R.L. 04/11 : Plancque : « Pas de recette miracle »
Publié : 04 nov. 2011, 08:05
Plancque : « Pas de recette miracle »
« La défaite au Mans ne doit pas être un coup d’arrêt, assure Pascal Plancque. Nous aurons l’occasion de nous rattraper. » Face à Metz dès demain ? Photo MAXPPP
Malgré la défaite au Mans (1-0), la première depuis qu’il est à la tête de Boulogne, qui accueille le FC Metz demain après-midi, Pascal Plancque estime que son groupe possède « une grosse marge de progression ».
Le 10 octobre dernier, alors que l’US Boulogne Côte d’Opale patauge dans les eaux troubles de la Ligue 2 (19 e), Jacques Wattez, le président de l’USBCO décide de se séparer de son entraîneur, Michel Estevan, et de le remplacer par son ancien adjoint, Pascal Plancque, qu’il avait évincé début septembre. Novice dans ce rôle ( lire ci-dessous), l’ancien joueur professionnel de Lille, redresse la barre d’entrée puisque son équipe écrase Sedan sur sa pelouse (1-4) avant de s’imposer face au FC Nantes (2-1). Le fameux choc psychologique ? Toujours est-il qu’après ces deux succès, Boulogne a chuté à nouveau, samedi dernier sur la pelouse du Mans (1-0). État des lieux avec le nouvel entraîneur boulonnais.
• Est-ce que le revers, concédé dans le temps additionnel, au Mans peut déjà être considéré comme un coup d’arrêt ? « C’est le match face à Metz qui nous le dira. Mais une chose est sûre : cette défaite, nous ne la méritons pas ! Alors autant tourner la page et se remettre au travail pour préparer au mieux la venue des Messins. »
« Ce n’est pas le tournant de la saison »
• Parlons donc de votre futur adversaire. Qu’est-ce que vousinspire le parcours des hommes de Dominique Bijotat ? « Sincèrement, le début de saison du FC Metz ne m’a pas surpris. Leur entame était cohérente, dans la lignée de la deuxième partie du championnat 2010-2011. Cette équipe possède un entraîneur que je respecte énormément et des joueurs de qualité, certains expérimentés, d’autres issus du centre de formation. C’est, à mes yeux, une bonne équation. Aussi, suis-je assez surpris des contre-performances qu’ils viennent d’enchaîner. Mais finalement, quelle équipe ne connaît pas de mauvaise période au cours d’une saison ? C’est un championnat difficile, où la frontière entre le succès et la défaite est très très mince. Une preuve ? Le leader rémois s’est incliné face à Metz… »
• Vous avez été nommé à la tête de Boulogne il y a un peu moins d’un mois. Dans quel état psychologique était le groupe ? « Il occupait la dix-neuvième place, n’avait remporté qu’un seul match en dix sorties… Alors forcément, ce groupe était en manque de confiance et de repères. Mais je crois que ce n’est pas propre à Boulogne. Les Messins doivent en savoir quelque chose. »
• Comment avez-vous géré cette situation ? « Je ne suis pas arrivé avec une recette miracle, ni effectué un travail particulier. Mon objectif était très simple : redonner de la confiance à ce groupe, y instaurer un peu de joie. »
• Et vous y êtes parvenus. Boulogne a enchaîné deux succès, à Sedan et face à Nantes… « C’est effectivement très bien de commencer de cette manière. Mais on a bien vu que tout peut rapidement être remis en question. Il ne faut cependant pas tomber dans l’euphorie après une victoire, ni sombrer dans la sinistrose en cas de défaite. Il reste encore beaucoup de matches. Ce qui m’importe, pour le moment, c’est que mon équipe soit capable d’offrir un contenu cohérent sur le terrain. Je résonne à moyen-long terme avec comme objectif le maintien. Le match face à Metz est important, mais ce n’est pas non plus le tournant de la saison. »
• Comment qualifieriez-vous votre équipe ? « Ce qui est le plus intéressant dans ce groupe, c’est sa dynamique. Il vit bien, il est solide et solidaire et possède une grosse marge de progression. Mais, un peu comme Metz d’ailleurs, on souffre d’une certaine inexpérience qui peut, à l’occasion nous coûter cher. On l’a vu face au Mans… »
Jean-Sébastien GALLOIS.
