RL du 17/09/2009 : Le défilé des candidats
RL du 17/09/2009 : Le défilé des candidats
Au coeur d’un nord lorrain meurtri, voir Metz accueillir l’Euro 2016 aurait des retombées certaines. Photo RL
Ce n’est pas un concours de miss, mais le principe consiste pareillement à défiler pour montrer ses atouts, parfois ses atours : ces jours-ci, en son siège parisien, la Fédération française de football passe en revue les villes candidates à la candidature du pays à l’organisation de l’Euro 2016. Une délégation messine a ainsi été reçue hier, 16 h, boulevard de Grenelle, afin de montrer que son projet répond au cahier des charges ; une autre le sera de nouveau vendredi, pour un rendez-vous cette fois plus technique concernant exclusivement le stade, et sa conformité aux normes de l’UEFA. Ce jour-là, il s’agira par exemple de répondre à quarante questions dans le domaine du développement durable.
DOSSIER
Comme Metz, Nancy et Strasbourg passent devant ce que les responsables de la candidature française qualifient de « travail d’évaluation » : « Cette phase n’a pas pour objectif de choisir de façon immédiate les villes retenues pour le dossier, ni d’écarter qui que ce soit », a récemment rappelé Jacques Lambert, le directeur général de la FFF.
Pour les postulants, le suspense s’étirera au moins jusqu’à fin octobre, voire jusqu’à la mi-novembre : un délai permettant d’évaluer « la fiabilité, la faisabilité et la solidité du projet de stade », ainsi que les autres aspects figurant au cahier des charges (transport, hébergement, espaces d’animation). Sachant que la France déposera son dossier à la mi-février, il est donc possible que la première liste des villes retenues ne distingue pas les neuf titulaires des trois remplaçants, puisque douze sites (neuf plus trois) figureront au dossier.
Metz, Platini et le parlement
Seize sites en lice depuis le retrait de Nantes, neuf stades pour accueillir les rencontres du premier Euro à regrouper non plus seize mais vingt-quatre équipes, une répartition harmonieuse du territoire : pour les trois villes du nord-est, l’ambition européenne s’apparente aussi à une concurrence interrégionale. Selon toute vraisemblance, l’une des trois villes sera retenue, une deuxième se tiendra en réserve, et la troisième regardera le train passer. Comment se distinguer du voisin ? Strasbourg argue de son statut de capitale européenne, Nancy peut raisonnablement penser que la France aura envie d’intégrer à son dossier la ville dont le président de l’UEFA a porté les couleurs, dans une autre vie.
Metz n’abrite pas de parlement européen, et ne compte pas Michel Platini parmi ses anciens joueurs. Mais avant d’y poser la cerise, mieux vaut s’assurer de la qualité du gâteau. C’est pourquoi le président du FC Metz, Bernard Serin, adopte une attitude conforme à son patronyme : « Pour que sa candidature soit excellente, la France ne retiendra que des dossiers attrayants. » Lui avance la modestie du coût du projet lorrain et les atouts liés à la situation urbaine de Saint-Symphorien. En attendant, le suspense continue.
Sylvain VILLAUME.
Metz et « l’avantage du stade urbain »
Face à ses voisins et concurrents, la capitale lorraine présente un projet moins onéreux et joue sur la situation centrale de Saint-Symphorien, un atout en terme d’animation. Le point avec les dirigeants du FC Metz.
1. Le stade
Vendredi, la présentation technique du projet de stade devant la commission compétente de la Fédération française de football dévoilera un dossier architectural très détaillé. Il l’était déjà, début juillet, lorsqu’il a été dévoilé. « Nous devions lancer notre projet en fin d’année, précise Patrick Razurel, le directeur général du FC Metz, la candidature de la France à l’organisation de l’Euro 2016 nous a simplement incités à avancer le calendrier de quelques mois. » Pour mémoire, la capacité de Saint-Symphorien sera portée à 35000 places grâce à la surélévation de la tribune sud et à la fermeture des quatre angles du stade.
