[L'indécence générale] Comment peut-on oser ?

[Amsalem]

Comme, je présume (et j'espère), nombre d'autres supporters présents hier soir, ma fin de match fut totalement décalée par rapport à d'autres et notamment certains spectateurs/supporters tout d'abord : Comment peut-on oser virevolter de joie à l'égalisation de Duhamel (encore lui) considérant que plus qu'une porte laissée entrouverte pour la Ligue des Champions, elle ne fait que maintenir un mourant sous assistance respiratoire, repoussant de semaine en semaine l'heure du trépas. J'ai été abasourdi par cet étalage de subite bonne humeur alors que quelques minutes avant, nous avions tous été les témoins d'une des actions les plus hallucinantes qu'il m'ait été donné de voir dans un stade où une équipe professionnelle y sévit.

Ceux qui n'ont pas vu les images ne peuvent pleinement mesurer l'ampleur du désastre mais, en quelques mots, on peut les y aider : réduits à 10, et face à une équipe messine devenue aussi inventive qu'un stagiaire chez Endemol, Clermont s'offre un contre. Dans les faits, ça donne une tape à suivre le long de la Nord, un clermontois à la lutte avec Bregerie et...un seul soutien éventuel pour l'adversaire ainsi esseulé, un seul malheureux gusse qui, dans l'axe aux 25m, vient faire logiquement un appel croisé aux 16m. Et le pire? C'est qu'il ne vient même pas au banc de mollusques qui attend patiemment que l'inéluctable se produise, d'aller sur le mec qui a le temps d'être servi, de se retourner et de faire une vieille frappe croisée à ras de terre sur laquelle Dell a l'explosivité d'un Marichez. J'ai hâte de revoir les images mais en direct, c'était proprement pathétique.

J'allais oublier de mentionner certains journalistes comme le mec de Direct qui, hier soir et face à un Bijotat dépité, a insisté pour que celui-ci reconnaisse que "ce point pourrait être un point qui compte", genre de phrase à la c**, difficilement attaquables mais qui ne sont qu'un sinistre cache-misère quand le seul objectif était la victoire...une victoire à un crampon...où nous avons eu toutes les cartes en mains, menant deux fois au score puis évoluant en supériorité numérique. Mais non, quand on baigne dans le formol, c'est dur d'avancer et de ne pas se faire dessus en concédant par exemple un coup-franc à 20m d'une bêtise absolue. Et puis...quand un mec part tranquillement côté gauche, qu'on le laisse centrer sans pression et que le meilleur buteur du championnat de Ligue 2, oublié, peut tranquillement placer sa tête, non, vraiment, il n'y a rien qui se prête à de telles manifestations de joie.

Est-ce que toutes ces personnes, celles qui vont oser faire la roue pendant une semaine, se touchant le nombril à la mémoire de nos vaillants grenats, exemplaires de courage, guerriers infatigables, ceux-là même qui nous ont offert le privilège de sortir de la zone rouge - rendez-vous compte! - pour quelques jours, ont réellement pris conscience de l'immensité de nos manquements, des fautes impardonnables qui ont été à nouveau commises hier soir et plus généralement, de notre situation et des conséquences induites par une relégation en National? Si tel n'est pas le cas, qu'elles fassent au moins semblant...

[Jeff59]

Comme, je présume (et j'espère), nombre d'autres supporters présents hier soir, ma fin de match fut totalement décalée par rapport à d'autres et notamment certains spectateurs/supporters tout d'abord : Comment peut-on oser virevolter de joie à l'égalisation de Duhamel (encore lui) considérant que plus qu'une porte laissée entrouverte pour la Ligue des Champions, elle ne fait que maintenir un mourant sous assistance respiratoire, repoussant de semaine en semaine l'heure du trépas. J'ai été abasourdi par cet étalage de subite bonne humeur alors que quelques minutes avant, nous avions tous été les témoins d'une des actions les plus hallucinantes qu'il m'ait été donné de voir dans un stade où une équipe professionnelle y sévit.

Ceux qui n'ont pas vu les images ne peuvent pleinement mesurer l'ampleur du désastre mais, en quelques mots, on peut les y aider : réduits à 10, et face à une équipe messine devenue aussi inventive qu'un stagiaire chez Endemol, Clermont s'offre un contre. Dans les faits, ça donne une tape à suivre le long de la Nord, un clermontois à la lutte avec Bregerie et...un seul soutien éventuel pour l'adversaire ainsi esseulé, un seul malheureux gusse qui, dans l'axe aux 25m, vient faire logiquement un appel croisé aux 16m. Et le pire? C'est qu'il ne vient même pas au banc de mollusques qui attend patiemment que l'inéluctable se produise, d'aller sur le mec qui a le temps d'être servi, de se retourner et de faire une vieille frappe croisée à ras de terre sur laquelle Dell a l'explosivité d'un Marichez. J'ai hâte de revoir les images mais en direct, c'était proprement pathétique.