De Lille à Boulogne-sur-Mer
Collectionneurs invétérés de vignettes Panini, à vos albums ! C’est le moment de redécouvrir Pascal Plancque, ancien milieu de terrain de Lille (1980-1987), Auxerre (1987-1988) et Laval (1988-1990). Sur son CV, 136 matches en D1 (10 buts) et 11 en D2 (2 buts). À l’issue de sa carrière de joueur, le frère cadet de Stéphane (lui aussi ancien pro de Lille), s’est installé sur le banc de Saint-Jean-de-Luz puis de Pau avant de diriger les moins de dix-sept ans d’Auxerre. En 2003, il effectue son retour à LOSC où il est successivement responsable de l’équipe réserve, adjoint de Claude Puel puis de Rudi Garcia et enfin en charge de la formation. En décembre 2010, il débarque à Boulogne en même temps que Michel Estevan dont il devient l’adjoint. Estevan évincé après un début de championnat très moyen, Pascal Plancque, titulaire du DEPF depuis 2010, prend, pour la première fois, les rênes d’une équipe pro en tant qu’entraîneur principal le 10 octobre dernier.
Bijotat : « Pas une bonne nouvelle »
Salem El Foukari, entraîneur de Forbach (CFA 2) qui se déplace à Haguenau (DH). « Rencontrer un club de Division d’honneur nous laisse l’espoir de franchir ce septième tour. Cela dit, nous allons nous déplacer sur le terrain d’une équipe en difficulté en championnat et qui voudra sans aucun doute briller en Coupe. D’expérience, je sais qu’il est très difficile de s’imposer à Haguenau : en tant que joueur, j’y ai vécu des moments difficiles et je ne crois pas m’y être imposé une seule fois. Ce n’est donc pas le tirage idéal. Ce sera du 50-50. »
Jean-Christophe Damm, gardien de Saint-Avold EN (DHR) qui reçoit Prix-les-Mézières (DH). « Ce n’est sans doute pas le tirage le plus glamour, mais en y réfléchissant bien, cela nous offre une opportunité de qualification. On ne connaît pas cette équipe de Prix-les-Mézières, ni le niveau de la Division d’honneur des Ardennes, mais j’estime que nous avons suffisamment d’arguments pour passer ce tour. »
Michel Deza, entraîneur de Yutz (DH) qui reçoit le Paris FC (National). « C’est exactement le type d’équipe que je voulais éviter. Sans être désagréable, le Paris FC ne fait plus rêver, à part les nostalgiques. Ce n’est plus un grand nom, mais cela reste une équipe de National qui a récemment passé six buts à Épinal ( l’actuel leader) ! On reçoit, mais est-ce un véritable avantage ? Je ne sais pas… J’espère qu’on aura un peu de monde au stade. »
Dominique Bijotat, entraîneur du FC Metz (Ligue 2) qui reçoit Beauvais (National). « On est l’équipe de Ligue 2 qui est la plus désavantagée par ce tirage : on est les seuls à rencontrer une formation de National. On aspirait à plus de clémence pour notre entrée dans la compétition : ce n’est donc pas une bonne nouvelle. Mais au moins, allons-nous jouer à domicile, c’est un moindre mal. »
Alexandre Chirre, milieu de terrain de Magny (DH) qui reçoit Jarville (CFA 2). « Sur le papier, Jarville est censée nous être supérieur. Mais est-ce forcément un mauvais tirage ? Je vous le dirais à l’issue du match… »
Jérôme Savary, entraîneur de Magny (DH) qui reçoit Jarville (CFA 2). « Je suis heureux de retrouver Jarville, une équipe que j’apprécie, tout autant que son entraîneur, Alain Rigole. Ce qui m’inquiète, c’est qu’il s’agit d’une équipe spécialiste de cette épreuve. J’aurais préféré un autre tirage, même s’il n’y a plus vraiment de petites équipes à ce stade de la compétition. On jouera à la maison, c’est déjà ça. »
Fc Metz express
Tableau de bord. Hier : une séance d’entraînement. Aujourd’hui : une séance à 9h30 ; départ pour Boulogne en début d’après-midi.
