bulbisback a écrit :
Portolano est dans la nuance. C'est pas fait pour les apprentis juges.
Et toi tu es dans la complaisance.
Dans un autre post tu dis : "ses excuses sont sincères", pour rappel à ce moment-là ses seules excuses étaient : "je ne vois pas le mal", "que veux-tu, je suis un rebelle", "si c'était à refaire je le referais". Ce n'est que plusieurs jours plus tard qu'il s'est fendu d'un communiqué d'excuses de circonstance. Tu appelles ça de la nuance, moi je vois de la complaisance.
Encore dans un autre post, tu exprimes ta certitude que le gars n'est pas malsain. Pendant des années, il a enchainé les propos, et actes, sexistes, racistes et homophobes. Il a été rappelé à l'ordre par ses collègues, patrons, même par la justice, mais il n'a pas arreté pour autant. Mais pour toi le mec est juste victime de son époque et n'est pas malsain. C'est pas de la nuance, c'est de la complaisance.
champ d'or a écrit :
A mon avis Mme Portolano regrette 100 fois d'avoir pris Menes au piège parce qu'elle l'aime bien, qu'elle a bossé des années avec lui, qu'elle doit le trouver lourdingue et neuneu mais ne lui veut pas de mal. Si elle avait pu choisir entre la bienveillance et la pendaison publique elle serait allée à 10 000% sur la première option.
De 1, qu'est-ce que tu en sais ?
De 2, "pris au piège" ? T'es sérieux ? Il sait qu'il est invité pour s'expliquer de ses actes déplacés et il ouvre la discussion par "tu ne m'as pas gâté avec un décolleté". Il est pas pris au piège, on lui donne une chance de s'exprimer et il ne fait qu'aggraver son cas.
De 3, Portolano s'est exprimé, et si elle regrette une chasse à l'homme, à aucun moment elle ne fait preuve de complaisance à l'égard de Menes. Elle souligne juste qu'on fait erreur de s'attarder sur son cas quand le problème est plus global.