R.L. 08/04 : FC Metz : c’est le moment !
Publié : 08 avr. 2016, 05:37
FC Metz : c’est le moment !

Daniel Candeias et ses partenaires s’étaient inclinés 1-0 au match aller. Ils ont une revanche à prendre. Photo Pascal BROCARD
À Auxerre, ce vendredi soir, le FC Metz espère enfin l’emporter face à un membre du top 10, ce qu’il n’a pas encore réussi à faire cette saison. À l’abord du sprint final, c’est l’occasion rêvée.
Le dernier passage du FC Metz au stade de l’Abbé-Deschamps est un bon souvenir. Deux ans plus tôt, en avril déjà, Diafra Sakho et ses partenaires venaient y valider leur montée en Ligue 1 en s’imposant 3-0. Aujourd’hui, l’objectif est le même mais il est loin d’être atteint. Pour autant, les Grenats vont déjà beaucoup mieux qu’il y a quelques semaines puisqu’ils ont su rebondir après leur cruelle défaite à Clermont (2-1) début mars.
Depuis ? Trois matches, trois victoires, et des sourires retrouvés du côté de Saint-Symphorien. « La dynamique est super importante, on veut la garder, explique Philippe Hinschberger. L’objectif, c’est de bien négocier chaque match. On a besoin d’aller chercher la victoire. »
La dernière en date, face à Niort (2-0), vendredi dernier, a été acquise au terme d’un match maîtrisé comme rarement cette saison. Rassurant, forcément, alors que se profile le sprint final avec un double déplacement (Auxerre puis Bourg-en-Bresse) avant un duel décisif avec le Red Star à Saint-Symphorien. « Ce serait pas mal d’aller chercher au moins une victoire sur ces deux rencontres à l’extérieur, estime l’entraîneur messin. C’est toujours un climat différent d’un match à l’autre. Ça va se jouer à pas grand-chose, on devra mettre les atouts de notre côté. »
Auxerre démobilisé ?
Auxerre, qui reste sur un lourd revers à Lens (3-0), est décroché dans la course à l’élite et n’a plus grand-chose à jouer en cette fin de championnat. Démobilisés, les Bourguignons ? C’est en tout cas l’occasion rêvée de faire mentir cette fâcheuse statistique qui poursuit le FC Metz cette saison : le club à la Croix de Lorraine n’a toujours pas battu une formation du top 10 de la Ligue 2. « C’est une bonne raison de commencer à le faire », tranche Philippe Hinschberger. « Il n’y aura pas de fin de saison en roue libre, je n’accepterai pas le moindre relâchement », prévient, de son côté, l’entraîneur auxerrois Jean-Luc Vannuchi.
Au match aller, le 21 novembre dernier, les deux équipes avaient livré un piètre spectacle et l’AJA s’était imposée (0-1). Sans le régional de l’étape, Kévin Lejeune, blessé (lire par ailleurs) , les Grenats vont tenter, ce soir, de prendre leur revanche et de profiter, peut-être, de la méforme des Auxerrois. Méfiance : lorsqu’ils l’avaient emporté en novembre, Sébastien Puygrenier et ses partenaires restaient, là aussi, sur une mauvaise série de trois rencontres sans succès.
Dans ce championnat où tout le monde peut battre tout le monde – battu par le Paris FC lundi (2-4), le Red Star peut en témoigner –, les Messins seraient bien inspirés de l’emporter pour rester bien placés et pour continuer d’espérer grimper d’un étage à l’issue de la saison. « Auxerre - Metz, ça me rappelle la Ligue 1, on en prenait quatre à chaque fois, sourit Hinschberger. Mais demain (aujourd’hui), ça ne sera pas comme ça ! »
Angelo SALEMI.
Lejeune passe son tour pour Auxerre-Metz
Victime d’une petite entorse à une cheville, contractée face à Niort, Kévin Lejeune est forfait.
On ne change pas une équipe qui gagne. Sauf si son capitaine est blessé. Victime d’une petite entorse à une cheville, vendredi dernier face à Niort, Kévin Lejeune a dû déclarer forfait pour ce match face à son club formateur. Il est remplacé numériquement par le Tunisien Ferjani Sassi.
