Les 7 ou 8 derniers matchs des deux clubs, Bordeaux et Metz, sont étrangement ressemblants. Deux clubs partis pour atteindre les objectifs, mais qui s'écroulent en fin de saison. Le déplacement des deux clubs la semaine dernière a été perturbé par les cendres du volcan islandais, d'où deux défaites. A l'instar de Gourcuff, je pense aussi que les journalistes y sont pour quelque chose dans les résultats surprenants de ces deux clubs : trop de pression, trop de polémiques ! Et pourtant, si ces deux clubs venaient à se réveiller
lors des 4 derniers matchs ils pourraient finir par décrocher ce qu'ils souhaitaient. Allez, Bordeaux et Metz même combat. Quatre victoires finales et on n'en parle plus.
Voilà autre chose. Sinon, peut-être ont-ils également inhalé quelques poussières volcanique qui expliqueraient qu'ils soient à ce point à la ramasse physiquement, que les fondements mêmes de ce sport sont appliqués avec parcimonie, sans même parler de leur engagement sans faille.
