RL du 05/03/2011 : Le cave se rebiffe
Publié : 05 mars 2011, 03:51
Le cave se rebiffe
Un petit point, grand effet. En arrachant, avec les tripes, un quatrième nul d’affilée, hier soir à Reims, le FC Metz sort de la zone rouge. Enfin !

Romain Brégerie et les Messins reviennent de loin. Le capitaine lorrain a sonné la révolte à Reims, où lui et ses coéquipiers ont entretenu l’espoir du maintien en Ligue 2. Photo Fred MARVAUX
Trois mois qu’ils l’attendaient. Depuis la dix-huitième journée très exactement. Hier soir, au détour d’une sortie dans la Marne, conjuguée au faux-pas de Nîmes à Sedan, les Messins ont quitté la zone rouge. Pas de quoi déboucher le champagne, non. Mais un bon bol d’air tout de même. De ceux qui pourraient enfin permettre aux Lorrains de se libérer. Une sensation qu’ils ont pourtant bien du mal à maîtriser. La preuve en a encore été faite hier soir avec en filigrane un début de rencontre catastrophique.
De notre envoyé spécial à Reims
Car c’est décidément un mal dont les Messins ont bien du mal à guérir. Passés maîtres dans l’art de passer complètement à côté de leur entame de mi-temps, les hommes de Dominique Bijotat ont une nouvelle fois démontré qu’ils n’avaient pas leur pareil dans cet exercice. Et la demi-heure syndicale supplémentaire imposée par le trio arbitral n’y a rien changé. Il était 20h31, hier soir au stade Auguste-Delaune lorsque Reims a ouvert la marque.
Les Rémois, qui craignaient de souffrir physiquement après leur match de Coupe de France, ne pouvaient rêver meilleure offrande. Une offensive, une seule, un corner, un seul, et Toudic pouvait tranquillement inscrire son douzième but de la saison. Bien aidé, il est vrai par un marquage plus que laxiste de la défense messine, Cheikh Gueye en tête...
Et que dire de cette mésentente – ce manque criant de communication – entre Frechaut et son gardien Joris Delle à la reprise ? Le centre (la frappe ?) très, très mou signé Amalfitano terminait doucement sa course dans le but (54 e). Un vrai crève-cœur car à ce moment précis de la rencontre, le FC Metz pouvait légitimement caresser l’espoir de mener à bien son opération survie en arrachant, au pire un point, au mieux trois unités. Un espoir né de l’égalisation signé Romain Brégerie, d’une tête rageuse (24 e). Un but qui redonnait des couleurs à des Messins tout de noir vêtus hier soir. Car après l’ouverture du score de Toudic, Metz a offert ce triste visage dont lui seul a le secret cette saison. A l’image de Fallou Diagne qui gênait tout d’abord la relance de... Frechaut (20 e) avant de lancer... Toudic, d’une "subtile" talonnade (21 e). Deux actions sans conséquence, mais qui en disaient alors long sur la fébrilité des coéquipiers de Ludovic Guerriero.
Duhamel en trois fois
Mais à chaque fois, Metz a donc réagi. De façon brouillonne certes. Mais avec envie. C’est sans aucun doute la principale leçon à retenir de ce court déplacement à Reims. Certes, ce vent de révolte a soufflé de manière inégale. Mais à l’instar de Romain Brégerie, impeccable dans sa panoplie de pompier de service, ou d’un Ludovic Guerreiro, menant ses troupes au combat avec conviction, les Messins ont sauvé l’essentiel. Car si le FC Metz compte un point supplémentaire dans sa longue marche (forcée) devant mener au maintien, il le doit aussi à un Mathieu Duhamel omniprésent et décisif.
