R.L. 20/03 : Kévin Lejeune (FC Metz) : « Ça me démangeait »
Publié : 20 mars 2016, 07:28
Kévin Lejeune (FC Metz) : « Ça me démangeait »

Kévin Lejeune et Metz ont eu raison du Paris FC d’Alexis Thébaux. Photo Pascal BROCARD
Écarté des terrains par une blessure au genou depuis janvier, le capitaine du FC Metz a retrouvé la compétition vendredi. Il débriefe la victoire à Charléty (1-2) et son retour au terrain.
Kévin Lejeune, quelle est votre analyse de Paris FC - Metz ? « On a eu chaud dans le sens où nous sommes menés 1-0 et qu’on connaît un début de deuxième mi-temps difficile, mais je trouve aussi notre entame intéressante. On a eu des opportunités, on s’est montré dangereux sur coups de pied arrêtés… Voilà, ce n’était pas un grand match mais j’ai quand même vu un match avec le cœur. Je le répète depuis le début de la saison, cette vertu sera importante pour la montée. Et si nous avions pu manquer de réussite à Nîmes (2-1) ou Clermont (2-1), elle peut aussi tourner en notre faveur. »
• Metz reste malgré tout dans cette configuration d’équipe à réaction, comme face à Ajaccio (3-2)... «Ce n’est pas tout à fait le même scénario, même si nous avons encaissé un but avant de réagir dans la foulée. C’est sûr que, pour le bien de tout le monde, ce serait mieux d’agir plus tôt, mais il ne faut pas oublier non plus qu’il y a onze joueurs en face et ce n’est pas toujours facile… »
« Je suis acteur, plus spectateur »
• Comment appréciez-vous ce retour à la compétition après plusieurs semaines d’absence ? « Ça me démangeait ! Évidemment, dans ces cas-là, on se pose des questions. Est-ce que j’allais être à la hauteur ? Je suis content d’avoir joué, content d’avoir gagné et je n’y croyais pas, mais j’ai tenu une heure et quart. Au moins, maintenant, je suis acteur, plus spectateur. »
• Votre genou a-t-il tenu le choc ? « Mieux que je ne le pensais. »
• Quel est votre regard sur les résultats de la concurrence ? « Le Havre a gagné à domicile, contre Tours, comme on pouvait s’en douter. On avait regardé le calendrier de toute façon et il se trouve que celui du Havre est peut-être le plus abordable. Ils doivent encore recevoir Laval dans deux semaines d’ailleurs… Après, c’est d’abord à nous de gagner les matches et de faire ce qu’il faut pour récolter le plus de points possibles jusqu’à la fin de saison. À Paris, on a fait le travail. »
Christian JOUGLEUX.
Fc Metz express
Tableau de bord. Hier, aujourd’hui et demain : repos. Mardi : une séance d’entraînement à 10h. Mercredi : une séance à 10h. Jeudi : une séance à 10h.
D’un match à l’autre. Dernier match : Paris FC - Metz (31e journée de Ligue 2), vendredi 18 mars : 1-2. Prochain match : FC Metz - RFC Seraing (amical), le vendredi 25 mars à 15h à Rombas. À suivre : Paris FC - Metz (31e journée de L2), vendredi 18 mars à 20 h. Metz - Niort (32e journée de L2), vendredi 1er avril à 20 h ; puis Auxerre - Metz (33e journée de L2), vendredi 8 avril à 20 h.
À l’infirmerie. Sorti à la mi-temps ce vendredi, Cheick Doukouré s’est voulu rassurant. Le milieu franco-ivoirien avait reçu un coup au coccyx et souhaité ménager un genou fraîchement remis de blessure.
Suspendu. Expulsé contre Ajaccio et sanctionné de trois matches de suspension, Romain Métanire manquera la réception de Niort et le déplacement à Auxerre.
L’info : Guido Milan et Kévin Lejeune sont les invités de l’émission Carte blanche , diffusée ce dimanche, de 17h à 19h, sur les ondes de Direct FM (92.8).
