[L'ESS] «La semaine la plus importante de la saison»
Publié : 12 févr. 2015, 10:38
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«La semaine la plus importante de la saison»
Le coach du FC Metz fait le point sur la situation critique du club avant la réception de Brest, ce jeudi en Coupe.
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L'essentiel: Quel est l'état d'esprit du groupe après cette nouvelle défaite à Bastia?
Albert Cartier: Vous savez, les sommets difficiles et les objectifs ambitieux, les vrais compétiteurs aiment ça. Et pour Metz le maintien est un objectif ambitieux.
La pression monte tout de même au moment de lancer le sprint final pour le maintien…
C'est la semaine la plus importante de notre saison. (NDLR: après Brest, Metz reçoit Guingamp, dimanche, en L1). Mais la pression était bien plus importante lorsque nous étions en National et que la survie du club était en jeu.
Certains joueurs n'hésitent plus à faire part de leur incompréhension vis-à-vis de certains de vos choix…
Dans le monde entier, les joueurs sont mécontents lorsqu'ils ne jouent pas. Mais quand on joue, il faut montrer qu'on est à la hauteur. Pourquoi toujours parler des choses négatives? En L1, nous avons quatre points de retard sur le premier non relégable, c'est loin d'être irréalisable.
C'est aussi et surtout la série catastrophique de douze matches sans victoire qui pousse au pessimisme…
Pourquoi être plus négatif que la situation ne le permet? Les raisons de positiver, je vais vous les donner: est-ce qu'on peut le faire? Oui. Est- ce qu'on travaille bien? Oui. Est-ce que l'ambiance et la volonté sont là? Oui.
Alors que faut-il faire de plus pour sortir de cette spirale négative?
Il faut continuer à être déterminés sur nos forces, nos méthodes. On est sur le bon chemin et les joueurs vont vous montrer qu'ils peuvent le faire. Il reste huit matches à domicile, il faudra en gagner sept. Et faire quelques bonnes séries.
Qu'en est-il de la Coupe de France et du match face à Brest?
Nous n'avons pas d'objectif particulier dans cette compétition. Mais nous avons l'envie de gagner. Des joueurs qui jouent moins souvent auront l'occasion de se montrer.
(Philippe Di Filippo/L'essentiel)
«La semaine la plus importante de la saison»
Le coach du FC Metz fait le point sur la situation critique du club avant la réception de Brest, ce jeudi en Coupe.
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L'essentiel: Quel est l'état d'esprit du groupe après cette nouvelle défaite à Bastia?
Albert Cartier: Vous savez, les sommets difficiles et les objectifs ambitieux, les vrais compétiteurs aiment ça. Et pour Metz le maintien est un objectif ambitieux.
La pression monte tout de même au moment de lancer le sprint final pour le maintien…
C'est la semaine la plus importante de notre saison. (NDLR: après Brest, Metz reçoit Guingamp, dimanche, en L1). Mais la pression était bien plus importante lorsque nous étions en National et que la survie du club était en jeu.
Certains joueurs n'hésitent plus à faire part de leur incompréhension vis-à-vis de certains de vos choix…
Dans le monde entier, les joueurs sont mécontents lorsqu'ils ne jouent pas. Mais quand on joue, il faut montrer qu'on est à la hauteur. Pourquoi toujours parler des choses négatives? En L1, nous avons quatre points de retard sur le premier non relégable, c'est loin d'être irréalisable.
C'est aussi et surtout la série catastrophique de douze matches sans victoire qui pousse au pessimisme…
Pourquoi être plus négatif que la situation ne le permet? Les raisons de positiver, je vais vous les donner: est-ce qu'on peut le faire? Oui. Est- ce qu'on travaille bien? Oui. Est-ce que l'ambiance et la volonté sont là? Oui.
Alors que faut-il faire de plus pour sortir de cette spirale négative?
Il faut continuer à être déterminés sur nos forces, nos méthodes. On est sur le bon chemin et les joueurs vont vous montrer qu'ils peuvent le faire. Il reste huit matches à domicile, il faudra en gagner sept. Et faire quelques bonnes séries.
Qu'en est-il de la Coupe de France et du match face à Brest?
Nous n'avons pas d'objectif particulier dans cette compétition. Mais nous avons l'envie de gagner. Des joueurs qui jouent moins souvent auront l'occasion de se montrer.
(Philippe Di Filippo/L'essentiel)