Story sur football manager 2017

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atlantis973
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Re: Story sur football manager 2017

Messagepar atlantis973 » 15 déc. 2016, 21:36

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vickk
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Re: Story sur football manager 2017

Messagepar vickk » 15 déc. 2016, 23:43

Et au classement, ça donne quoi ?

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Re: Story sur football manager 2017

Messagepar atlantis973 » 16 déc. 2016, 00:08

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Re: Story sur football manager 2017

Messagepar atlantis973 » 16 déc. 2016, 00:11

vickk a écrit :Et au classement, ça donne quoi ?
3è-19 points, 6 victoires 1 nul 3 défaites.

Les nançois sont 8è avec 13 points, 3 victoires 4 nuls 3 défaites et on les joue dans 2 matchs à Picot :mrgreen:

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atlantis973
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Re: Story sur football manager 2017

Messagepar atlantis973 » 17 déc. 2016, 01:29

Explications tactiques

Que se cache t'-il derrière le début de saison surprenant du FC Metz, 3è de Ligue 1 après 10 matchs et avec déjà la moitié des points nécessaires à son maintien ?
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Metz a installé depuis août le 4-5-1 comme base de travail, autant par choix tactique que parce que l'effectif l'exige. Ainsi, 3 schémas se sont dégagés depuis le début de saison :Image

L'usage du 4-4-2 a été tenté parfois en amical sans résultats probants. « Ce que je n'aime pas dans le 4-4-2, c'est qu'à moins d'avoir des joueurs vraiment intelligents tactiquement et avec un très bon niveau d'entente, le jeu est souvent statique, oblige à subir. Je n'ai pas les joueurs pour développer un 4-4-2 même si je pense que toute équipe doit avoir un bon 4-4-2, simple dans sa conception dans sa poche. On l'a testé en amical, ça n'a pas été probant du tout »

Par delà les schémas employés, la philosophie de jeu développée reste globalement la même :
  • pressing médian
    utilisation permanente de la largeur
    variation du rythme
    débordements sur les ailes et surnombre dans l'axe
    jeu finalement basé sur la contre
« Je ne pense pas qu'on puisse vraiment différencier les 3 schémas, ce sont pour moi trois 4-5-1 avec des animations différentes, des angles différents mais les idées sont les mêmes ».
Pour autant Metz ne refuse pas la possession depuis le début de saison avec en moyenne 53.40% du temps passé balle au pied (3è en Ligue 1). « Je crois qu'il est important pour une équipe comme la nôtre de prendre confiance balle au pied. Passer le match à courir après un ballon, accepter de subir, c'est risquer de casser le moral en plus de s'user physiquement ».

L'apport des latéraux

« Les latéraux sont je pense au cœur du football moderne, tout repose sur eux, dans la structure de pressing, la relance, les transitions, le déséquilibre du bloc adverse, le soutien aux ailiers, le surnombre.... » C'est tiré de cette philosophie que Metz a développé son schéma.

Le 4-5-1 avec des ailiers hauts libère des espaces entre l'ailier et le latéral en phase statique, c'est assez simple de prendre à défaut ces schémas dès que ces espaces sont exploités

A partir du moment où pour Metz les latéraux sont au cœur du jeu, les exigences quant à leur profil sont élevées :

Offensivement déjà, le latéral doit être bon techniquement à savoir agile, avec un bon contrôle de balle, un minimum de bagage technique et une bonne accélération pour déborder et forcément une bonne qualité de centres, une bonne accélération.
S'agissant de leurs tâches défensives, elle sont par nature fondamentales et exigent des latéraux un bon sens de l'anticipation, de l'agressivité, du courage et du placement, bon tacleur, le latéral étant souvent en 1 contre 1 dans sa zone.
Combiner ces deux rôles exige de fait des qualités physiques élevées en endurance et dans la capacité de récupération entre les matchs.

