[L’Équipe.fr] Metz a saisi la commission juridique de la LFP pour le transfert de Mikautadze à Lyon

[Glouglou]

Perso, Arsenal a galère 10 ans avec son stade pour au final être archi rentable sur l'opération.

J'espère la même chose pour Metz. Perso je vois aucune différence niveau sportif entre avant le stade et après le stade

Tu aurais un stade avec trois tribunes. La Sud aurait été condamnée car était devenue un cercueil.

[Grenat 1985]

L’Équipe du 16/08 : Bientôt réglé pour Mikautadze

Après avoir tardé à verser sa première traite à Metz à la suite du transfert de l’attaquant grenat vers le Rhône, les dirigeants lyonnais auraient trouvé hier un terrain d’entente avec leurs homologues lorrains.

Le transfert de Georges Mikautadze n’en finit décidément pas de faire parler cet été. Après les pérégrinations, des semaines durant, sur l’identité de son nouveau club, le néo-attaquant lyonnais se trouve mêlé bien malgré lui à un imbroglio plutôt rare dans le football français. Comme révélé mercredi soir sur le site L’Équipe, l’OL ne s’est pas acquitté à temps de la première traite qui aurait dû tomber dans les comptes du FC Metz.

Selon les accords passés dans le cadre du transfert à 18,5 millions d’euros (plus 4,5 M€ de bonus) du Géorgien de 23 ans, officialisé le 18 juillet, les dirigeants rhodaniens étaient tenus de verser une première somme de 8 M€ au 1er août. Ils n’en ont viré qu’un tiers, avec une dizaine de jours de retard.

Un tel procédé n’est pas dans les habitudes de Lyon, un club connu en Ligue 1 comme à l’étranger pour respecter ses engagements, mais cela n’a pas empêché la situation de stagner, et le ton de monter crescendo entre les parties.

Le retard de beIN Sports comme argument

Côté lyonnais, on expliquait alors que le retard pris par beIN Sports, qui a attendu la fin de la vente des droits télé avant de verser, il y a quelques jours, ce qu’elle devait aux clubs de L1, a mis l’OL dans l’embarras. Pour souligner son propos, Danilo Caixeiro, le responsable financier d’Eagle chargé de ce dossier, aurait ainsi prétexté que de nombreux autres clubs français avaient été mis en difficulté.

Mais l’argument n’a pas tenu face aux décideurs messins. Le club lorrain, descendu en Ligue 2, a lui aussi besoin de s’y retrouver dans ses comptes. Et même s’il aurait réalisé un affacturage auprès d’une banque, c’est-à-dire de pouvoir disposer rapidement des 18,5 M€ grâce à une avance sans avoir à attendre les différentes échéances lyonnaises, le FC Metz a fait valoir ses droits en saisissant la commission juridique de la Ligue. Une fois sollicitée, cette dernière se réunit généralement sous une semaine et demande des explications de part et d’autre avant de se prononcer. Elle peut aller jusqu’à saisir une partie des échéances de droits télé touchés par un club si elle le juge nécessaire.

Ce cas de figure ne devrait finalement pas avoir lieu dans cette affaire puisque les deux clubs auraient trouvé un terrain d’entente hier matin. Si les détails n’ont pas filtré, le reste des 8 M€ dus à Metz devrait être transféré dans les prochains jours. À Lyon, on minimise la portée de cet épisode alors que les Grenats, eux, n’ont pas donné suite à nos sollicitations hier.

Ces dernières heures, les deux clubs s’étaient replongés dans leur mercato. Metz finalisait d’ailleurs l’arrivée de l’Auxerrois Gauthier Hein (voir page 19), de retour dans son club formateur, comme le souhaitait ardemment le président Bernard Serin.

[Divo]

En attendant, Metz peut traverser l'enchainement médiapro/dazn (merci labrune au passage) avec un bateau qui tangue pendant que les autres coulent.
il était question de 70% des clubs pros à risque économique majeur avec le défaut des droits tv, et pour nombre d'entre eux le spectre du dépot de bilan n'est pas loin.

Nous on arrive a survivre parce qu'on a pas fait de folie comme les autres (rappel : certains ont une masse salariale et un budget qui repose a 75% sur les droits TV...) et parce qu'on a équilibré les budgets et les dépenses.
Et on resiste à tous les aléas sportifs et économiques depuis 10 ans.
Nimes, Bordeaux, Lille, Lyon, Monaco il n'y a pas si longtemps, Toulouse avant son rachat, tous ont été en galère ou le sont toujours.

