Je ne sais où tu vois de la condescendance dans mes propos. Ton objectivité a vraiment ses limites.polskapolska a écrit :J'adore tes avis tout en nuance, mon "grand"...ztem a écrit : T'es à la ramasse mon grand.
Si t'es au garde à vous devant le portrait de Molinari qui ne voulait pas de Cartier, c'est ton pb. Moi pas.
Je suis suffisamment extérieur à Metz et à la Lorraine pour mesurer qu'il ne manquait pas grand chose à ce club pour être un de ces grands clubs dont vous avez plein la bouche. On est aujourd'hui tous à peu prés unanimes à ne pas piger ce qui s'est passé en 98 alors qu'on accédait à la C1, certes en tour préliminaire, mais véritable tremplin pour accéder à un niveau supérieur.
Le grain de folie ce serait de conserver la moelle épinière (expression de Serin) de cette équipe. Je parlerais exactement de la même façon s'il s'agissait de Bussmann ou Métanire et pas de Sakho. Si on se gaufre en L1 pas grave, comme quand un de tes gamins fait une compète et qu'il la rate. On continue à l'aimer quand même. Au moins il y a de l'affectif, valeur non cotée en bourse effectivement.
Là on va jouer à pile ou face avec des mecs qui vont devoir s'acclimater à un pays, à une région, à une langue, à un championnat pas si nul.
OK on sait bien que c'est l'économie qui tient le monde et le foot moderne (enfoncer les portes ouvertes vous aimez bien) mais surtout chez ceux qui ne pensent qu'à leur portefeuille.![]()
Tu prends comme un avantage d'être loin (ou au-dessus, vu ton ton condescendant) mais j'y vois plutôt un avis déconnecté de la réalité...
Libre à toi de penser qu'on peut diriger un club en utilisant folie & affectif, cite-moi un seul exemple de "grand" club (puisque ça te tient à coeur) qui réussit en utilisant cette voie. Tu ne peux pas ignorer les aspects financiers (même si cet aspect te débecte) & humains (il semblerait bien qu'on ne peut pas échanger/vendre des joueurs comme du bétail, dommage)...
Je vais aller refermer les portes ouvertes, je vais prendre froid... :roll:
Sinon la recette en sport ? Gagner, tout simplement gagner. C'est vrai qu'à Metz c'est un mot dont on aurait presque oublié le sens.
Le fric suit après.
Pour ça c'est simple, s'attacher les meilleurs joueurs surtout quand ils ont été formés au club ce qui lui donne une âme et ne pas déplumer son équipe, comme en 98, avant d'attaquer une compétition majeure comme le sera le retour du FCM en L1.
Mais c'est peut-être parce que je ne suis pas industriel dans la métallurgie que je ne comprends pas les subtilités financières du foot.
Quant au bétail, la comparaison est malvenue. Je ne fais surtout pas partie de ceux qui comme toi passent leur temps à spéculer sur les futurs transferts.