Le problème qui s'est posé est que Metz n'a pas de latéraux spécialement complets ce qui se ressent sur les matchs face à un adversaire qui sait aussi bien que Metz user de la largeur, avec de très bons joueurs de couloir. Ainsi les lorrains ont largement subi face à Monaco par leur incapacité à tenir les ailes et le jeu des attaquants monégasques, par du jeu long directement dans la zone des latéraux.

Pour peu que les ailiers ne fassent pas suffisamment les efforts défensifs, c'est le cas notamment de N'Guette ce qui l'a conduit sur le banc, et les Grenats se retrouvent en grand danger, obligeant ou bien le milieu chargé du pressing à dézoner dangereusement ou bien à laisser un bon ailier centrer librement.

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Face à Monaco, Thomas Lemar a pu centrer 12 fois avec 25% de réussite et Nabil Dirar 9 fois avec 33% de réussite

« On n'a pas des profils assez forts sur les côtés, on a pris l'eau contre Monaco par les ailes, on a subi aussi à Bastia là dessus, on a du trouver un palliatif ».
D'abord on a vu les latéraux tourner notamment à gauche où ni Signorino, ni Assou-Ekoto n'ont fait l'affaire d'où le fait que les deux aient alternativement joué. A droite le problème s'est moins posé, Rivierez etant plus défensif que Balliu.

La gestion à deux des couloirs au coeur du système


Ce palliatif, c'est le 4-4-1-1 désormais privilégié. En effet à la différence du 4-2-3-1, une bonne partie des efforts ne repose plus sur les latéraux mais sur les ailiers.
« C'est très exigeant ce qui était demandé aux joueurs de couloir, les ailiers devaient être capables de défendre beaucoup, les latéraux d'attaquer beaucoup, c'était trop demander à ces joueurs là. Alors oui parfois ça a fonctionné notamment contre Bordeaux ou à Paris mais jamais sur 90 minutes et finalement dans des conditions particulières ».
On ne peut pas différencier dans le schéma de jeu le rôle des latéraux et celui des ailiers, les deux travaillent de concert à des niveaux différents et sous des angles différents.
« On a à gauche des latéraux au profil plutôt défensifs, un peu vieillissants et donc en régression physique et des ailiers qui débordent et non forcément qui rentrent. A l'inverse à droite, on a Balliu qui aime prendre son couloir et centrer, Rivierez qui en est capable même s'il préfère défendre et que de toute façon il n'a pas forcément de quoi assumer les deux profils. Et Tomas Andrade ou Yann Jouffre qui sont des joueurs qui aiment rentrer dans la surface et centrer, passer ou tirer. C'est intéressant ».

Metz travaille ses couloirs de manière globale « les deux ailiers ont un rôle fondamental parce qu'on ne peut pas jouer sur la largeur et avoir un seul joueur dans les deux couloirs. Offensivement, ils savent tout faire, les uns déborder et centrer, les autres rentrer et frapper. On varie cela selon l'adversaire, la forme des uns et des autres. Au début de saison N'Guette partait avec un avantage net parce qu'il était le plus à même de marquer ». Mais son incapacité à remplir ses tâches défensives l'ont progressivement conduit sur le banc. Les ailiers sont le premier rideau défensif puisqu'on a un axe surchargé, ils doivent savoir presser le latéral qui récupère le ballon, tacler s'il le faut, ce n'est pas tant de la zone que de gêner la relance le temps que tout le monde se remette en place.
C'est dans ce rôle que N'Guette a perdu sa place :« On doit le faire travailler défensivement mais c'est vrai qu'en le surchargeant de tâches défensives, il perd tout ce qui fait son talent pour ce qu'il sait faire. C'est un peu délicat pour lui mais il garde le moral et progresse, il retrouvera sa chance ».