On fait totalement partie des 70% des clubs à risque. Même parmi les plus risqués.
Pas autant que Montpellier pu Bordeaux mais plus à risque que tous les autres clubs de L2 (astreints à la diette et avec des charges bien inférieures aux notres) et que les gros de L1.

Nous on a vendu et budgété 30m€ dans le bilan comptable du club.
Et malgré la descente et les turpitudes économiques, on se permet de garder Udol et de faire une croix sur 4m€.

Quel club en France peut se targuer de garder un actif sportif et financier aussi important, et de resister a la pression de vente?
Paris. Monaco.
C'est tout.

Si qqn mets 4M€, Serin emmene Udol en personne dans le dit club meme si c'est aux US.
On a résisté à la pression de la vente tout en vendant nos deux meilleurs joueurs ce mercato ? Euh ...
Ce sont de bons deals que pour nous et on ne les aurait pas gardé tant pour leur souhait personnel que pour leur potentiel de vente.
Mais ce n'est pas ce que j'appelle résister à la pression de vente que de vendre systématiquement son meilleur joueur chaque année. Je dirais même que cela en est la parfaite definition.

Les clubs qui gardent un joueur à 3-4M€ apres 30-40M€ de vente = Les clubs qui gardent un joueur de 400K€ apres 4M€ de vente.
Presque tous les clubs répondent à cette definition. Lorien garde Abergel après leurs ventes et la descente. Clermont garde Gastien. Brest garde Less Melou et Del Castillo apres avoir vendu son def à l'OM. Nantes garde Lafont. Etc ...
Je ne comprends pas l'idée.

[Cristo]

En attendant, Metz peut traverser l'enchainement médiapro/dazn (merci labrune au passage) avec un bateau qui tangue pendant que les autres coulent.
il était question de 70% des clubs pros à risque économique majeur avec le défaut des droits tv, et pour nombre d'entre eux le spectre du dépot de bilan n'est pas loin.

Nous on arrive a survivre parce qu'on a pas fait de folie comme les autres (rappel : certains ont une masse salariale et un budget qui repose a 75% sur les droits TV...) et parce qu'on a équilibré les budgets et les dépenses.
Et on resiste à tous les aléas sportifs et économiques depuis 10 ans.
Nimes, Bordeaux, Lille, Lyon, Monaco il n'y a pas si longtemps, Toulouse avant son rachat, tous ont été en galère ou le sont toujours.

On fait totalement partie des 70% des clubs à risque. Même parmi les plus risqués.
Pas autant que Montpellier pu Bordeaux mais plus à risque que tous les autres clubs de L2 (astreints à la diette et avec des charges bien inférieures aux notres) et que les gros de L1.

Nous on a vendu et budgété 30m€ dans le bilan comptable du club.
Et malgré la descente et les turpitudes économiques, on se permet de garder Udol et de faire une croix sur 4m€.

Quel club en France peut se targuer de garder un actif sportif et financier aussi important, et de resister a la pression de vente?
Paris. Monaco.
C'est tout.

Si qqn mets 4M€, Serin emmene Udol en personne dans le dit club meme si c'est aux US.
On a résisté à la pression de la vente tout en vendant nos deux meilleurs joueurs ce mercato ? Euh ...
Ce sont de bons deals que pour nous et on ne les aurait pas gardé tant pour leur souhait personnel que pour leur potentiel de vente.
Mais ce n'est pas ce que j'appelle résister à la pression de vente que de vendre systématiquement son meilleur joueur chaque année. Je dirais même que cela en est la parfaite definition.

Les clubs qui gardent un joueur à 3-4M€ apres 30-40M€ de vente = Les clubs qui gardent un joueur de 400K€ apres 4M€ de vente.
Presque tous les clubs répondent à cette definition. Lorien garde Abergel après leurs ventes et la descente. Clermont garde Gastien. Brest garde Less Melou et Del Castillo apres avoir vendu son def à l'OM. Nantes garde Lafont. Etc ...
Je ne comprends pas l'idée.

Gastien à Clermont c'était pas le meilleur

[Jeanmich57]

Gastien à Clermont c'était pas le meilleur

L'exemple de Gastien n'est peut-être pas le meilleur. Ceci dit, je comprends et partage le point de vue de Divo.