RL du 21/03/2010: Zen, restons zen...

[Amsalem]

Ce qui permet de douter

La fin de l’effet Wiltord. Le temps (bientôt deux mois) a logiquement causé l’érosion de l’élan suscité par l’arrivée de l’attaquant aux 92 sélections en équipe de France. Plus que les performances de Sylvain Wiltord, encore qu’il reste sur deux matches moyens, c’est l’attrait de la nouveauté, l’ampleur de la sensation et tous leurs effets secondaires qui n’agissent plus.

Ce qui rassure[/b][/size]

La présence de Wiltord. Le champion d’Europe 2000 avec les Bleus en a vu d’autres, beaucoup d’autres, pour ne pas trembler devant la dernière marche.
Son vécu, son recul et sa joie de jouer devraient irradier ses coéquipiers, si la tension les gagne : un atout important qui n’existait pas au printemps dernier, quand les cadres d’alors n’avaient ni pu, si su éviter le dérapage final.

Là, mais surement est-ce de mon fait car je ne suis pas encore tout à fait réveillé, j'avoue avoir du mal à comprendre le paradoxe, s'il en existe un, soulevé par Sylvain Vuillaume. Pour tendre l'oreille à l'évocation du club lorrain, je trouve que les amateurs du dimanche sont toujours aussi interpellés par cette venue et que par conséquent "l'attrait de la nouveauté" n'est pas tari. Que les adversaires de Ligue 2 l'aient intégré, c'est autre chose. Quant à l'effet rassurant, il est évident qu'une telle présence, tant sur le plan sportif qu'humain, est un atout incroyable à plus forte raison quand on commence à serrer les fesses...

[get_up_kids]

La réussite les fuit, à l’image du penalty que le dénommé Philippe Chat n’a pas voulu miauler en faveur de Sylvain Wiltord, vendredi, à l’heure de jeu

... Quel beau jeu de mots !

Au-delà de ce jeu de mot, c'est de quelle action dont parle SV?
Parce que si c'est celle ou Wiltord fait un joli controle orienté et est ensuite repris par un défenseur dans la surface au moment de frapper, il n'y a absolument pas faute...juste un très beau geste défensif!