Alors que Reims, à l’énergie, poussait encore et encore, l’attaquant prêté par Troyes, lui, a poursuivi sans relâche son travail de sape. Et si ses deux premières tentatives (68 e, 79 e) flirtaient avec les montants d’Agassa, la troisième fut la bonne. Parfaitement lancé dans la profondeur par Tenema N’Diaye, il s’en allait, d’un plat du pied plein de sang-froid, offrir l’égalisation tant espérée par son camp (81 e). La fin de match était crispante, comme souvent avec ces Messins-là – Reims aurait sans doute dû bénéficier d’un penalty dans le temps additionnel – mais ils tenaient leur point. Précieux. Hier, en Champagne, Metz a une nouvelle fois montré ses limites. Mais il également prouvé que le cave avait les moyens de se rebiffer...
J.-S. GALLOIS.
« Une bouffée d’oxygène »

La débauche d’énergie de Mahamane Traoré et des Messins a fini par payer. Photo Fred MARVAUX
EN VUE
Brégerie. Si ses dernières sorties étaient plutôt à ranger au rayon mi-figue, mi-raisin, le défenseur messin a, hier soir, fait preuve d’une grande justesse. Et dans la durée. Précieux dans le jeu aérien (son but le prouve), il a toujours été bien placé et s’est appliqué dans ses relances.
N’Diaye. Une entrée inspirée de l’attaquant malien. Une justesse technique, une vision du jeu intéressante et surtout une passe décisive à l’attention de Mathieu Duhamel.
DANS L’OMBRE
Diagne. Placé devant la défense, Fallou Diagne a traversé une bonne partie de la première période comme un fantôme. Problème de communication avec ses coéquipiers, gestes techniques mal maîtrisés (une fois encore), il a su rendre son jeu plus simple et plus fluide à la reprise. Un moindre mal.
Frechaut. Fébrile, le geste souvent peu assuré, le Portugais ne s’est guère montré à son avantage. Pire, il a laissé échapper un ballon devant son gardien permettant à Amalfitano d’inscrire le deuxième but rémois.
PAROLES, PAROLES
Dominique Bijotat (entraîneur de Metz) : « Ce point est mérité car nous avons eu les ressources mentales pour nous relever après les deux buts rémois. Je déplore toutefois encore quelques gestes de fébrilité et de panique, mais je retiens aussi le caractère dont nous avons fait preuve. On sort de la zone rouge, seulement grâce à une meilleure différence de but certes, mais c’est une réelle bouffée d’oxygène. »
Mathieu Duhamel (attaquant de Metz) : « On débute très mal la rencontre et le deuxième but rémois est tout simplement inacceptable. Mais on a su faire les efforts. Et on a été récompensé. Sortir de la zone rouge ? Psychologiquement, ça fait un bien fou ! »
Hubert Fournier (entraîneur de Reims) : « Le contraste était saisissant entre notre prestation face à Nice et le match de ce soir. Physiquement, on a accusé le coup. Ce point ne fait évidemment pas nos affaires. »
TEMPS ADDITIONNEL
Prendre de la hauteur, voilà encore le meilleur moyen d’observer son adversaire. Le staff technique du Stade de Reims l’a bien compris en envoyant, hier, un de ses membres en tribunes. Ce dernier, stylo et calepin à portée de main, a distillé ses informations via son téléphone portable. Pour finalement redescendre, furieux, vers la pelouse lorsque Metz a égalisé...
J.-S. G.
L’HOMME DU MATCH Mathieu Duhamel. Il a symbolisé...
L’HOMME DU MATCH

Mathieu Duhamel. Photo Fred MARVAUX
Mathieu Duhamel. Il a symbolisé à lui seul cette volonté messine de ne rien lâcher hier soir. Une fois encore... Dans la tourmente, l’attaquant du FC Metz s’est sacrifié dans les tâches défensives, harcelant sans relâche l’arrière-garde rémoise. Esseulé à la pointe de l’attaque, il a tenté sa chance à la moindre occasion, à l’image de cette frappe en pivot au milieu de trois défenseurs (32 e). Il aurait même été injuste que Mathieu Duhamel n’inscrive pas son cinquième but sous les couleurs messines. Il n’y a pas d’injustice... L’abnégation étant inscrite dans ses gènes, le numéro dix grenat a délivré son camp d’une frappe tout en finesse, synonyme d’égalisation.