2. Le coût
Le tour de table continue entre mairie, département et club. Dominique Gros, maire de Metz, a annoncé une aide de la ville de l’ordre de « dix millions d’euros », vendredi, sur l’antenne de nos confrères de Radio Jéricho : délibération attendue le mois prochain en conseil municipal. Si elle n’a pas encore été actée, la participation du conseil général de la Moselle devrait être équivalente. Au total, le coût du projet messin se situe dans une fourchette de 32 à 35 millions d’euros. « J’engage le FC Metz dans la partie restante, privée, du financement », indique le président et actionnaire majoritaire du club, Bernard Serin, qui insiste sur la modestie des ambitions messines : « Notre projet est deux à deux fois et demi moins cher qu’ailleurs, car trois des quatre tribunes sont déjà à la bonne hauteur. Or, c’est la surévélation des tribunes qui coûte le plus. »
3. La situation
Conduite par Thierry Jean, adjoint chargé du développement économique, en compagnie de Carlo Molinari, un habitué des lieux, la délégation messine a officiellement déposé son dossier de candidature hier au siège de la Fédération française, à Paris. Au menu : une présentation des projets périphériques à la question du stade (transports, accès, zone d’animation…). « Bénéficier d’un stade urbain est un avantage, estime Bernard Serin, qui permet de faire valoir l’offre culturelle avec les richesses historiques de la ville et le centre Pompidou dans un très petit rayon. » Patrick Razurel souligne quant à lui « l es 8000 places de parking à proximité, ainsi que la gare TGV, l’A31 et le sillon fluvial. » Ou comment revoir comme un atout ce qui, hier, s’apparentait à un défaut : celui d’un stade coincé entre un canal et autoroute. Il est vrai qu’en 2016, l’agglomération devrait être équipée depuis trois ans d’un tout nouveau transport en commun.
4. Le contexte
Successivement meurtri par l’arrêt des charbonnages, le déclin de la sidérurgie et aujourd’hui par le départ des militaires, le nord lorrain est en quête de compensation économique. La Fédération française de football peut-elle être sensible à cette question ? « Elle seule est souveraine, rappelle Bernard Serin, ce qui n’exclut pas qu’elle se soucie de l’aménagement du territoire. »
S. V.
1. Le stade
Vendredi, la présentation technique du projet de stade devant la commission compétente de la Fédération française de football dévoilera un dossier architectural très détaillé. Il l’était déjà, début juillet, lorsqu’il a été dévoilé. « Nous devions lancer notre projet en fin d’année, précise Patrick Razurel, le directeur général du FC Metz, la candidature de la France à l’organisation de l’Euro 2016 nous a simplement incités à avancer le calendrier de quelques mois. » Pour mémoire, la capacité de Saint-Symphorien sera portée à 35000 places grâce à la surélévation de la tribune sud et à la fermeture des quatre angles du stade.
2. Le coût
Le tour de table continue entre mairie, département et club. Dominique Gros, maire de Metz, a annoncé une aide de la ville de l’ordre de « dix millions d’euros », vendredi, sur l’antenne de nos confrères de Radio Jéricho : délibération attendue le mois prochain en conseil municipal. Si elle n’a pas encore été actée, la participation du conseil général de la Moselle devrait être équivalente. Au total, le coût du projet messin se situe dans une fourchette de 32 à 35 millions d’euros. « J’engage le FC Metz dans la partie restante, privée, du financement », indique le président et actionnaire majoritaire du club, Bernard Serin, qui insiste sur la modestie des ambitions messines : « Notre projet est deux à deux fois et demi moins cher qu’ailleurs, car trois des quatre tribunes sont déjà à la bonne hauteur. Or, c’est la surévélation des tribunes qui coûte le plus. »
3. La situation
Conduite par Thierry Jean, adjoint chargé du développement économique, en compagnie de Carlo Molinari, un habitué des lieux, la délégation messine a officiellement déposé son dossier de candidature hier au siège de la Fédération française, à Paris. Au menu : une présentation des projets périphériques à la question du stade (transports, accès, zone d’animation…). « Bénéficier d’un stade urbain est un avantage, estime Bernard Serin, qui permet de faire valoir l’offre culturelle avec les richesses historiques de la ville et le centre Pompidou dans un très petit rayon. » Patrick Razurel souligne quant à lui « l es 8000 places de parking à proximité, ainsi que la gare TGV, l’A31 et le sillon fluvial. » Ou comment revoir comme un atout ce qui, hier, s’apparentait à un défaut : celui d’un stade coincé entre un canal et autoroute. Il est vrai qu’en 2016, l’agglomération devrait être équipée depuis trois ans d’un tout nouveau transport en commun.