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On note que le même problème s'est posé de moindre manière à gauche avec Kévin Lejeune

A gauche, Kévin Lejeune remplit tous les critères pour le moment et monte en puissance match après match en plus de s'épanouir dans son rôle de capitaine confirmé en début de saison malgré des stats médiocres quant à sa réussite sur les centres « il doit centrer en profondeur ce qui n'est pas son point fort, on doit faire un peu monter ce chiffre là"

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A droite, Yann Jouffre a trouvé refuge dans un rôle plus exigeant que celui de meneur avancé qui lui était promis en début de pré-saison

Finalement, le 4-4-1-1 donne toutes les satisfactions quant à la solidité défensive, Metz est meilleure défense, concède peu d'occasions, réussit à être efficace dans la surface adverse. « On affiche une belle solidité un peu gâchée par les 5 buts contre Monaco mais offensivement on est corrects avec 45% de tirs cadrés bien qu'on ait des joueurs qui aiment prendre leur chance de loin, ça nous permet d'être toujours dangereux ».

Parallèlement, alors que le schéma assure sur le papier des distances plus courtes entre les joueurs, la longueur des passes c'est agrandit, faisant baisser le taux de passes réussies (environ 84% avant, 75% désormais) ce qui soumet Metz a davantage de pression, mais mieux contenue.
Alors certes, la possession est moindre (environ 48% depuis le passage du 4-2-3-1 au 4-4-1-1), le style est moins chatoyant mais Metz conserve un jeu plutôt offensif, à en juger par les 15,5 tirs par matchs en moyenne, les centres toujours aussi nombreux (29 à Nice, 23 à Angers, 3è meilleure équipe de L1 avec 15% de centres réussis)
« Le danger vient d'un peu partout, c'est le plus positif »

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Le contrôle du match par le contrôle de l'axe

La variation des rythmes et le contrôle de l'axe du terrain sont deux éléments clés du système messin. «  A vrai dire, c'est en ce sens qu'on peut parler de jeu de possession, c'est que le rythme demandé aux joueurs en phase de possession dans notre camp est lent, on use peu du jeu direct à part sur les ailes ».
De ce fait, les joueurs d'axe ont chacun des rôles très différents : « il y'a de la variété parce qu'on a des variétés de profils, c'est utile parce que ça donne à chaque fois une multitude de possibilités ».

Le double rôle de relance des défenseurs centraux

Les deux centraux par exemple ont chacun une tâche différente en phase de possession, l'un assure le jeu court vers le milieu axial le moins créatif, généralement Simon Falette. L'autre, Milan Bisevac bénéficie d'une plus grande variété dans ses choix de passes : vers les latéraux, vers le meneur de jeu mais jamais directement sur un ailier ou l'attaquant.

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La mobilité du milieu de terrain

Au milieu, c'est un travail en trio qui est demandé aux trois milieux axiaux « Ils doivent tous les trois coordonner leurs actions, leurs gestes et leurs déplacements d'où l'importance de la dimension collective, de la vision du jeu et de l'anticipation. On introduit une grande flexibilité dans le jeu à trois c'est à dire que deux des trois joueurs doivent toujours être au pressing en phase défensive et selon où on se situe, ou bien celui qui ne presse pas assure le premier rideau défensif et s'attend à soutenir les deux défenseurs centraux, ou bien celui qui ne presse pas se prépare déjà à offrir une solution rapide ».
Ainsi les trois milieux axiaux doivent être capable de défendre, agressifs, bon placement, bons tacles, capables de dépasser leur fonction...

Il faut néanmoins souligner une évolution dans cette approche avec la montée en puissance du jeune argentin Tomas Andrade au profil moins défensif « Cela introduit une augmentation des tâches de pressing pour les deux axiaux restants, cela tombe bien, Cheick Doukouré et Renaud Cohade, généralement titulaires à ce poste sont capables l'un et l'autre de faire un peu plus »