Voilà pour le seul changement dans le groupe de Philippe Hinschberger, qui doit donc repenser son milieu de terrain en l’absence de son numéro 22. Deux solutions s’offrent à lui. La première : reconduire le 4-2-3-1 vu face à Niort, en remplaçant Lejeune par Krivets, voire Ngbakoto en meneur de jeu. La seconde : opter pour un 4-3-3 avec Nuno Reis et Cheick Doukouré aux côtés de Georges Mandjeck, devant la défense. C’est cette option qu’a semblé privilégier le technicien lorrain, hier, lors de l’opposition de fin de séance.
Solide face à Niort et contre le Paris FC, la défense, elle, n’évolue pas. Devant Thomas Didillon, la charnière Milan-Rivierez va être entourée par Ivan Balliu à droite et Matthieu Udol à gauche.
Enfin, en pointe, il est peu probable de voir Habib Diallo perdre sa place de titulaire après son doublé réussi face aux Chamois. Christian Bekamenga devrait donc rester sur le banc des remplaçants.
Du classique à Auxerre
Côté auxerrois, Jean-Luc Vannucci va aligner un 4-4-2 classique. La seule incertitude se situe au milieu de terrain, où Brahim Konaté et Grégoire Lefèbvre sont en balance pour assister Ibrahima Seck à la récupération. L’ancien Nancéien Sébastien Puygrenier va diriger une défense composée de Ruben Aguilar, Cédric Hountondji et Salimo Sylla. Sans surprise, c’est Zacharie Boucher qui doit garder les buts bourguignons. Sur les ailes, Alexandre Vincent et Adama Ba seront chargés d’alimenter Sehrou Guirassy et Gaëtan Courtet. Le duo d’attaque pèse 15 buts en Ligue 2 cette saison.
Exclu à Lens vendredi dernier, Samed Kilic est suspendu tandis que François-Xavier Fumu Tamuzo souffre d’une tendinite. Victime d’une rupture des ligaments croisés à l’automne, Thomas Fontaine est en phase de reprise.
A. S.
Simone Jatoba s’attend à jouer « un match de coupe d’Europe »

Simone Jatoba plane. Ce sera une image à revoir, dimanche soir. Photo Anthony PICORÉ
À 35 ans, l’internationale brésilienne, capitaine du FC Metz, est la mieux placée pour présenter le match contre Arras, que les Grenats doivent gagner 2-0 pour prendre l’ascendant.
Simone, comment va la cheville ? « Ça va, même si je ne suis pas à 100%. Je vais serrer les dents, l’événement l’impose ».
• Et le moral ? « Il est au beau fixe. J’ai trop envie de jouer ce match-là. J’avais été privée par une blessure de la rencontre aller (2-0). On joue au football pour disputer ce type de match. Ces rencontres nous font passer un cap ».
• Metz a de la chance d’être encore en vie. Comment avez-vous vécu le week-end après le nul décevant concédé à Hénin, samedi, puis le sauvetage effectué par Nancy qui est allé battre les Nordistes (0-2) sur leur terrain ? « Je suis passée par des sentiments divers. La frustration et le sentiment d’incapacité, samedi soir. J’étais déçue, triste. Je pensais que ce nouveau match nul (0-0) nous condamnait définitivement. Et puis, dimanche, j’ai dormi et quand je me suis réveillée, j’ai eu la bonne surprise de découvrir que nous étions toujours vivantes, grâce à Nancy. C’est un signe. A nous maintenant, de ne plus rien lâcher. Nous savons, dimanche, ce que nous allons jouer en entrant sur la pelouse de Saint-Symphorien, tout simplement une place en D1 ».
« Manque de fraîcheur de mouvement »
• Que s’est-il passé à Hénin-Beaumont pour que Metz ne s’impose pas ? « Nous nous sommes comme d’habitude procuré des occasions mais nous ne les avons pas mises au fond et tout s’est compliqué ensuite. Nous connaissons actuellement des problèmes d’efficacité offensive. Pourtant, nous nous entraînons régulièrement devant le but ».