4. Le contexte
Successivement meurtri par l’arrêt des charbonnages, le déclin de la sidérurgie et aujourd’hui par le départ des militaires, le nord lorrain est en quête de compensation économique. La Fédération française de football peut-elle être sensible à cette question ? « Elle seule est souveraine, rappelle Bernard Serin, ce qui n’exclut pas qu’elle se soucie de l’aménagement du territoire. »
S. V.
Strasbourg joue la carte des institutions
Depuis l’abandon du projet d’Eurostadium, un stade neuf de 42000 places prévu pour être entièrement financé par des fonds privés, Strasbourg (la ville) semble naviguer à vue comme Strasbourg (le club) avance en zigzags. Le coût de la rénovation de la Meinau, selon un principe acté cet été, est passé de 100 à 160 millions d’euros. Pour en finir avec l’impression de flou et présenter un projet concret, le maire (PS) Roland Ries a convoqué une conférence de presse pour demain. Lundi, en conseil municipal, Roland Ries a été interpellé par son opposition sur l’avancement du dossier : « Je n’imagine pas que Strasbourg ne soit pas retenu, vu les institutions qu’elle abrite », a lancé le maire. Le lendemain, son équipe a pu démontrer sa motivation en déposant officiellement sa candidature, devant la Fédération française. « Les socialistes restent traumatisés par l’erreur commise avant 1998 par Catherine Trautmann, alors maire, qui n’avait pas jugé opportun d’engager des dépenses pour permettre à Strasbourg d’accueillir la Coupe du monde. Cette fois, la volonté politique est réelle », affirme un proche du dossier. A priori, le projet de transformation de la Meinau et de ses alentours prévoit notamment d’atteindre une capacité de 36000 places.
La « crédibilité » de Nancy
La communauté urbaine du Grand Nancy et l’ASNL défendront, demain, leur dossier de candidature pour l’Euro 2016, devant la Fédération. S’il reste quelques menus détails à régler (vote communautaire le 25 septembre, signature du bail emphytéotique en décembre), les deux parties s’avancent avec confiance vers ce rendez-vous. « Notre atout, c’est de proposer un dossier complet et crédible qui est pratiquement bouclé », apprécie Nicolas Holveck, le directeur général du club. « Oui, nous n’avons pas à rechercher des financements », complète Michel Dufraisse côté CUGN.
La note de l’extension de Marcel-Picot s’élèvera à 80 M€. Elle sera entièrement prise en charge par l’ASNL qui devra rembourser sur une période de 30 à 35 ans, tandis que les collectivités s’occuperont des aménagements extérieurs. L’idée est d’augmenter la capacité du stade à 35 000 places. Autres évolutions notables : l’enceinte sera pourvue d’une pelouse synthétique et surtout d’un toit rétractable, selon le projet présenté le 20 juillet dernier par Jacques Rousselot, le patron du club nancéien, lors de la tournée des villes candidates du duo Escalettes - Thiriez.
La note de l’extension de Marcel-Picot s’élèvera à 80 M€. Elle sera entièrement prise en charge par l’ASNL qui devra rembourser sur une période de 30 à 35 ans, tandis que les collectivités s’occuperont des aménagements extérieurs. L’idée est d’augmenter la capacité du stade à 35 000 places. Autres évolutions notables : l’enceinte sera pourvue d’une pelouse synthétique et surtout d’un toit rétractable, selon le projet présenté le 20 juillet dernier par Jacques Rousselot, le patron du club nancéien, lors de la tournée des villes candidates du duo Escalettes - Thiriez.
Dernière modification par Séb le 17 sept. 2009, 06:16, modifié 1 fois.