J'allais oublier de mentionner certains journalistes comme le mec de Direct qui, hier soir et face à un Bijotat dépité, a insisté pour que celui-ci reconnaisse que "ce point pourrait être un point qui compte", genre de phrase à la c**, difficilement attaquables mais qui ne sont qu'un sinistre cache-misère quand le seul objectif était la victoire...une victoire à un crampon...où nous avons eu toutes les cartes en mains, menant deux fois au score puis évoluant en supériorité numérique. Mais non, quand on baigne dans le formol, c'est dur d'avancer et de ne pas se faire dessus en concédant par exemple un coup-franc à 20m d'une bêtise absolue. Et puis...quand un mec part tranquillement côté gauche, qu'on le laisse centrer sans pression et que le meilleur buteur du championnat de Ligue 2, oublié, peut tranquillement placer sa tête, non, vraiment, il n'y a rien qui se prête à de telles manifestations de joie.

Est-ce que toutes ces personnes, celles qui vont oser faire la roue pendant une semaine, se touchant le nombril à la mémoire de nos vaillants grenats, exemplaires de courage, guerriers infatigables, ceux-là même qui nous ont offert le privilège de sortir de la zone rouge - rendez-vous compte! - pour quelques jours, ont réellement pris conscience de l'immensité de nos manquements, des fautes impardonnables qui ont été à nouveau commises hier soir et plus généralement, de notre situation et des conséquences induites par une relégation en National? Si tel n'est pas le cas, qu'elles fassent au moins semblant...

+ 1 sur toute la ligne.

[Goon]

Que dire après un tel post? Rien à ajouter en tout cas!
Mais bon sang, que nos chère dirigeants prennent leurs responsabilités! Il est temps aujourd'hui !

[wulfgar]

Effectivement tout est dit ...

[Dieu]

L'égalisation m'a déçu car j'attendais une petite bronca ^^

[titi_lorraine]

On n'a pas attendu le match d'hier pour se rendre compte que l'équipe est faible et que les dirigeants ont fait des erreurs... simplement c'était la moindre des choses de prendre au moins un point vu la physionomie et les événements de la rencontre... donc oui moi j'ai sauté de joie sur l'égalisation finale, ne serait ce que par rapport à Clermont qui ne méritait pas de l'emporter.

Applaudir ce dernier but, c'est garder un espoir dans un championnat du maintien à quatre équipes, se dire que le club n'est pas tout à fait mort, être content pour un joueur comme Duhamel qui a fait preuve d'une abnégation sans limite depuis son arrivée, etc.

Rien que pour ce joueur, tu ne peux pas écrire de telles choses. Franchement, lire ton post dès le matin, ça me fait gerber...

PS : excuse moi d'avoir passé une relative bonne soirée et d'y avoir pris un peu de plaisir ;)

[beaulier]

Comme, je présume (et j'espère), nombre d'autres supporters présents hier soir, ma fin de match fut totalement décalée par rapport à d'autres et notamment certains spectateurs/supporters tout d'abord : Comment peut-on oser virevolter de joie à l'égalisation de Duhamel (encore lui) considérant que plus qu'une porte laissée entrouverte pour la Ligue des Champions, elle ne fait que maintenir un mourant sous assistance respiratoire, repoussant de semaine en semaine l'heure du trépas. J'ai été abasourdi par cet étalage de subite bonne humeur alors que quelques minutes avant, nous avions tous été les témoins d'une des actions les plus hallucinantes qu'il m'ait été donné de voir dans un stade où une équipe professionnelle y sévit.

Ceux qui n'ont pas vu les images ne peuvent pleinement mesurer l'ampleur du désastre mais, en quelques mots, on peut les y aider : réduits à 10, et face à une équipe messine devenue aussi inventive qu'un stagiaire chez Endemol, Clermont s'offre un contre. Dans les faits, ça donne une tape à suivre le long de la Nord, un clermontois à la lutte avec Bregerie et...un seul soutien éventuel pour l'adversaire ainsi esseulé, un seul malheureux gusse qui, dans l'axe aux 25m, vient faire logiquement un appel croisé aux 16m. Et le pire? C'est qu'il ne vient même pas au banc de mollusques qui attend patiemment que l'inéluctable se produise, d'aller sur le mec qui a le temps d'être servi, de se retourner et de faire une vieille frappe croisée à ras de terre sur laquelle Dell a l'explosivité d'un Marichez. J'ai hâte de revoir les images mais en direct, c'était proprement pathétique.