CFA : Metz veut oublier Compiègne
Le match. FC METZ : 4 e avec 52 pts (9 victoires, 7 nuls, 2 défaites) ; dernier match : nul à Compiègne (1-1). LILLE : 15 e avec 35 pts (3 victoires, 6 nuls, 11 défaites) ; dernier match : nul face à Villemomble (0-0).
L’enjeu. L’équipe de Compiègne est parvenue à freiner la course à la victoire des Messins. La jolie série de cinq succès consécutifs a pris fin samedi lors du déplacement en terre picarde où les Mosellans ont été contraints de partager les points. Encaissant un but à la 73 e minute de jeu, les protégés de José Pinot égalisaient treize minutes plus tard grâce à Kayombo. Ce nul permet aux Messins de poursuivre dans cette spirale positive qui les a menés à la 4 e place au classement. Comptant toujours deux matchs de retard, Metz va tenter d’obtenir une nouvelle victoire demain face à Lille. La réserve nordiste, pas au mieux actuellement puisqu’elle pointe au 15 e rang, reste néanmoins sur une égalité face à Villemomble (0-0). L’ayant déjà emporté à l’aller (1-3), les Lorrains semblent, sur le papier, partir favoris pour cette rencontre.
Le groupe messin. Thibaut Bourgeois, qui a renoué avec la compétition la semaine dernière à Compiègne, devrait être imité dimanche par Yéni N’Gbakoto, dont l’entorse à la cheville contractée à Troyes ne semble plus qu’un mauvais souvenir. Concernant le groupe qui affrontera Lille, José Pinot, qui dispose de tout son effectif à l’exception de Seydou Simpara, n’avait pas encore arrêté son choix vendredi matin au terme de l’entraînement auquel Gaëtan Bussmann et Diafra Sakho, non retenu pour le déplacement à Reims avec les professionnels, ont pris part.
FC Metz - Lille, demain (15 h) au Stade des Hauts de Blémont
à Metz-Borny
Un petit point, grand effet. En arrachant, avec les tripes, un quatrième nul d’affilée, hier soir à Reims, le FC Metz sort de la zone rouge. Enfin !
Romain Brégerie et les Messins reviennent de loin. Le capitaine lorrain a sonné la révolte à Reims, où lui et ses coéquipiers ont entretenu l’espoir du maintien en Ligue 2. Photo Fred MARVAUX
Trois mois qu’ils l’attendaient. Depuis la dix-huitième journée très exactement. Hier soir, au détour d’une sortie dans la Marne, conjuguée au faux-pas de Nîmes à Sedan, les Messins ont quitté la zone rouge. Pas de quoi déboucher le champagne, non. Mais un bon bol d’air tout de même. De ceux qui pourraient enfin permettre aux Lorrains de se libérer. Une sensation qu’ils ont pourtant bien du mal à maîtriser. La preuve en a encore été faite hier soir avec en filigrane un début de rencontre catastrophique.
De notre envoyé spécial à Reims
Car c’est décidément un mal dont les Messins ont bien du mal à guérir. Passés maîtres dans l’art de passer complètement à côté de leur entame de mi-temps, les hommes de Dominique Bijotat ont une nouvelle fois démontré qu’ils n’avaient pas leur pareil dans cet exercice. Et la demi-heure syndicale supplémentaire imposée par le trio arbitral n’y a rien changé. Il était 20h31, hier soir au stade Auguste-Delaune lorsque Reims a ouvert la marque.
Les Rémois, qui craignaient de souffrir physiquement après leur match de Coupe de France, ne pouvaient rêver meilleure offrande. Une offensive, une seule, un corner, un seul, et Toudic pouvait tranquillement inscrire son douzième but de la saison. Bien aidé, il est vrai par un marquage plus que laxiste de la défense messine, Cheikh Gueye en tête...