Euro, mode d’emploi
• Seize sites postulent à figurer dans le dossier de la candidature française : trois en Ile-de-France (Stade de France à Saint-Denis, Parc des Princes à Paris, stade du Racing Metro en Hauts-de-Seine) ; deux dans le nord (Lens, Lille) ; trois dans le nord-est (Metz, Nancy, Strasbourg), deux en Rhône-Alpes (Lyon, Saint-Etienne) ; trois dans le sud-est (Marseille, Montpellier, Nice) ; deux dans le sud-ouest (Bordeaux, Toulouse) ; un au nord-ouest (Rennes). Au final, neuf sites seront retenus, plus trois sites de réserve.
• La Fédération française devrait arrêter le choix des sites retenus entre fin octobre et mi novembre, afin de boucler pour le 31 décembre un dossier qu’elle doit déposer définitivement auprès de l’UEFA le 15 février 2010. La désignation du pays organisateur interviendra le 27 mai 2010 : outre la France, postulent l’Italie, la Turquie et, dans une candidature commune, la Norvège et la Suède.
• La Fédération française devrait arrêter le choix des sites retenus entre fin octobre et mi novembre, afin de boucler pour le 31 décembre un dossier qu’elle doit déposer définitivement auprès de l’UEFA le 15 février 2010. La désignation du pays organisateur interviendra le 27 mai 2010 : outre la France, postulent l’Italie, la Turquie et, dans une candidature commune, la Norvège et la Suède.
fc metz express
Tableau de bord. Aujourd’hui : une séance d’entraînement à 16 h 30, terrain du bord de l’autoroute.
D’un match à l’autre. Dernier match : Metz - Tours (6e journée de Ligue 2) vendredi 11 septembre : 1-1. Prochain match : Metz - Dijon (7e journée) demain (20 h). A suivre : Metz - Valenciennes (16 e de finale de la Coupe de la Ligue) mercredi 23 septembre (18 h 45) ; Le Havre - Metz (8 e journée) samedi 26 septembre (19 h) ; Metz - Laval (9e journée) vendredi 2 octobre (20 h 30).
A l’infirmerie. Outre Stéphane Borbiconi ( lire ci-dessous), Pierre Zimmer (déchirure à la cuisse) est à l’arrêt.
Suspendu. Aucun.
D’un match à l’autre. Dernier match : Metz - Tours (6e journée de Ligue 2) vendredi 11 septembre : 1-1. Prochain match : Metz - Dijon (7e journée) demain (20 h). A suivre : Metz - Valenciennes (16 e de finale de la Coupe de la Ligue) mercredi 23 septembre (18 h 45) ; Le Havre - Metz (8 e journée) samedi 26 septembre (19 h) ; Metz - Laval (9e journée) vendredi 2 octobre (20 h 30).
A l’infirmerie. Outre Stéphane Borbiconi ( lire ci-dessous), Pierre Zimmer (déchirure à la cuisse) est à l’arrêt.
Suspendu. Aucun.
Encore sans Borbiconi
Déjà absent à Nîmes, le 30 août, en raison d’une entorse à la cheville, puis toujours indisponible vendredi dernier pour la venue de Tours après deux semaines de trêve, Stéphane Borbiconi ne renouera pas avec la compétition, demain soir, lors de Metz - Dijon : il n’est pas totalement remis. Du coup, c’est de nouveau en défense centrale que le Portugais Frechaut devrait apparaître pour la deuxième fois, aux côtés de Vivian.
Pour le reste, Yvon Pouliquen disposera donc d’un choix assez vaste pour composer et son groupe, et son équipe de départ. L’entraîneur messin hésite-t-il tout particulièrement en attaque, où il enregistre le retour de Razak Omotoyossi ? « Tout à fait ! », répond-il.
Alignés avant-hier à Villerupt lors d’un match amical face à une sélection locale, Vincent Bessat, Cheikh Gueye, Victor Mendy, Mario Mutsch et Razak Omotoyossi sont « tous susceptibles de figurer dans le groupe », indique Pouliquen qui pourrait donc communiquer un groupe de plus de seize joueurs, ce soir, à l’issue de l’ultime séance d’avant-match.