J'allais oublier de mentionner certains journalistes comme le mec de Direct qui, hier soir et face à un Bijotat dépité, a insisté pour que celui-ci reconnaisse que "ce point pourrait être un point qui compte", genre de phrase à la c**, difficilement attaquables mais qui ne sont qu'un sinistre cache-misère quand le seul objectif était la victoire...une victoire à un crampon...où nous avons eu toutes les cartes en mains, menant deux fois au score puis évoluant en supériorité numérique. Mais non, quand on baigne dans le formol, c'est dur d'avancer et de ne pas se faire dessus en concédant par exemple un coup-franc à 20m d'une bêtise absolue. Et puis...quand un mec part tranquillement côté gauche, qu'on le laisse centrer sans pression et que le meilleur buteur du championnat de Ligue 2, oublié, peut tranquillement placer sa tête, non, vraiment, il n'y a rien qui se prête à de telles manifestations de joie.

Est-ce que toutes ces personnes, celles qui vont oser faire la roue pendant une semaine, se touchant le nombril à la mémoire de nos vaillants grenats, exemplaires de courage, guerriers infatigables, ceux-là même qui nous ont offert le privilège de sortir de la zone rouge - rendez-vous compte! - pour quelques jours, ont réellement pris conscience de l'immensité de nos manquements, des fautes impardonnables qui ont été à nouveau commises hier soir et plus généralement, de notre situation et des conséquences induites par une relégation en National? Si tel n'est pas le cas, qu'elles fassent au moins semblant...

Propos totalement inutiles . Le FC METZ n'est plus relégable . C'est l'essentiel .

[solidsnake]

le supporter s'accorche çà ce qui peut etre signe de survie , malgré toutes ses erreurs de débutants hier soir encore une fois ce match on se devait de le gagner , perso je mettrais l'accent sur ce que je considère comme une faute de Bijotat , mettre Mutsch alors qu'il n'est plus messin ni sur le papier ni dans sa tete est une erreur , place aux jeunes bordel !!!

[Patsupfcmetz]

Je te rejoins dans tes propos Amsalem bien qu'ayant moi aussi crié de joie lorsque Duhamel a égalisé.
Désolé, c'est une réaction qui est naturelle lorsqu'on a ce PUT*** de club dans le sang. Il faut malgré tout que nos dirigeants ouvrent enfin leurs yeux et réagissent !!

[Matthew]

Comme, je présume (et j'espère), nombre d'autres supporters présents hier soir, ma fin de match fut totalement décalée par rapport à d'autres et notamment certains spectateurs/supporters tout d'abord : Comment peut-on oser virevolter de joie à l'égalisation de Duhamel (encore lui) considérant que plus qu'une porte laissée entrouverte pour la Ligue des Champions, elle ne fait que maintenir un mourant sous assistance respiratoire, repoussant de semaine en semaine l'heure du trépas. J'ai été abasourdi par cet étalage de subite bonne humeur alors que quelques minutes avant, nous avions tous été les témoins d'une des actions les plus hallucinantes qu'il m'ait été donné de voir dans un stade où une équipe professionnelle y sévit.

Ceux qui n'ont pas vu les images ne peuvent pleinement mesurer l'ampleur du désastre mais, en quelques mots, on peut les y aider : réduits à 10, et face à une équipe messine devenue aussi inventive qu'un stagiaire chez Endemol, Clermont s'offre un contre. Dans les faits, ça donne une tape à suivre le long de la Nord, un clermontois à la lutte avec Bregerie et...un seul soutien éventuel pour l'adversaire ainsi esseulé, un seul malheureux gusse qui, dans l'axe aux 25m, vient faire logiquement un appel croisé aux 16m. Et le pire? C'est qu'il ne vient même pas au banc de mollusques qui attend patiemment que l'inéluctable se produise, d'aller sur le mec qui a le temps d'être servi, de se retourner et de faire une vieille frappe croisée à ras de terre sur laquelle Dell a l'explosivité d'un Marichez. J'ai hâte de revoir les images mais en direct, c'était proprement pathétique.

