Cardy : « Des contacts avec les dirigeants nantais. »
Publié : 20 juin 2010, 19:19
En fin de contrat avec le FC Metz, Julien Cardy ne sait toujours pas dans quel club il évoluera la saison prochaine. Il a des propositions en France (Nantes, Evian), ainsi qu'à l'étranger, et Metz souhaite également le faire prolonger. Le joueur assure qu'il y aura "une évolution dans les jours à venir".
Julien Cardy, on entend parler de vous au FC Nantes, qu’en est-il ?
« Effectivement, j’ai eu des contacts avec des dirigeants nantais. Ils prennent régulièrement de mes nouvelles. Je pense qu’il y aura une évolution dans les jours à venir. »
C’est une option que vous suivez avec attention ?
« C’est un contact parmi d’autres auquel je prête attention. »
En parallèle, le FC Metz vous propose une prolongation de contrat…
« Oui, et c’est une proposition que j’écoute. J’ai eu un entretien avec les dirigeants de Metz et je leur ai dit que je ne mettais de côté aucune probabilité, que j’attendais de voir ce qui était proposé. Metz est au même niveau que Nantes. J’ai par ailleurs d’autres propositions en France et à l’étranger. »
En quoi le projet de Nantes vous séduit-il ?
« Parce que Nantes a à cœur de faire largement mieux que cette année, et aura toujours comme objectif de remonter en L1. Comme mon but est aussi de jouer en L1, soit j’ai la possibilité qu’un club de L1 me sollicite et auquel cas ça sera une solution, soit j’opte pour un club de L2 ambitieux, souhaitant retrouver le haut niveau au plus vite. Le FC Nantes entre dans ce critère-là. »
Le fait que Nantes fasse l’ascenseur entre L2 et L1 depuis quelques années ne vous effraie pas trop ?
« Si Nantes me veut vraiment, ils vont mettre en avant leur volonté de retrouver la L1 et me donneront les arguments pour me convaincre. C’est vrai que ces dernières années, le FCN a un peu fait le yo-yo et va enchaîner une deuxième saison consécutive en L2. Or un club comme ça ne peut pas se permettre de végéter en L2. Je suppose donc qu’ils vont mettre les moyens pour remonter en L1 dès la saison prochaine. »
Avez-vous une date butoir pour donner votre réponse ?
« Non, je n’ai pas d’ultimatum, juste quelques souhaits. Quand un club fait de quelqu’un sa priorité, et même s’il y a déjà beaucoup d’autres joueurs dont il n’arrive pas à se séparer, il doit tout faire pour éviter de le perdre. Il faut choisir le bon moment. Après, il ne faut pas qu’on me demande d’attendre longtemps. Ce qui m’importe, c’est mon avenir et il ne s’agit pas de me mettre dans une position trop délicate jusqu’à perdre d’autres propositions. Il faut donc que je jongle avec cela. »
Débarquer dans un club où l’effectif est déjà important ne vous poserait pas de soucis ?
« C’est en effet le problème du club. À lui de savoir quel groupe il doit constituer pour travailler dans les meilleures dispositions. C’est donc un critère qui peut jouer dans la décision finale. »
Quels souvenirs gardez-vous du FC Nantes que vous avez fréquenté plus jeune ?
« De très bons souvenirs. Je suis arrivé à Nantes à 14-15 ans. J’y ai passé quatre années mais je n’ai pas terminé ma formation ici parce qu’il faut croire qu’à ce moment-là je n’étais pas prêt. J’ai ensuite eu la chance de mûrir à Toulouse et de connaître la carrière que j’ai actuellement. Mais les installations de Nantes sont très bonnes. L’outil de travail y est très intéressant et c’est important pour envisager l’avenir. »
- Propos recueillis par Presse-Océan. (16/06/2010)
Julien Cardy, on entend parler de vous au FC Nantes, qu’en est-il ?
« Effectivement, j’ai eu des contacts avec des dirigeants nantais. Ils prennent régulièrement de mes nouvelles. Je pense qu’il y aura une évolution dans les jours à venir. »
C’est une option que vous suivez avec attention ?
« C’est un contact parmi d’autres auquel je prête attention. »
En parallèle, le FC Metz vous propose une prolongation de contrat…
« Oui, et c’est une proposition que j’écoute. J’ai eu un entretien avec les dirigeants de Metz et je leur ai dit que je ne mettais de côté aucune probabilité, que j’attendais de voir ce qui était proposé. Metz est au même niveau que Nantes. J’ai par ailleurs d’autres propositions en France et à l’étranger. »
En quoi le projet de Nantes vous séduit-il ?
« Parce que Nantes a à cœur de faire largement mieux que cette année, et aura toujours comme objectif de remonter en L1. Comme mon but est aussi de jouer en L1, soit j’ai la possibilité qu’un club de L1 me sollicite et auquel cas ça sera une solution, soit j’opte pour un club de L2 ambitieux, souhaitant retrouver le haut niveau au plus vite. Le FC Nantes entre dans ce critère-là. »
Le fait que Nantes fasse l’ascenseur entre L2 et L1 depuis quelques années ne vous effraie pas trop ?
« Si Nantes me veut vraiment, ils vont mettre en avant leur volonté de retrouver la L1 et me donneront les arguments pour me convaincre. C’est vrai que ces dernières années, le FCN a un peu fait le yo-yo et va enchaîner une deuxième saison consécutive en L2. Or un club comme ça ne peut pas se permettre de végéter en L2. Je suppose donc qu’ils vont mettre les moyens pour remonter en L1 dès la saison prochaine. »
Avez-vous une date butoir pour donner votre réponse ?
« Non, je n’ai pas d’ultimatum, juste quelques souhaits. Quand un club fait de quelqu’un sa priorité, et même s’il y a déjà beaucoup d’autres joueurs dont il n’arrive pas à se séparer, il doit tout faire pour éviter de le perdre. Il faut choisir le bon moment. Après, il ne faut pas qu’on me demande d’attendre longtemps. Ce qui m’importe, c’est mon avenir et il ne s’agit pas de me mettre dans une position trop délicate jusqu’à perdre d’autres propositions. Il faut donc que je jongle avec cela. »
Débarquer dans un club où l’effectif est déjà important ne vous poserait pas de soucis ?
« C’est en effet le problème du club. À lui de savoir quel groupe il doit constituer pour travailler dans les meilleures dispositions. C’est donc un critère qui peut jouer dans la décision finale. »
Quels souvenirs gardez-vous du FC Nantes que vous avez fréquenté plus jeune ?
« De très bons souvenirs. Je suis arrivé à Nantes à 14-15 ans. J’y ai passé quatre années mais je n’ai pas terminé ma formation ici parce qu’il faut croire qu’à ce moment-là je n’étais pas prêt. J’ai ensuite eu la chance de mûrir à Toulouse et de connaître la carrière que j’ai actuellement. Mais les installations de Nantes sont très bonnes. L’outil de travail y est très intéressant et c’est important pour envisager l’avenir. »
- Propos recueillis par Presse-Océan. (16/06/2010)