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Dès le ballon récupéré, le milieu s'attache à créer un triangle qui monte en triangle. « C'est un peu la même logique mais balle au pied, un joueur assure la première passe et reste en retrait, un autre oriente le jeu et se projette vers l'avant, le troisième percute et monte balle au pied pour déséquilibrer le bloc adverse et créer les espaces »
Ce rôle là, de dynamiteur, c'est celui dans lequel s'épanouit pour le moment Cheick Doukouré « C'est un porteur d'eau très offensif, cela demande de la puissance, de l'endurance, un peu de technique et une bonne compréhension du jeu mais aussi une capacité à tirer de loin ou à se retrouver dans la surface, Cheick travaille cet aspect de la finition mais pour le reste, c'est très positif ».
Dans le profil du créateur, c'est Renaud Cohade qui tient le mieux le rôle « Selon le schéma on place ce joueur un peu plus bas, dans une logique de possession et déchargé de certaines tâches défensives, ou un peu plus haut aux côtés de Cheick où il est en plus chargé d'être notre élément défensif du milieu. On l'a donc soit en regista, soit en meneur de jeu en retrait, quoiqu'il en soit il joue peu toujours derrière la ligne des joueurs offensifs ». Cohade joue donc un rôle de fluidificateur mais doit être capable de gagner des ballons, en usant de sa puissance et de son gros mental. « Son souci, ça serait le jeu de tête, jouer des ballons hauts et on y perd un peu. Il compense par son courage et le fait qu'il n'ait pas peur du duel mais on a souffert de ça contre Monaco ».
"Pour ces deux joueurs là, on parle de joueurs qui avoisinent les 100-120 ballons touchés par match, avec généralement 85-90% de taux de passes réussies ».

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Le troisième élément évolue au gré des systèmes. Tantôt Georges Mandjeck dans un 4-3-3 couvre les mouvements permanents de Cheick Doukouré qui est alors le seul des trois éléments à bouger énormément, tantôt Tomas Andrade ou Yann Jouffre ont le rôle du dernier passeur.
« Ce qui est demandé à Andrade ou Jouffre, c'est de jouer le rôle de Renaud Cohade mais autour de la surface : créer des décalages, dribbler, assurer une bonne passe, gratter un coup-franc.... C'est une tâche assez exigeante parce qu'on est sur une zone du terrain où on demande du jeu extrêmement rapide et plutôt court, il faut de la finesse, de la technique, de l'inventivité, être capable de prendre des décisions extrêmement rapides et de jouer juste. La perte de balle peut être risquée parce qu'on a à ce moment là 6 joueurs autour de la surface.  L'élément physique est déterminant parce qu'il faut résister aux gros gabarits ou alors chercher la faute. »

A ce titre Tomas Andrade part avec une longueur d'avance sur l'ex-lorientais Jouffre « il est un peu meilleur balle au pied mais surtout gratte plus de coups-francs par son physique assez fin. Maintenant Yann Jouffre rechigne moins à la tâche défensive, cela dépend des matchs mais Andrade avec 4 passes décisives part devant pour ce poste-là ».

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Yann Jouffre à Guingamp n'avait pas franchement convaincu après de bons amicaux

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Le problème de la pointe

Enfin en pointe, le problème posé est celui de la variété des profils d'attaquants « On a que Erdinç comme joueur aguerri à la L1 qui a l'avantage certain de savoir à peu près tout faire notamment bon balle au pied, rapide dans les petits espaces....
Pareil défensivement, Erding est capable de défendre seul sur les centraux adverses, il a gratté des ballons comme ça pas mal de fois. Du coup on lui laisse un rôle tout à fait libre devant où il fait ce qu'il sait faire. Mais derrière, on n'a rien de similaire ».

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Belmin Muratovic ou même Opa N'Guette ont été testé tous les deux et si le second n'a pas convaincu, le premier a su s'offrir 3 buts en 4 matchs
« En l'absence d'Erdinç, on revient à un profil d'attaquant capable de jouer seul en pointe donc bon dos au but, qui décroche pour récupérer des ballons, qui doit être capable d'influer sur le jeu presque plus que de marquer, on passe alors à des rôles plus intérieurs sur les ailes avec Jouffre qui a une bonne frappe et un latéral capable de déborder et centrer ce que Lejeune peut moins faire à gauche où on lui demande de centrer ».