• Malgré ses 58 buts réussis, l’équipe est moins bien offensivement depuis quelque temps. Pourquoi ? « C’est difficile à expliquer. Je pense qu’actuellement, il y a un manque de fraîcheur, un manque de mouvement dans le jeu aussi. Nous jouons moins bien entre les lignes et nous manquons de vitesse. Ce qui veut dire qu’il faut que le collectif fasse plus. Le jeu en vaut la chandelle ».
• A l’aller, à Arras, vous n’aviez pas joué, que savez-vous du leader ? « C’est une équipe complète qui défend bien (9 buts encaissés) et qui est dangereuse devant quand elle contre. Mais c’est une équipe prenable qui ne nous est pas supérieure ».
• Dimanche, face à Arras, vous devez gagner 2-0 pour passer devant au classement. Jouable ? « Bien sûr. Mais il faudra tout donner et plus encore. Il faudra se transcender. Nous sommes dans les conditions d’un match de coupe d’Europe perdu à l’aller, avec deux buts à remonter. Nous jouerons chez nous. A Saint-Symphorien où notre public va nous pousser et nous revenons de tellement loin que nous ne pouvons qu’y croire ».
A. Z.
Un duel Nancy - Metz
Ce jeudi au Seven Casino avait lieu le tirage des coupes de lorraine U15, U17, U19 et féminines. Le tirage a été effectué par Bernard Zenier, ancien joueur, et Laurent Fanzel, directeur du Centre Thermal, pour les féminines et par Bernard Zénier et Gaël Philippe, Directeur Général du Seven Casino, pour les catégories de jeunes, sous le regard des différents responsables des clubs concernés. Les matches des quarts de finale se joueront le samedi 16 et dimanche 17 avril 2016. A noter la belle performances du club de l’APM Metz qui a réussi à qualifier une équipe dans chaque Coupe de Lorraine jeune. Bernard Zénier a eu la main lourde pour ce tirage au sort avec entre autres, un très beau duel en Coupe de Lorraine féminine entre le FC Metz (de David Fanzel) et l’AS Nancy Lorraine (de Frédéric Biancalani).

Daniel Candeias et ses partenaires s’étaient inclinés 1-0 au match aller. Ils ont une revanche à prendre. Photo Pascal BROCARD
À Auxerre, ce vendredi soir, le FC Metz espère enfin l’emporter face à un membre du top 10, ce qu’il n’a pas encore réussi à faire cette saison. À l’abord du sprint final, c’est l’occasion rêvée.
Le dernier passage du FC Metz au stade de l’Abbé-Deschamps est un bon souvenir. Deux ans plus tôt, en avril déjà, Diafra Sakho et ses partenaires venaient y valider leur montée en Ligue 1 en s’imposant 3-0. Aujourd’hui, l’objectif est le même mais il est loin d’être atteint. Pour autant, les Grenats vont déjà beaucoup mieux qu’il y a quelques semaines puisqu’ils ont su rebondir après leur cruelle défaite à Clermont (2-1) début mars.
Depuis ? Trois matches, trois victoires, et des sourires retrouvés du côté de Saint-Symphorien. « La dynamique est super importante, on veut la garder, explique Philippe Hinschberger. L’objectif, c’est de bien négocier chaque match. On a besoin d’aller chercher la victoire. »
La dernière en date, face à Niort (2-0), vendredi dernier, a été acquise au terme d’un match maîtrisé comme rarement cette saison. Rassurant, forcément, alors que se profile le sprint final avec un double déplacement (Auxerre puis Bourg-en-Bresse) avant un duel décisif avec le Red Star à Saint-Symphorien. « Ce serait pas mal d’aller chercher au moins une victoire sur ces deux rencontres à l’extérieur, estime l’entraîneur messin. C’est toujours un climat différent d’un match à l’autre. Ça va se jouer à pas grand-chose, on devra mettre les atouts de notre côté. »
Auxerre démobilisé ?