Metz n’arrive pas à conclure
Il y a des matchs nuls qui ont un goût de victoire, même à domicile. Celui concédé hier soir par Épernay face à la réserve du FC Metz (2-2) entre facilement dans cette catégorie, tant les Messins ont raté beaucoup d’occasions. Tout le stade se demande encore notamment comment Gauthier Hein a pu louper le cadre, seul aux six mètres, et l’occasion de tuer le match (70e ). À ce moment-là, comme lors de l’essentiel de la seconde période, Épernay a frôlé la correctionnelle.
Pourtant, ce match a longtemps donné l’impression de ne pas choisir son vainqueur. Malgré plusieurs occasions précoces des Sparnaciens, ce sont bien les Messins qui ont ouvert le score sur leur première tentative, une bonne tête de Seydi à la conclusion d’un joli mouvement (0-1, 11e ). Idéalement lancé, Metz s’est ensuite laissé avoir par l’agressivité des locaux, une arme efficace face aux gamins messins. « On a plutôt maîtrisé les débats et mis en place ce que nous avions préparé, indique le coach José Pinot. Le seul regret, c’est qu’ils ont su mettre les ingrédients pour nous faire sortir du match, avec une absence de vingt minutes. » Epernay en a alors profité pour égaliser, sur un joli mouvement conclu de près par Gaultier après une frappe repoussée par Dufrenne (1-1, 17e ), puis pour passer devant, sur un penalty généreux transformé par Deruffe (2-1, 28e ).
Les jeunes Messins, un temps décontenancés, ont ensuite complètement étendu leur emprise sur la rencontre, à grands coups de mouvements et de redoublements de passes. Ils ont fatigué leurs adversaires, rejoints peu après la pause sur une nouvelle action de classe, terminée par un lob astucieux de Bozok (2-2, 48e ), mais n’ont ensuite su inscrire le troisième but du K.O. face à une défense regroupée.
Marine Morel (FC Metz/Algrange) : « Tout derby est un piège »

Marine Morel (à gauche) a marqué un but capital à Vendenheim. Photo Armand FLOHR
L’ex-Nancéienne a offert la victoire aux Grenats, dans les arrêts de jeu, dimanche dernier, à Vendenheim. Marine Morel se penche aujourd’hui sur le derby face à l’ASNL, prévu à Saint-Symphorien.
Marine, pouvez-vous nous raconter votre but ? « On joue la fin des arrêts de jeu et je vois défiler ce qui va nous falloir faire pour compenser les deux points que nous allons perdre. Nous obtenons un coup franc excentré. Meryll Wenger s’en charge. À l’entraînement, je réussis assez souvent à marquer sur ce type d’action mais, en match, ça n’a jamais marché. Et là, je coupe la trajectoire au premier poteau. Et Vendenheim ne pourra que jouer la remise en jeu ensuite… ».
• Est-ce le but le plus important de votre carrière ? « Assurément ! Je ne marque pas souvent. C’est le deuxième de la saison. Mais celui-là risque de compter ».
• Vous, l’ex-Nancéienne, que pensez-vous du parcours de l’ASNL, cette saison (9e avec trois victoires) ? « Je suis toujours au contact, notamment avec Frédéric Biancalani, le coach. Elles ont perdu des points bêtement en accumulant six matches nuls. Aujourd’hui, leur situation est délicate pour le maintien. Mais elles restent dangereuses, comme le match aller (1-3) nous l’avait prouvé. Et elles ont engagé la meilleure buteuse de Saint-Maur, l’an dernier. Il va falloir s’en méfier ».
• Quels sont les atouts du FC Metz ? « D’abord notre jeu collectif. À Saint-Symphorien, nous pourrons nous exprimer. La verticalité de notre jeu ensuite, ou encore nos vertus morales. Nous ne renonçons pas. Nous pouvons renverser un résultat. Comme nous l’avons prouvé à Saint-Denis, à l’aller, ou dimanche dernier, à Vendenheim. Je peux ajouter que, chez nous, chaque joueuse est capable de marquer ».