Néanmoins, cela peut parfois poser des soucis face à des équipes bien armés défensivement « Au Parc contre le PSG, si Erding n'était pas sorti sur blessure, on prenait 1 point voire mieux. On a manqué de présence dans l'axe parce qu'on ne pouvait pas laisser leur milieu s'organiser et donc avoir un attaquant qui se contente d'attaquer. On a manqué de présence parce que Muratovic a le physique du joueur de 17 ans qu'il est. Souvent la dernière passe a été interceptée, le dernier geste n'a pas été bon.... Cela s'est vu aussi à Bastia et finalement chaque fois qu'Erding est absent. »

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6 tirs c'est vrai mais énormément de situations mal gérées. On ne peut pas afficher 10% de réussite sur nos centres ou être battus dans tous les duels offensifs et espérer porter le danger. A l'inverse, le pressing intense imposé aux parisiens et le choix d'un milieu renforcé ont permis de limiter l'emprise parisienne et aurait pu se concrétiser par un bon résultat messin avec l'efficacité nécessaire devant le but de Kévin Trapp.

Metz doit-il prendre un joker ? « Non, on veut faire grandir Muratovic, Diallo, on a Thibaut Vion qui est bon en réserve... Puis on n'a pas les moyens d'assumer le salaire d'un attaquant du calibre d'Erding. Saber Khalifa a été observé cet été mais trop cher et on préfère travailler sur nos jeunes. On a la chance de n'avoir pour seul objectif que le maintien et on s'en sort très bien pour le moment avec ce qu'on a par rapport à nos objectifs. ».

Cela suffira t'-il à obtenir aisément un maintien ? Avec déjà 19 points glanés et une surprenante 3è place, les lorrains s'offrent leur meilleur début de saison depuis bien longtemps. Tactiquement, on note déjà quelques évolutions mais le plus important, on insiste encore, c'est le projet rappelé par le coach « Grenat 2020, c'est tout ce qui nous intéresse et dedans il y'a des préceptes de jeu, on va se tenir à la philosophie globale ".

A la veille de recevoir des lorientais 15è et en grande difficulté notamment à l'extérieur mais surtout à 7 jours du derby lorrain tant attendu avec l'autre surprise du début de saison, l'AS Nancy, Metz peut au moins se targuer d'avoir quelques certitudes. Ce qui lui a parfois manqué dans ses quêtes de maintien passées.

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Re: Story sur football manager 2017

Messagepar atlantis973 » 18 déc. 2016, 03:52

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Re: Story sur football manager 2017

Messagepar atlantis973 » 18 déc. 2016, 03:56

Et à suivre dans la journée, la feuille de match du derby, et un derby qui fut plus serré et plus disputé que le vrai! :metzch:

Pour information, on abordait ce derby 2è avec 22 points - 7 victoires 1 nul et 3 défaites et Nancy 5è avec 16 points avec 16 points - 4 victoires 3 nuls et 3 défaites, on pouvait donc faire un trou avec eux.
On avait 2 suspendus: Rivierez et Cohade et 1 blessé qui ne sera pas remis, Balliu (donc pas d'arrière droit valide....)

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Re: Story sur football manager 2017

Messagepar atlantis973 » 19 déc. 2016, 01:10

Dire qu'avec ces résultats pourris IRL je me suis collé Hinschberger pour 4 saisons dans le jeu alors que je pensais mettre Fournier dans les graphs m**** :mrgreen:

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Re: Story sur football manager 2017

Messagepar atlantis973 » 19 déc. 2016, 14:14

J'avais pas la foi de le rédiger vu le résultat :mrgreen:

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Re: Story sur football manager 2017

Messagepar atlantis973 » 19 déc. 2016, 15:38

PPR a écrit :Ah ben bravo!
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Dehors atlantis!
:mrgreen:
Je suis 4è quand même et 2 points devant eux :mrgreen:


D'aillerus j'avais oublié de partager un truc:

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Dans FM, la préfecture est généreuse :mrgreen:
Dernière modification par atlantis973 le 19 déc. 2016, 18:26, modifié 1 fois.


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