Auxerre, qui reste sur un lourd revers à Lens (3-0), est décroché dans la course à l’élite et n’a plus grand-chose à jouer en cette fin de championnat. Démobilisés, les Bourguignons ? C’est en tout cas l’occasion rêvée de faire mentir cette fâcheuse statistique qui poursuit le FC Metz cette saison : le club à la Croix de Lorraine n’a toujours pas battu une formation du top 10 de la Ligue 2. « C’est une bonne raison de commencer à le faire », tranche Philippe Hinschberger. « Il n’y aura pas de fin de saison en roue libre, je n’accepterai pas le moindre relâchement », prévient, de son côté, l’entraîneur auxerrois Jean-Luc Vannuchi.
Au match aller, le 21 novembre dernier, les deux équipes avaient livré un piètre spectacle et l’AJA s’était imposée (0-1). Sans le régional de l’étape, Kévin Lejeune, blessé (lire par ailleurs) , les Grenats vont tenter, ce soir, de prendre leur revanche et de profiter, peut-être, de la méforme des Auxerrois. Méfiance : lorsqu’ils l’avaient emporté en novembre, Sébastien Puygrenier et ses partenaires restaient, là aussi, sur une mauvaise série de trois rencontres sans succès.
Dans ce championnat où tout le monde peut battre tout le monde – battu par le Paris FC lundi (2-4), le Red Star peut en témoigner –, les Messins seraient bien inspirés de l’emporter pour rester bien placés et pour continuer d’espérer grimper d’un étage à l’issue de la saison. « Auxerre - Metz, ça me rappelle la Ligue 1, on en prenait quatre à chaque fois, sourit Hinschberger. Mais demain (aujourd’hui), ça ne sera pas comme ça ! »
Angelo SALEMI.
Lejeune passe son tour pour Auxerre-Metz
Victime d’une petite entorse à une cheville, contractée face à Niort, Kévin Lejeune est forfait.
On ne change pas une équipe qui gagne. Sauf si son capitaine est blessé. Victime d’une petite entorse à une cheville, vendredi dernier face à Niort, Kévin Lejeune a dû déclarer forfait pour ce match face à son club formateur. Il est remplacé numériquement par le Tunisien Ferjani Sassi.
Voilà pour le seul changement dans le groupe de Philippe Hinschberger, qui doit donc repenser son milieu de terrain en l’absence de son numéro 22. Deux solutions s’offrent à lui. La première : reconduire le 4-2-3-1 vu face à Niort, en remplaçant Lejeune par Krivets, voire Ngbakoto en meneur de jeu. La seconde : opter pour un 4-3-3 avec Nuno Reis et Cheick Doukouré aux côtés de Georges Mandjeck, devant la défense. C’est cette option qu’a semblé privilégier le technicien lorrain, hier, lors de l’opposition de fin de séance.
Solide face à Niort et contre le Paris FC, la défense, elle, n’évolue pas. Devant Thomas Didillon, la charnière Milan-Rivierez va être entourée par Ivan Balliu à droite et Matthieu Udol à gauche.
Enfin, en pointe, il est peu probable de voir Habib Diallo perdre sa place de titulaire après son doublé réussi face aux Chamois. Christian Bekamenga devrait donc rester sur le banc des remplaçants.
Du classique à Auxerre
Côté auxerrois, Jean-Luc Vannucci va aligner un 4-4-2 classique. La seule incertitude se situe au milieu de terrain, où Brahim Konaté et Grégoire Lefèbvre sont en balance pour assister Ibrahima Seck à la récupération. L’ancien Nancéien Sébastien Puygrenier va diriger une défense composée de Ruben Aguilar, Cédric Hountondji et Salimo Sylla. Sans surprise, c’est Zacharie Boucher qui doit garder les buts bourguignons. Sur les ailes, Alexandre Vincent et Adama Ba seront chargés d’alimenter Sehrou Guirassy et Gaëtan Courtet. Le duo d’attaque pèse 15 buts en Ligue 2 cette saison.
Exclu à Lens vendredi dernier, Samed Kilic est suspendu tandis que François-Xavier Fumu Tamuzo souffre d’une tendinite. Victime d’une rupture des ligaments croisés à l’automne, Thomas Fontaine est en phase de reprise.