Et que dire de cette mésentente – ce manque criant de communication – entre Frechaut et son gardien Joris Delle à la reprise ? Le centre (la frappe ?) très, très mou signé Amalfitano terminait doucement sa course dans le but (54 e). Un vrai crève-cœur car à ce moment précis de la rencontre, le FC Metz pouvait légitimement caresser l’espoir de mener à bien son opération survie en arrachant, au pire un point, au mieux trois unités. Un espoir né de l’égalisation signé Romain Brégerie, d’une tête rageuse (24 e). Un but qui redonnait des couleurs à des Messins tout de noir vêtus hier soir. Car après l’ouverture du score de Toudic, Metz a offert ce triste visage dont lui seul a le secret cette saison. A l’image de Fallou Diagne qui gênait tout d’abord la relance de... Frechaut (20 e) avant de lancer... Toudic, d’une "subtile" talonnade (21 e). Deux actions sans conséquence, mais qui en disaient alors long sur la fébrilité des coéquipiers de Ludovic Guerriero.
Duhamel en trois fois
Mais à chaque fois, Metz a donc réagi. De façon brouillonne certes. Mais avec envie. C’est sans aucun doute la principale leçon à retenir de ce court déplacement à Reims. Certes, ce vent de révolte a soufflé de manière inégale. Mais à l’instar de Romain Brégerie, impeccable dans sa panoplie de pompier de service, ou d’un Ludovic Guerreiro, menant ses troupes au combat avec conviction, les Messins ont sauvé l’essentiel. Car si le FC Metz compte un point supplémentaire dans sa longue marche (forcée) devant mener au maintien, il le doit aussi à un Mathieu Duhamel omniprésent et décisif.
Alors que Reims, à l’énergie, poussait encore et encore, l’attaquant prêté par Troyes, lui, a poursuivi sans relâche son travail de sape. Et si ses deux premières tentatives (68 e, 79 e) flirtaient avec les montants d’Agassa, la troisième fut la bonne. Parfaitement lancé dans la profondeur par Tenema N’Diaye, il s’en allait, d’un plat du pied plein de sang-froid, offrir l’égalisation tant espérée par son camp (81 e). La fin de match était crispante, comme souvent avec ces Messins-là – Reims aurait sans doute dû bénéficier d’un penalty dans le temps additionnel – mais ils tenaient leur point. Précieux. Hier, en Champagne, Metz a une nouvelle fois montré ses limites. Mais il également prouvé que le cave avait les moyens de se rebiffer...
J.-S. GALLOIS.
« Une bouffée d’oxygène »
La débauche d’énergie de Mahamane Traoré et des Messins a fini par payer. Photo Fred MARVAUX
EN VUE
Brégerie. Si ses dernières sorties étaient plutôt à ranger au rayon mi-figue, mi-raisin, le défenseur messin a, hier soir, fait preuve d’une grande justesse. Et dans la durée. Précieux dans le jeu aérien (son but le prouve), il a toujours été bien placé et s’est appliqué dans ses relances.
N’Diaye. Une entrée inspirée de l’attaquant malien. Une justesse technique, une vision du jeu intéressante et surtout une passe décisive à l’attention de Mathieu Duhamel.
DANS L’OMBRE
Diagne. Placé devant la défense, Fallou Diagne a traversé une bonne partie de la première période comme un fantôme. Problème de communication avec ses coéquipiers, gestes techniques mal maîtrisés (une fois encore), il a su rendre son jeu plus simple et plus fluide à la reprise. Un moindre mal.
Frechaut. Fébrile, le geste souvent peu assuré, le Portugais ne s’est guère montré à son avantage. Pire, il a laissé échapper un ballon devant son gardien permettant à Amalfitano d’inscrire le deuxième but rémois.
