RL du 31/10/15 : Le FC Metz fleurit sa maison
Publié : 31 oct. 2015, 07:11
Après leur succès à Ajaccio la semaine dernière, les Messins sont parvenus à enchaîner une deuxième victoire d’affilée (2-1), ce vendredi à Saint-Symphorien. Ils reprennent provisoirement la tête du championnat.
Avec ce FC Metz, rien n’est jamais simple. D’abord, les hommes de José Riga auraient dû tuer le match – comme on dit dans le milieu – en première période. Ensuite, après l’heure de jeu, ils se sont dangereusement exposés en refusant le jeu qu’ils avaient pourtant plutôt bien maîtrisé durant les quarante-cinq premières minutes et juste après la pause.
C’est décidément une (fâcheuse) constante : les Messins sont branchés sur courant alternatif. Cette piste de travail reste donc d’actualité. Mais faut-il faire la fine bouche après ce succès (2-1) face au Paris FC ? Le premier à domicile depuis le 29 août. D’autant qu’il faut remonter au 11 septembre pour retrouver la trace de deux victoires d’affilée… Les Lorrains ont donc fait le travail et reprennent, provisoirement, la tête du championnat.
Kévin Lejeune et ses partenaires n’ont d’ailleurs pas traîné pour fleurir leur maison. Après une première tentative signée Ngbakoto (5e ) et un mouvement de toute beauté du trio Lejeune-Falcon-Candeias mal conclu par Sassi (9e ), Ngbakoto, avec la malheureuse complicité du défenseur parisien Cantini, voyait son centre terminer sa course dans les filets de Thébaux (1-0, 12e ). Logique au regard de la bonne entame messine. Ce qui l’était moins, par contre, c’était cette absence coupable de la défense sur le centre de ce même Cantini… Grange n’en demandait pas tant pour égaliser dans la foulée (1-1, 17e ).
Le bisou à Jayden Isaiah
Du coup, le FC Metz s’en est, une fois de plus, remis à l’un de ses ingrédients préférés : la force de caractère. Pour autant, si la recette ne manquait pas d’épices, les Messins ne parvenaient pas à mettre leur grain de sel devant les buts du PFC. Et ce, malgré une multitude d’occasions. Lejeune se heurtait ainsi par deux fois à Thébaux (23e ) qui contrariait aussi les plans de Gomes (29e , 40e ), alors que Falcon (33e ), Candeias (39e ) et Ngbakoto (40e ) ne parvenaient pas à régler la mire.
Pire, sur un contre, Grange faisait passer quelques frissons dans la défense mosellane, mais l’ancien Nancéien ne cadrait pas (44e ).
Metz s’apprêtait à ressasser ces occasions manquées dans le vestiaire lorsque Oberhauser se muait en… passeur décisif pour Ngbakoto. Après un contrôle en pleine course, le milieu envoyait une (délicieuse) praline dans les filets parisiens (2-1, 45e +1). Un but splendide qui méritait bien les hourras du public et un bisou de son papa au jeune Ngbakoto junior, Jayden Isaiah…
Remis de leurs émotions, les Messins attaquaient la seconde période sur des bases assez similaires après une petite alerte fomentée par l’ex-Messin Socrier, annihilé par Oberhauser (46e ). Peu importe. Metz espérait se mettre rapidement à l’abri. Mais regrettait, là encore, le manque d’efficacité d’Özmen, seul dans la surface (52e ), et de Candeias, qui oubliait Sassi en retrait (64e ) avant de se heurter à Thébaux (70e ).
Et puis… Et puis les Lorrains ont cessé de jouer. Le manque de fluidité et les déchets en découlant remettaient le Paris FC dans la course. Heureusement, Oberhauser, dans les airs puis face à Bahamboula (90e ), restait attentif et permettait à son équipe d’offrir à Saint-Symphorien ce succès tant attendu.
Avec ce FC Metz, rien n’est jamais simple. D’abord, les hommes de José Riga auraient dû tuer le match – comme on dit dans le milieu – en première période. Ensuite, après l’heure de jeu, ils se sont dangereusement exposés en refusant le jeu qu’ils avaient pourtant plutôt bien maîtrisé durant les quarante-cinq premières minutes et juste après la pause.
C’est décidément une (fâcheuse) constante : les Messins sont branchés sur courant alternatif. Cette piste de travail reste donc d’actualité. Mais faut-il faire la fine bouche après ce succès (2-1) face au Paris FC ? Le premier à domicile depuis le 29 août. D’autant qu’il faut remonter au 11 septembre pour retrouver la trace de deux victoires d’affilée… Les Lorrains ont donc fait le travail et reprennent, provisoirement, la tête du championnat.
Kévin Lejeune et ses partenaires n’ont d’ailleurs pas traîné pour fleurir leur maison. Après une première tentative signée Ngbakoto (5e ) et un mouvement de toute beauté du trio Lejeune-Falcon-Candeias mal conclu par Sassi (9e ), Ngbakoto, avec la malheureuse complicité du défenseur parisien Cantini, voyait son centre terminer sa course dans les filets de Thébaux (1-0, 12e ). Logique au regard de la bonne entame messine. Ce qui l’était moins, par contre, c’était cette absence coupable de la défense sur le centre de ce même Cantini… Grange n’en demandait pas tant pour égaliser dans la foulée (1-1, 17e ).
Le bisou à Jayden Isaiah
Du coup, le FC Metz s’en est, une fois de plus, remis à l’un de ses ingrédients préférés : la force de caractère. Pour autant, si la recette ne manquait pas d’épices, les Messins ne parvenaient pas à mettre leur grain de sel devant les buts du PFC. Et ce, malgré une multitude d’occasions. Lejeune se heurtait ainsi par deux fois à Thébaux (23e ) qui contrariait aussi les plans de Gomes (29e , 40e ), alors que Falcon (33e ), Candeias (39e ) et Ngbakoto (40e ) ne parvenaient pas à régler la mire.
Pire, sur un contre, Grange faisait passer quelques frissons dans la défense mosellane, mais l’ancien Nancéien ne cadrait pas (44e ).
Metz s’apprêtait à ressasser ces occasions manquées dans le vestiaire lorsque Oberhauser se muait en… passeur décisif pour Ngbakoto. Après un contrôle en pleine course, le milieu envoyait une (délicieuse) praline dans les filets parisiens (2-1, 45e +1). Un but splendide qui méritait bien les hourras du public et un bisou de son papa au jeune Ngbakoto junior, Jayden Isaiah…
Remis de leurs émotions, les Messins attaquaient la seconde période sur des bases assez similaires après une petite alerte fomentée par l’ex-Messin Socrier, annihilé par Oberhauser (46e ). Peu importe. Metz espérait se mettre rapidement à l’abri. Mais regrettait, là encore, le manque d’efficacité d’Özmen, seul dans la surface (52e ), et de Candeias, qui oubliait Sassi en retrait (64e ) avant de se heurter à Thébaux (70e ).
Et puis… Et puis les Lorrains ont cessé de jouer. Le manque de fluidité et les déchets en découlant remettaient le Paris FC dans la course. Heureusement, Oberhauser, dans les airs puis face à Bahamboula (90e ), restait attentif et permettait à son équipe d’offrir à Saint-Symphorien ce succès tant attendu.