A. S.
Simone Jatoba s’attend à jouer « un match de coupe d’Europe »

Simone Jatoba plane. Ce sera une image à revoir, dimanche soir. Photo Anthony PICORÉ
À 35 ans, l’internationale brésilienne, capitaine du FC Metz, est la mieux placée pour présenter le match contre Arras, que les Grenats doivent gagner 2-0 pour prendre l’ascendant.
Simone, comment va la cheville ? « Ça va, même si je ne suis pas à 100%. Je vais serrer les dents, l’événement l’impose ».
• Et le moral ? « Il est au beau fixe. J’ai trop envie de jouer ce match-là. J’avais été privée par une blessure de la rencontre aller (2-0). On joue au football pour disputer ce type de match. Ces rencontres nous font passer un cap ».
• Metz a de la chance d’être encore en vie. Comment avez-vous vécu le week-end après le nul décevant concédé à Hénin, samedi, puis le sauvetage effectué par Nancy qui est allé battre les Nordistes (0-2) sur leur terrain ? « Je suis passée par des sentiments divers. La frustration et le sentiment d’incapacité, samedi soir. J’étais déçue, triste. Je pensais que ce nouveau match nul (0-0) nous condamnait définitivement. Et puis, dimanche, j’ai dormi et quand je me suis réveillée, j’ai eu la bonne surprise de découvrir que nous étions toujours vivantes, grâce à Nancy. C’est un signe. A nous maintenant, de ne plus rien lâcher. Nous savons, dimanche, ce que nous allons jouer en entrant sur la pelouse de Saint-Symphorien, tout simplement une place en D1 ».
« Manque de fraîcheur de mouvement »
• Que s’est-il passé à Hénin-Beaumont pour que Metz ne s’impose pas ? « Nous nous sommes comme d’habitude procuré des occasions mais nous ne les avons pas mises au fond et tout s’est compliqué ensuite. Nous connaissons actuellement des problèmes d’efficacité offensive. Pourtant, nous nous entraînons régulièrement devant le but ».
• Malgré ses 58 buts réussis, l’équipe est moins bien offensivement depuis quelque temps. Pourquoi ? « C’est difficile à expliquer. Je pense qu’actuellement, il y a un manque de fraîcheur, un manque de mouvement dans le jeu aussi. Nous jouons moins bien entre les lignes et nous manquons de vitesse. Ce qui veut dire qu’il faut que le collectif fasse plus. Le jeu en vaut la chandelle ».
• A l’aller, à Arras, vous n’aviez pas joué, que savez-vous du leader ? « C’est une équipe complète qui défend bien (9 buts encaissés) et qui est dangereuse devant quand elle contre. Mais c’est une équipe prenable qui ne nous est pas supérieure ».
• Dimanche, face à Arras, vous devez gagner 2-0 pour passer devant au classement. Jouable ? « Bien sûr. Mais il faudra tout donner et plus encore. Il faudra se transcender. Nous sommes dans les conditions d’un match de coupe d’Europe perdu à l’aller, avec deux buts à remonter. Nous jouerons chez nous. A Saint-Symphorien où notre public va nous pousser et nous revenons de tellement loin que nous ne pouvons qu’y croire ».
A. Z.
Un duel Nancy - Metz
Ce jeudi au Seven Casino avait lieu le tirage des coupes de lorraine U15, U17, U19 et féminines. Le tirage a été effectué par Bernard Zenier, ancien joueur, et Laurent Fanzel, directeur du Centre Thermal, pour les féminines et par Bernard Zénier et Gaël Philippe, Directeur Général du Seven Casino, pour les catégories de jeunes, sous le regard des différents responsables des clubs concernés. Les matches des quarts de finale se joueront le samedi 16 et dimanche 17 avril 2016. A noter la belle performances du club de l’APM Metz qui a réussi à qualifier une équipe dans chaque Coupe de Lorraine jeune. Bernard Zénier a eu la main lourde pour ce tirage au sort avec entre autres, un très beau duel en Coupe de Lorraine féminine entre le FC Metz (de David Fanzel) et l’AS Nancy Lorraine (de Frédéric Biancalani).