« J’ai trouvé ma place »
• Quel regard portez-vous sur votre saison personnelle ? « Je suis satisfaite. J’ai trouvé ma place. Je crois, en tout cas, on me le dit, que je joue une bonne saison ».
• À huit matches de la fin du championnat, comment voyez-vous la suite ? « Nous avons remporté une victoire importante à Vendenheim. Mais il y a des pièges partout. Il va falloir remporter le derby et ce ne sera pas facile. Après, nous savons que nous avons un rendez-vous capital avec Arras, le 10 avril. L’équipe qui montera sera celle qui aura évité les chausse-trappes et il y en aura ».
Au stade Saint-Symphorien à 15 h.
Une animation différente pour Metz/Algrange
Les footballeuses du FC Metz/Algrange se sont extirpées in extremis du piège tendu à Vendenheim (1-2). Il s’agira, ce dimanche, de ne pas tomber dans celui tendu par les Nancéiennes.
« À Vendenheim, le vent et le terrain mais aussi la motivation de Fédinoises ne nous ont pas permis de développer notre jeu comme nous l’aurions voulu , explique David Fanzel. Mais nous avons su aller chercher la victoire et c’est le plus important. »
En Alsace, l’entraîneur messin avait revu sa copie, remplaçant, sur le côté droit de sa défense l’internationale Héloïse Mansuy, touchée au genou, par la vif-argent Elodie Martins. Selen Altunkulak avait aussi débuté sur le côté droit avant de céder sa place à Mansuy.
Marie Papaix, la stoppeuse, avait dû sortir en cours de match, mais elle est rétablie. La composition de l’équipe devrait s’apparenter à un 4-3-3 plus conforme au large terrain sur lequel s’exprimeront les Grenats. Fanzel reconduit le même groupe. Seule La gardienne remplaçante, Pauline Hurbain, cède sa place à l’internationale estonienne Getter Laar.
Le groupe messin : Burtin, Laar, Mansuy, Brocheray, Papaix, Jatoba (cap), Morel, Gathrat, Lhuillier, Martins, Wenger, Janela, Wojdyla, De Brito, Altunkulak. Entraîneur : David Fanzel.
A. Z.

Kévin Lejeune et Metz ont eu raison du Paris FC d’Alexis Thébaux. Photo Pascal BROCARD
Écarté des terrains par une blessure au genou depuis janvier, le capitaine du FC Metz a retrouvé la compétition vendredi. Il débriefe la victoire à Charléty (1-2) et son retour au terrain.
Kévin Lejeune, quelle est votre analyse de Paris FC - Metz ? « On a eu chaud dans le sens où nous sommes menés 1-0 et qu’on connaît un début de deuxième mi-temps difficile, mais je trouve aussi notre entame intéressante. On a eu des opportunités, on s’est montré dangereux sur coups de pied arrêtés… Voilà, ce n’était pas un grand match mais j’ai quand même vu un match avec le cœur. Je le répète depuis le début de la saison, cette vertu sera importante pour la montée. Et si nous avions pu manquer de réussite à Nîmes (2-1) ou Clermont (2-1), elle peut aussi tourner en notre faveur. »
• Metz reste malgré tout dans cette configuration d’équipe à réaction, comme face à Ajaccio (3-2)... «Ce n’est pas tout à fait le même scénario, même si nous avons encaissé un but avant de réagir dans la foulée. C’est sûr que, pour le bien de tout le monde, ce serait mieux d’agir plus tôt, mais il ne faut pas oublier non plus qu’il y a onze joueurs en face et ce n’est pas toujours facile… »
« Je suis acteur, plus spectateur »
• Comment appréciez-vous ce retour à la compétition après plusieurs semaines d’absence ? « Ça me démangeait ! Évidemment, dans ces cas-là, on se pose des questions. Est-ce que j’allais être à la hauteur ? Je suis content d’avoir joué, content d’avoir gagné et je n’y croyais pas, mais j’ai tenu une heure et quart. Au moins, maintenant, je suis acteur, plus spectateur. »
• Votre genou a-t-il tenu le choc ? « Mieux que je ne le pensais. »
• Quel est votre regard sur les résultats de la concurrence ? « Le Havre a gagné à domicile, contre Tours, comme on pouvait s’en douter. On avait regardé le calendrier de toute façon et il se trouve que celui du Havre est peut-être le plus abordable. Ils doivent encore recevoir Laval dans deux semaines d’ailleurs… Après, c’est d’abord à nous de gagner les matches et de faire ce qu’il faut pour récolter le plus de points possibles jusqu’à la fin de saison. À Paris, on a fait le travail. »
Christian JOUGLEUX.