J'allais oublier de mentionner certains journalistes comme le mec de Direct qui, hier soir et face à un Bijotat dépité, a insisté pour que celui-ci reconnaisse que "ce point pourrait être un point qui compte", genre de phrase à la c**, difficilement attaquables mais qui ne sont qu'un sinistre cache-misère quand le seul objectif était la victoire...une victoire à un crampon...où nous avons eu toutes les cartes en mains, menant deux fois au score puis évoluant en supériorité numérique. Mais non, quand on baigne dans le formol, c'est dur d'avancer et de ne pas se faire dessus en concédant par exemple un coup-franc à 20m d'une bêtise absolue. Et puis...quand un mec part tranquillement côté gauche, qu'on le laisse centrer sans pression et que le meilleur buteur du championnat de Ligue 2, oublié, peut tranquillement placer sa tête, non, vraiment, il n'y a rien qui se prête à de telles manifestations de joie.

Est-ce que toutes ces personnes, celles qui vont oser faire la roue pendant une semaine, se touchant le nombril à la mémoire de nos vaillants grenats, exemplaires de courage, guerriers infatigables, ceux-là même qui nous ont offert le privilège de sortir de la zone rouge - rendez-vous compte! - pour quelques jours, ont réellement pris conscience de l'immensité de nos manquements, des fautes impardonnables qui ont été à nouveau commises hier soir et plus généralement, de notre situation et des conséquences induites par une relégation en National? Si tel n'est pas le cas, qu'elles fassent au moins semblant...

J'ai écouté le match sur France Bleu et je partage entièrement ton point de vue. Je crois que personne, au club, n'a réellement pris conscience de l'éventualité du National. On y va doucement, mais surement. De semaine en semaine, de contre perfs en contre perfs, de faux espoirs en réel désillusions...on se rapproche de la descente.

Ce qui me gêne dans le déroulement des semaines, c'est cette mécanique inéluctable :

- un effectif, qui n'a pas le niveau. Certes sur le papier, on aurait pu penser à un niveau de ventre mou de L2, mais là, on en est loin. Dans la réalité, qd on voit les erreurs élémentaires réalisées de match en match depuis le début de l'année : perte de balle, faute de goût genre Tamboura qui se prend pour Messi, erreurs de marquage par ex sur le Privat... Le meilleur classement du club c'est 16ème cette saison... au bout de plus de 30 matchs, on a tjs naviguer entre 16 et 20. C'est le niveau de cette équipe.
Des choses auraient pu être changé au mercato (Englebert avait des offres par ex, départs de joueurs non nécéssaires pour l'arrivée de nouveaux éléments, et oui encadrement de la masse salariale par la DNCG)... mais à part Duhamel, c waloo...


- un entraîneur, Bijotat, à l'image de son équipe. Alors, on peut bien concevoir que DB est tombé sur un groupe jeune, sans expérience, il voulait 2 joueurs d'expérience supplémentaires qui ne sont pas venus à l'été dernier (cf Mirabelle TV, tiens tiens des belles excuses). Mais hier, c'était juste symptomatique. Le club se retrouve en superiorité numérique à l'heure de jeu, la mécanique commence à se gripper, certains joueurs fatiguent (style Diaz qui revient de réeducation...), on se dit, il va changer les choses... Non, attente de 10 min, se terminant, sur une perte de balle de Diaz aboutissant à un but de Allessandrini. C'est son rôle (à DB) de sonner l'alarme pendant le match qd ses 11 joueurs se perdent.
Je ne reviens pas sur les choix tactiques douteux (même si pour moi, le 4-5-1 est plus un choix par défaut, on a pas les joueurs pour le 4-4-2, faute de recrutement etc), les gestions d'effectif bizarre (Cassan out, Englebert milieu offensif...)... enfin, l'absence de remise en cause de ce type.


- enfin, les dirigeants... La chute de Metz se poursuit, les joueurs et les staffs passent, pas de changement, tjs ce même refrain. Par contre, seul dénominateur commun, les dirigeants, toujours les même qui sont en place. Une conclusion?
Les raisons de ce naufrage du point de vue des dirigeants : mauvaise évaluation de l'effectif, les fins de contrats 2010 très mal géré (on a mis 3 sem à tous les rencontrer, ce qui n'a aboutit à rien, pendant ce tps, les autres clubs avançaient dans leur recrutement), un mauvais recrutement (Tenema N'Diaye), un pari risqué (les jeunes), un choix d'entraîneur douteur (visiblement pas la bonne personne), l'absence de changements et de remise en question...


Je vous le dit les mecs, on est pas la par hasard. Les classements de cette saison ne sont pas un hasard, non, plus à 32 matchs... Et pourtant le club n'a rien fait. On va avoir bcp bcp de regrets.