Pour le reste, Yvon Pouliquen disposera donc d’un choix assez vaste pour composer et son groupe, et son équipe de départ. L’entraîneur messin hésite-t-il tout particulièrement en attaque, où il enregistre le retour de Razak Omotoyossi ? « Tout à fait ! », répond-il.
Alignés avant-hier à Villerupt lors d’un match amical face à une sélection locale, Vincent Bessat, Cheikh Gueye, Victor Mendy, Mario Mutsch et Razak Omotoyossi sont « tous susceptibles de figurer dans le groupe », indique Pouliquen qui pourrait donc communiquer un groupe de plus de seize joueurs, ce soir, à l’issue de l’ultime séance d’avant-match.
- laurentlelorrain
- Messages : 930
- Inscription : 26 août 2009, 21:58
Re: RL du 17/09/2009 : Le défilé des candidats
Voilà en trois phrases les raisons de ne pas croire en notre projet. On est un club qui n'a pas de chance malheureusement . On va se faire sucrer ce genre d'opportunité 2 fois en 15 ans .Séb a écrit :
Comment se distinguer du voisin ? Strasbourg argue de son statut de capitale européenne, Nancy peut raisonnablement penser que la France aura envie d’intégrer à son dossier la ville dont le président de l’UEFA a porté les couleurs, dans une autre vie.
Metz n’abrite pas de parlement européen, et ne compte pas Michel Platini parmi ses anciens joueurs.
Strasbourg n'a que cette argument bidon d'hebergement de parlement à la noix et Platini s'il peut faire payer un club qui n'a pas voulu de lui étant jeune ne va pas se gener c'est donc pour ces deux raisons évidentes que METZ n'accueillera pas l'euro 2016. DOMMAGE BELLE EFFORT VENDREDI DERNIER AU STADE :bbr:
- granatrotes_herz
- Messages : 828
- Inscription : 26 août 2009, 22:09
- Localisation : Metz
Re: RL du 17/09/2009 : Le défilé des candidats
Inutile de faire des gosses puisqu'ils mourront un jour, c'est ça ? :roll:laurentlelorrain a écrit :Voilà en trois phrases les raisons de ne pas croire en notre projet. On est un club qui n'a pas de chance malheureusement . On va se faire sucrer ce genre d'opportunité 2 fois en 15 ans .
Strasbourg n'a que cette argument bidon d'hebergement de parlement à la noix et Platini s'il peut faire payer un club qui n'a pas voulu de lui étant jeune ne va pas se gener c'est donc pour ces deux raisons évidentes que METZ n'accueillera pas l'euro 2016. DOMMAGE BELLE EFFORT VENDREDI DERNIER AU STADE :bbr:
Tant que le verdict n'est pas rendu, espérons.
- drac
- Messages : 15992
- Inscription : 27 août 2009, 00:03
- Localisation : Metz Queuleu avec vue sur mon église du Sablon
Re: RL du 17/09/2009 : Le défilé des candidats
Pourquoi casser l'effort et le rêve des autres.laurentlelorrain a écrit :Voilà en trois phrases les raisons de ne pas croire en notre projet. On est un club qui n'a pas de chance malheureusement . On va se faire sucrer ce genre d'opportunité 2 fois en 15 ans .Séb a écrit :
Comment se distinguer du voisin ? Strasbourg argue de son statut de capitale européenne, Nancy peut raisonnablement penser que la France aura envie d’intégrer à son dossier la ville dont le président de l’UEFA a porté les couleurs, dans une autre vie.
Metz n’abrite pas de parlement européen, et ne compte pas Michel Platini parmi ses anciens joueurs.
Strasbourg n'a que cette argument bidon d'hebergement de parlement à la noix et Platini s'il peut faire payer un club qui n'a pas voulu de lui étant jeune ne va pas se gener c'est donc pour ces deux raisons évidentes que METZ n'accueillera pas l'euro 2016. DOMMAGE BELLE EFFORT VENDREDI DERNIER AU STADE :bbr:
Je ne participe pas aux manifestations de soutien pour de multiples raisons essentiellement professionnelles, mais dans cette mesure, je me garderais bien de juger ceux qui bougent et je les encourage en plus à le faire.
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