Fc Metz express
Tableau de bord. Hier, aujourd’hui et demain : repos. Mardi : une séance d’entraînement à 10h. Mercredi : une séance à 10h. Jeudi : une séance à 10h.
D’un match à l’autre. Dernier match : Paris FC - Metz (31e journée de Ligue 2), vendredi 18 mars : 1-2. Prochain match : FC Metz - RFC Seraing (amical), le vendredi 25 mars à 15h à Rombas. À suivre : Paris FC - Metz (31e journée de L2), vendredi 18 mars à 20 h. Metz - Niort (32e journée de L2), vendredi 1er avril à 20 h ; puis Auxerre - Metz (33e journée de L2), vendredi 8 avril à 20 h.
À l’infirmerie. Sorti à la mi-temps ce vendredi, Cheick Doukouré s’est voulu rassurant. Le milieu franco-ivoirien avait reçu un coup au coccyx et souhaité ménager un genou fraîchement remis de blessure.
Suspendu. Expulsé contre Ajaccio et sanctionné de trois matches de suspension, Romain Métanire manquera la réception de Niort et le déplacement à Auxerre.
L’info : Guido Milan et Kévin Lejeune sont les invités de l’émission Carte blanche , diffusée ce dimanche, de 17h à 19h, sur les ondes de Direct FM (92.8).
Metz n’arrive pas à conclure
Il y a des matchs nuls qui ont un goût de victoire, même à domicile. Celui concédé hier soir par Épernay face à la réserve du FC Metz (2-2) entre facilement dans cette catégorie, tant les Messins ont raté beaucoup d’occasions. Tout le stade se demande encore notamment comment Gauthier Hein a pu louper le cadre, seul aux six mètres, et l’occasion de tuer le match (70e ). À ce moment-là, comme lors de l’essentiel de la seconde période, Épernay a frôlé la correctionnelle.
Pourtant, ce match a longtemps donné l’impression de ne pas choisir son vainqueur. Malgré plusieurs occasions précoces des Sparnaciens, ce sont bien les Messins qui ont ouvert le score sur leur première tentative, une bonne tête de Seydi à la conclusion d’un joli mouvement (0-1, 11e ). Idéalement lancé, Metz s’est ensuite laissé avoir par l’agressivité des locaux, une arme efficace face aux gamins messins. « On a plutôt maîtrisé les débats et mis en place ce que nous avions préparé, indique le coach José Pinot. Le seul regret, c’est qu’ils ont su mettre les ingrédients pour nous faire sortir du match, avec une absence de vingt minutes. » Epernay en a alors profité pour égaliser, sur un joli mouvement conclu de près par Gaultier après une frappe repoussée par Dufrenne (1-1, 17e ), puis pour passer devant, sur un penalty généreux transformé par Deruffe (2-1, 28e ).
Les jeunes Messins, un temps décontenancés, ont ensuite complètement étendu leur emprise sur la rencontre, à grands coups de mouvements et de redoublements de passes. Ils ont fatigué leurs adversaires, rejoints peu après la pause sur une nouvelle action de classe, terminée par un lob astucieux de Bozok (2-2, 48e ), mais n’ont ensuite su inscrire le troisième but du K.O. face à une défense regroupée.
Marine Morel (FC Metz/Algrange) : « Tout derby est un piège »

Marine Morel (à gauche) a marqué un but capital à Vendenheim. Photo Armand FLOHR
L’ex-Nancéienne a offert la victoire aux Grenats, dans les arrêts de jeu, dimanche dernier, à Vendenheim. Marine Morel se penche aujourd’hui sur le derby face à l’ASNL, prévu à Saint-Symphorien.
