui compte...
Comme partout ;)


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