RL du 29.07 : Tribune Sud , déblocage en vue

[GaHn]

Stade, attractivité, centre des congrès : la guerre froide avec Metz est déclarée

Dominique Gros a encaissé les coups sans rien dire. Un gentleman agreement avait visiblement été trouvé avec Patrick Weiten pour éviter que les deux élus ne s’écharpent sur la place publique. Ils le feront à huis clos. Une réunion entre le président du conseil départemental, le maire de Metz et Jean-Luc Bohl, président de Metz Métropole, est programmée le 16 février. L’avenir de plusieurs dossiers structurants pour le territoire s’y décidera.

Car rien ne va plus entre le Département et sa ville-centre. Le 1er décembre, les deux parties s’étaient pourtant réjouies dans le même hémicycle du vote du projet de reconstruction de la tribune sud du stade Saint-Symphorien, du plan de financement de 30 M€ et du lancement des études techniques. Hier, l’ouverture d’une autorisation de programme a été supprimée de l’ordre du jour, « les négociations avec la Ville de Metz n’ayant pas abouti. » Autrement dit, le dossier est au point mort. Même si le principe de déléguer la maîtrise d’ouvrage à un prestataire extérieur a été voté hier, « au cas où… »

Les raisons de cette volte-face ? Elles tiennent dans la victoire remportée par Metz Métropole devant le tribunal administratif de Strasbourg. Il oblige le Département à verser les 10 M€ promis initialement dans le financement du centre des congrès de Metz. Patrick Weiten ne digère pas cette procédure : « Si j’ai renoncé à ce financement, c’était pour reprendre le stade à la Ville de Metz et lancer la réfection de la tribune car il en va de l’avenir du FC Metz. Le tout était lié. » L’équipement sportif est toujours propriété de la Ville de Metz, pour laquelle son fonctionnement représente un vrai gouffre financier. D’où l’intérêt de le céder au Département. Cela ne se fera plus sans contreparties. Lundi, Patrick Weiten avait même mis dans la balance la future caserne des pompiers. Et le refus de Metz Métropole de ne pas adhérer à son agence d’attractivité lui reste aussi en travers de la gorge. Elle possède déjà sa propre agence et ne voit pas pourquoi elle adhérerait à hauteur de 1,5 € par habitant. « C’est un message de refermement de Metz sur elle-même, sans tenir compte de ce qui se passe dans le reste du territoire. Metz Métropole considère qu’on pourra tenir des prestations communes où chacun paiera sa part mais Moselle Attractivité ne sera pas un prestataire de services. On est dedans ou dehors ! » a tapé du poing sur la table Patrick Weiten..
04/02/17

[Przemysl.]

C'est clair que les priorités sont ailleurs et c'est légitime. La rénovation du stade a été raté en 98 et en 2016.

Comment on fait alors ?

On ne fait rien. On continue avec la tribune Sud qui a 45 ans. Si un jour le club se développe (maintien continu en L1) il pourra financer les travaux. 31M d'€ de travaux, le club paye 700000€ de loyer par an. Ce n'est pas impossible non plus, mais c'est très long.

[Przemysl.]

et bien moi je fais par exemple parti des 4600 mosellans à bénéficier de cette "aide" au péage "domicile-travail" pour le péage de St-Avold, et moi ce sera 1000 euros en plus par an soit environ 2000 euros par an (ce que je ne gagne pas en 1 mois!!!)! Ca plus voir que le projet de rénovation de la tribune Sud est de nouveau mis à mal + la hausse des impôts locaux + le fait que le dep ne tient pas ses engagements concernant le palais des congrès, moi Patoche, que je trouvais sympathique au demeurant et en en ayant strictement RAF de son bord politique, commence à me faire royalement ch***!!!

Juste par précision, le conseil départemental ayant perdu la compétence "transport", il ne pouvait plus verser cette aide. La région l'a récupéré mais a refusé de continuer à verser cette aide. Les deux majorités étant du même bord politique, je ne cherche pas à défendre l'un ou l'autre.

