Qui succédera à Joel Muller ?

[yes57]

prendre un entraineur a 2 balles ne sert a rien regarde paris sg ici il faut un vrai entraineur style courbis

[renard]

et à noter que le club rémois à également contacté Yvon Pouliquen ! Infos tirées de L'Equipe ...

avec Johansen dans ses valises ?

[nestor57]

Pour quoi pas Hadzibegic qui viens de quitter Bastia ?

prendre le coach du 20ème de L2 pour jouer en L1 ou pour jouer la montée?

il n'a repris bastia qu'au mois de décembre,c'est anziani qui a coulé le club,avec faruk les corses ont fait une remonté extraordinaire

[almo4]

Ciro Ferrara l' ancien entraineur de la Juventus

[Baloo]

Yvon Pouliquen est libre

[Toni Truand]

Yvon Pouliquen est libre

Pour un petit bout de temps!

Je me demande quand va t-il retrouiver un cub. Et quel club va lui offrir un contrat. Un club de National peut-être, ou de 3e zone de L2.

[Scoubydoo]

On pourrait promouvoir Mattiello aussi !

[Dark 5.7]

On pourrait promouvoir Mattiello aussi !

Mattiello est parti avec YP...

[Letoile]

Didier Ole Nicole,

[Toni Truand]

quelqu'un sait-il ce que devient Stéphane Paille, viré comme un malpropre par ETG alors qu'ils étaient 1er de national ?

Dernières nouvelles de lui:
http://www.ledauphine.com/index.jspz?ch ... or=RSS-127

Quand on pense que son équipe était presque en tête quand il s'est fait viré, et qu'il avait réussi à faire venir d'excellents joueurs qu'il connaissait de ses anciennes expériences (Farina par exemple).


FOOTBALL / L2
Stéphane Paille, ex-entraîneur d'Évian-Thonon-Gaillard, rompt le silence : "Les dés étaient pipés"



À la tête du groupe premier de l'Évian-Thonon-Gaillard FC depuis le 1er juin 2009, Stéphane Paille a été démis de ses fonctions le 18 janvier dernier alors que son équipe occupait la 2e place de National. Aujourd'hui, l'ex-avant-centre de l'équipe de Franceil se livre en exclusivité pour le Dauphiné Libéré.

Stéphane, quel a été le motif exact de votre licenciement?

"On m'a reproché, sur les huit derniers matches, un rythme de relégable avec 9 points pris sur 24 possibles. Mais on restait dans l'objectif initialement fixé puisque nous étions toujours dans le trio de tête. Dans le même temps, Troyes a glané 8 points sur 21 et l'entraîneur ne s'est pas fait virer pour autant!"

Aujourd'hui, comprenez-vous cette décsion ?

"Non seulement je ne comprends pas, mais nombreux sont ceux qui, aussi, restent dubitatifs. Je suis écœuré. J'ai reçu énormément de messages de soutien, du milieu qui n'est pas dupe, des joueurs et de supporters incrédules. Je tenais à m'exprimer en premier dans vos colonnes car je suis haut-savoyard et j'aime ce club."

"J'ai bossé comme un fou"
Dans le passé, vous avez commis des erreurs qui vous ont coûté cher...

"OK, j'ai déconné il y a plusieurs années (alcool, drogue) et j'ai vraiment payé le prix fort, ma famille aussi. Mais je n'ai tué personne et ce temps-là est révolu. Au contraire, je me suis réfugié dans le travail. À l'ETG j'ai bossé comme un fou 7 jours sur 7, en arrivant le matin au boulot à 8h30 et en repartant le soir tard. Je n'ai pas fait le moindre écart."

Alors que s'est-il réellement passé?

"Déjà, il faut dire en préambule que j'ai été imposé par Franck Riboud au président Trotignon sur les conseils de Zinédine Zidane et Alain Miggliacio (son beau-frère). Très rapidement le courant n'est pas passé. Après trois matches, deux victoires, une défaite, il m'a dit: «attention, il faut gagner tout de suite, sinon c'est la crise.» Heureusement, au bout de onze journées on pointait en tête avec 28 points sur 33 possibles. J'étais heureux comme un môme. Mais ça n'allait toujours pas!"

"Mon sort était scellé en décembre"
Pourquoi?

"Parce que j'ai eu le tort de ne pas fermer ma gueule. J'ai défendu les joueurs. On voulait m'en imposer d'autres mais je suis resté fidèle à mes convictions. D'ailleurs, je note qu'aujourd'hui ces garçons restent en réserve. Vous savez, dans le foot, il y a des gens qui jouent au monopoly car ça peut rapporter gros. J'ai toujours dit qu'il ne fallait pas mélanger les genres: le président préside, l'entraîneur entraîne et les joueurs jouent. Manifestement, ça n'a pas plu. Mais les dés étaient pipés. J'ai appris par la suite que mon sort était déjà scellé en décembre, Casoni, Charbonnier et d'autres avaient déjà été contactés. Dans ce milieu tout se sait un jour ou l'autre."

On vous a aussi reproché d'avoir une équipe-type et que l'ambiance se dégradait?

" Mais ce sont les règles de ce sport. Oui, j'ai commis l'erreur de ne pas assez impliquer les remplaçants des remplaçants, je le concède. Sauf que lorsqu'on vous met la pression dès la 4e journée, et encore à la trêve, alors que vous êtes en tête avec 37 points (un rythme synonyme de montée en L2), effectivement vous alignez une équipe-type. Mais je ne pense pas que l'on reproche ces mêmes choses à l'entraîneur de Bordeaux ou de Lyon."

Dans quel état d'esprit êtes-vous aujourd'hui?

"Dans celui d'un homme qui veut s'expliquer et qui va se mettre à la recherche d'un président qui le comprendra. Ça doit exister, non?"



Recueilli par Pierre BROUILLAUD