PAROLES, PAROLES
Dominique Bijotat (entraîneur de Metz) : « Ce point est mérité car nous avons eu les ressources mentales pour nous relever après les deux buts rémois. Je déplore toutefois encore quelques gestes de fébrilité et de panique, mais je retiens aussi le caractère dont nous avons fait preuve. On sort de la zone rouge, seulement grâce à une meilleure différence de but certes, mais c’est une réelle bouffée d’oxygène. »
Mathieu Duhamel (attaquant de Metz) : « On débute très mal la rencontre et le deuxième but rémois est tout simplement inacceptable. Mais on a su faire les efforts. Et on a été récompensé. Sortir de la zone rouge ? Psychologiquement, ça fait un bien fou ! »
Hubert Fournier (entraîneur de Reims) : « Le contraste était saisissant entre notre prestation face à Nice et le match de ce soir. Physiquement, on a accusé le coup. Ce point ne fait évidemment pas nos affaires. »
TEMPS ADDITIONNEL
Prendre de la hauteur, voilà encore le meilleur moyen d’observer son adversaire. Le staff technique du Stade de Reims l’a bien compris en envoyant, hier, un de ses membres en tribunes. Ce dernier, stylo et calepin à portée de main, a distillé ses informations via son téléphone portable. Pour finalement redescendre, furieux, vers la pelouse lorsque Metz a égalisé...
J.-S. G.
L’HOMME DU MATCH Mathieu Duhamel. Il a symbolisé...
L’HOMME DU MATCH
Mathieu Duhamel. Photo Fred MARVAUX
Mathieu Duhamel. Il a symbolisé à lui seul cette volonté messine de ne rien lâcher hier soir. Une fois encore... Dans la tourmente, l’attaquant du FC Metz s’est sacrifié dans les tâches défensives, harcelant sans relâche l’arrière-garde rémoise. Esseulé à la pointe de l’attaque, il a tenté sa chance à la moindre occasion, à l’image de cette frappe en pivot au milieu de trois défenseurs (32 e). Il aurait même été injuste que Mathieu Duhamel n’inscrive pas son cinquième but sous les couleurs messines. Il n’y a pas d’injustice... L’abnégation étant inscrite dans ses gènes, le numéro dix grenat a délivré son camp d’une frappe tout en finesse, synonyme d’égalisation.
CFA : Metz veut oublier Compiègne
Le match. FC METZ : 4 e avec 52 pts (9 victoires, 7 nuls, 2 défaites) ; dernier match : nul à Compiègne (1-1). LILLE : 15 e avec 35 pts (3 victoires, 6 nuls, 11 défaites) ; dernier match : nul face à Villemomble (0-0).
L’enjeu. L’équipe de Compiègne est parvenue à freiner la course à la victoire des Messins. La jolie série de cinq succès consécutifs a pris fin samedi lors du déplacement en terre picarde où les Mosellans ont été contraints de partager les points. Encaissant un but à la 73 e minute de jeu, les protégés de José Pinot égalisaient treize minutes plus tard grâce à Kayombo. Ce nul permet aux Messins de poursuivre dans cette spirale positive qui les a menés à la 4 e place au classement. Comptant toujours deux matchs de retard, Metz va tenter d’obtenir une nouvelle victoire demain face à Lille. La réserve nordiste, pas au mieux actuellement puisqu’elle pointe au 15 e rang, reste néanmoins sur une égalité face à Villemomble (0-0). L’ayant déjà emporté à l’aller (1-3), les Lorrains semblent, sur le papier, partir favoris pour cette rencontre.
Le groupe messin. Thibaut Bourgeois, qui a renoué avec la compétition la semaine dernière à Compiègne, devrait être imité dimanche par Yéni N’Gbakoto, dont l’entorse à la cheville contractée à Troyes ne semble plus qu’un mauvais souvenir. Concernant le groupe qui affrontera Lille, José Pinot, qui dispose de tout son effectif à l’exception de Seydou Simpara, n’avait pas encore arrêté son choix vendredi matin au terme de l’entraînement auquel Gaëtan Bussmann et Diafra Sakho, non retenu pour le déplacement à Reims avec les professionnels, ont pris part.
FC Metz - Lille, demain (15 h) au Stade des Hauts de Blémont
à Metz-Borny