[champ d'or]

Leçon n°1 : encore un bel exemple de la réussite du mille feuille à la française. Une ville, une métropole, un département et une région ne pourront jamais se mettre d'accord surtout quand il y a encore en jeu du pognon de l'Etat (ce qui est le cas pour la tribune sud).

Leçon n°2 : quand Nancy et Metz arrêteront de claquer du pognon pour péter plus haut que les fesses de la voisine, tout le monde se portera mieux. Le Centre des Congrès de Nancy n'a même pas encore remplacé son 1er fauteuil usagé qu'on s'écharpe à Metz pour en construire un autre. Et c'est pareil pour les facultés, les gares, les transports,...

[Big_blue]

Leçon n°1 : encore un bel exemple de la réussite du mille feuille à la française. Une ville, une métropole, un département et une région ne pourront jamais se mettre d'accord surtout quand il y a encore en jeu du pognon de l'Etat (ce qui est le cas pour la tribune sud).

Leçon n°2 : quand Nancy et Metz arrêteront de claquer du pognon pour péter plus haut que les fesses de la voisine, tout le monde se portera mieux. Le Centre des Congrès de Nancy n'a même pas encore remplacé son 1er fauteuil usagé qu'on s'écharpe à Metz pour en construire un autre. Et c'est pareil pour les facultés, les gares, les transports,...

Et en attendant, l'alsacien regarde ça de loin et se marre.
La Lorraine est un champs de guerre permanent.

[DCD]

Leçon n°1 : encore un bel exemple de la réussite du mille feuille à la française. Une ville, une métropole, un département et une région ne pourront jamais se mettre d'accord surtout quand il y a encore en jeu du pognon de l'Etat (ce qui est le cas pour la tribune sud).

Leçon n°2 : quand Nancy et Metz arrêteront de claquer du pognon pour péter plus haut que les fesses de la voisine, tout le monde se portera mieux. Le Centre des Congrès de Nancy n'a même pas encore remplacé son 1er fauteuil usagé qu'on s'écharpe à Metz pour en construire un autre. Et c'est pareil pour les facultés, les gares, les transports,...

Et en attendant, l'alsacien regarde ça de loin et se marre.
La Lorraine est un champs de guerre permanent.

Il me semble que le Bas-Rhin et le Haut-Rhin sont aussi rivaux.

[Big_blue]

Oui mais ils sont chefs de la région grand est.

[Mr Sven]

Leçon n°1 : encore un bel exemple de la réussite du mille feuille à la française. Une ville, une métropole, un département et une région ne pourront jamais se mettre d'accord surtout quand il y a encore en jeu du pognon de l'Etat (ce qui est le cas pour la tribune sud).

Leçon n°2 : quand Nancy et Metz arrêteront de claquer du pognon pour péter plus haut que les fesses de la voisine, tout le monde se portera mieux. Le Centre des Congrès de Nancy n'a même pas encore remplacé son 1er fauteuil usagé qu'on s'écharpe à Metz pour en construire un autre. Et c'est pareil pour les facultés, les gares, les transports,...

Et en attendant, l'alsacien regarde ça de loin et se marre.
La Lorraine est un champs de guerre permanent.

Ce sont des C*** les Nancéiens !
Ah non m**** ils ne sont pas dans le coup cette fois

[sup'demetz]

En Alsace, ils ne changent pas de majorité régionale à chaque élection, ils ont les mêmes depuis plusieurs mandats, ils ont une ligne politique constante, ce qui leur permet d'avancer sans se marcher dessus en permanence.
Et puis l'Alsace, ce n'est que 2 départements, c'est quand même plus facile.

[Pierre-lost-in-Paris]

En Alsace, ils ne changent pas de majorité régionale à chaque élection, ils ont les mêmes depuis plusieurs mandats, ils ont une ligne politique constante, ce qui leur permet d'avancer sans se marcher dessus en permanence.
Et puis l'Alsace, ce n'est que 2 départements, c'est quand même plus facile.

Ils ont aussi l'avantage de ne pas avoir 2 villes de même dimension mais d'avoir Strasbourg qui est bien plus grande que Mulhouse ou Colmar