Robert_Bidochon a écrit :Sur ce point, Pouliquen a raison : il ne faut pas se monter la tête par rapport à la saison passée. Son agacement vis-à-vis des journalistes, c' est plutôt positif.
Le message, c' est que cette saison, Metz n' a pas peur de monter, ni de gagner des matchs. L' équipe assume son statut de favori. Metz est troisième et veut le rester.
Les joueurs arrivés cette saison n' ont pas le souvenir de la fin de saison dernière du FC Metz. Les Vivian, Rocchi, Cardy, Gueye ou autres Marichez ont par contre une "revanche" à prendre. C' est bon pour l équipe, qui connait la solution : gagner des matchs, tout simplement. Metz a perdu à Guingamp, mais gagnera d' autres matchs. Suffisament pour finir troisième ? Inch'Allah.
C'est positif que YP s'agace après les journalistes? Et après les arbitres aussi? Bon au moins il est pas passif sur le côté comme parfois... mais on le sent quand même assez nerveux ces derniers temps, je sais pas si c'est si positif que ça.
Metz n'a pas peur de gagner et assume son statut de favori? Moué, sur le terrain c'est pas flagrant. Dans la combativité on a vu que des Havrais ou des Nantais, pourtant à l'extérieur, étaient limite plus agressifs que nous, avaient plus le ballon, d'occasions. On a pas vraiment assumé notre statut de favori jusqu'à maintenant. On verra si c'est le cas contre un reléguable à la maison et à Strasbourg...
C'est vrai que les nouveaux n'ont pas le souvenir de l'an dernier, et Bianca l'avait bien fait remarquer à un mec du Répu qui lui parlait de la fin de saison de l'an dernier. Cependant y en a quand même certains qui étaient là... et l'entourage du club qui doit souvent leur rappeler qu'il ne faut pas faire le même final que l'an dernier (rien que les mecs du répu, ils ont commencé à parler de ça dès le match nul à Laval et celui contre Nantes. Chaque jour ils rappelent ce triste souvenirs à l'équipe).
Bref, faut pas que les joueurs écoutent ce qui se passent autour, qu'ils finissent la saison dans un cocon, sans se laisser perturber par l'extérieur. Pour ne pas se mettre à douter, rien de tel qu'une victoire.