Marine, pouvez-vous nous raconter votre but ? « On joue la fin des arrêts de jeu et je vois défiler ce qui va nous falloir faire pour compenser les deux points que nous allons perdre. Nous obtenons un coup franc excentré. Meryll Wenger s’en charge. À l’entraînement, je réussis assez souvent à marquer sur ce type d’action mais, en match, ça n’a jamais marché. Et là, je coupe la trajectoire au premier poteau. Et Vendenheim ne pourra que jouer la remise en jeu ensuite… ».
• Est-ce le but le plus important de votre carrière ? « Assurément ! Je ne marque pas souvent. C’est le deuxième de la saison. Mais celui-là risque de compter ».
• Vous, l’ex-Nancéienne, que pensez-vous du parcours de l’ASNL, cette saison (9e avec trois victoires) ? « Je suis toujours au contact, notamment avec Frédéric Biancalani, le coach. Elles ont perdu des points bêtement en accumulant six matches nuls. Aujourd’hui, leur situation est délicate pour le maintien. Mais elles restent dangereuses, comme le match aller (1-3) nous l’avait prouvé. Et elles ont engagé la meilleure buteuse de Saint-Maur, l’an dernier. Il va falloir s’en méfier ».
• Quels sont les atouts du FC Metz ? « D’abord notre jeu collectif. À Saint-Symphorien, nous pourrons nous exprimer. La verticalité de notre jeu ensuite, ou encore nos vertus morales. Nous ne renonçons pas. Nous pouvons renverser un résultat. Comme nous l’avons prouvé à Saint-Denis, à l’aller, ou dimanche dernier, à Vendenheim. Je peux ajouter que, chez nous, chaque joueuse est capable de marquer ».
« J’ai trouvé ma place »
• Quel regard portez-vous sur votre saison personnelle ? « Je suis satisfaite. J’ai trouvé ma place. Je crois, en tout cas, on me le dit, que je joue une bonne saison ».
• À huit matches de la fin du championnat, comment voyez-vous la suite ? « Nous avons remporté une victoire importante à Vendenheim. Mais il y a des pièges partout. Il va falloir remporter le derby et ce ne sera pas facile. Après, nous savons que nous avons un rendez-vous capital avec Arras, le 10 avril. L’équipe qui montera sera celle qui aura évité les chausse-trappes et il y en aura ».
Au stade Saint-Symphorien à 15 h.
Une animation différente pour Metz/Algrange
Les footballeuses du FC Metz/Algrange se sont extirpées in extremis du piège tendu à Vendenheim (1-2). Il s’agira, ce dimanche, de ne pas tomber dans celui tendu par les Nancéiennes.
« À Vendenheim, le vent et le terrain mais aussi la motivation de Fédinoises ne nous ont pas permis de développer notre jeu comme nous l’aurions voulu , explique David Fanzel. Mais nous avons su aller chercher la victoire et c’est le plus important. »
En Alsace, l’entraîneur messin avait revu sa copie, remplaçant, sur le côté droit de sa défense l’internationale Héloïse Mansuy, touchée au genou, par la vif-argent Elodie Martins. Selen Altunkulak avait aussi débuté sur le côté droit avant de céder sa place à Mansuy.
Marie Papaix, la stoppeuse, avait dû sortir en cours de match, mais elle est rétablie. La composition de l’équipe devrait s’apparenter à un 4-3-3 plus conforme au large terrain sur lequel s’exprimeront les Grenats. Fanzel reconduit le même groupe. Seule La gardienne remplaçante, Pauline Hurbain, cède sa place à l’internationale estonienne Getter Laar.
Le groupe messin : Burtin, Laar, Mansuy, Brocheray, Papaix, Jatoba (cap), Morel, Gathrat, Lhuillier, Martins, Wenger, Janela, Wojdyla, De Brito, Altunkulak. Entraîneur : David Fanzel.
A. Z.