D’un match à l’autre. Dernier match : Metz - Reims (13 e journée de Ligue 2), vendredi 28 octobre : 1-0. Prochain match : Boulogne - Metz (14 e journée de Ligue 2), samedi 5 novembre à 14h30. À suivre : Metz - Beauvais (7 e tour de la Coupe de France), samedi 19 ou dimanche 20 novembre ; Metz - Amiens (15 e journée de Ligue 2), vendredi 25 novembre à 20h.
À l’infirmerie. Hamadi Ayari (adducteurs) et Alexander Ødegaard (début de pubalgie) ont d’ores et déjà déclaré forfait pour le déplacement à Boulogne demain. De son côté, Joris Delle est actuellement au Centre technique national Fernand-Sastre de Clairefontaine afin de poursuivre la rééducation de son genou gauche.
Suspendus. Diafra Sakho doit encore purger trois matches de suspension. David Fleurival (trois avertissements en moins de dix matches), Kévin Diaz et Hamadi Ayari sont également suspendus pour le déplacement à Boulogne demain.
Metz : le club des six
Peu épargné depuis le début de saison, le FC Metz devra une nouvelle fois composer avec de nombreuses absences pour le déplacement à Boulogne demain après-midi. Dominique Bijotat sera, en effet, privé de six joueurs, dont quatre en raison d’une suspension : Diafra Sakho, Hamadi Ayari, David Fleurival et Kévin Diaz. Du côté de l’infirmerie, Alexander Ødegaard, victime d’un début de pubalgie, a rejoint Joris Delle, blessé de longue date.
« La défaite au Mans ne doit pas être un coup d’arrêt, assure Pascal Plancque. Nous aurons l’occasion de nous rattraper. » Face à Metz dès demain ? Photo MAXPPP
Malgré la défaite au Mans (1-0), la première depuis qu’il est à la tête de Boulogne, qui accueille le FC Metz demain après-midi, Pascal Plancque estime que son groupe possède « une grosse marge de progression ».
Le 10 octobre dernier, alors que l’US Boulogne Côte d’Opale patauge dans les eaux troubles de la Ligue 2 (19 e), Jacques Wattez, le président de l’USBCO décide de se séparer de son entraîneur, Michel Estevan, et de le remplacer par son ancien adjoint, Pascal Plancque, qu’il avait évincé début septembre. Novice dans ce rôle ( lire ci-dessous), l’ancien joueur professionnel de Lille, redresse la barre d’entrée puisque son équipe écrase Sedan sur sa pelouse (1-4) avant de s’imposer face au FC Nantes (2-1). Le fameux choc psychologique ? Toujours est-il qu’après ces deux succès, Boulogne a chuté à nouveau, samedi dernier sur la pelouse du Mans (1-0). État des lieux avec le nouvel entraîneur boulonnais.
• Est-ce que le revers, concédé dans le temps additionnel, au Mans peut déjà être considéré comme un coup d’arrêt ? « C’est le match face à Metz qui nous le dira. Mais une chose est sûre : cette défaite, nous ne la méritons pas ! Alors autant tourner la page et se remettre au travail pour préparer au mieux la venue des Messins. »
« Ce n’est pas le tournant de la saison »
• Parlons donc de votre futur adversaire. Qu’est-ce que vousinspire le parcours des hommes de Dominique Bijotat ? « Sincèrement, le début de saison du FC Metz ne m’a pas surpris. Leur entame était cohérente, dans la lignée de la deuxième partie du championnat 2010-2011. Cette équipe possède un entraîneur que je respecte énormément et des joueurs de qualité, certains expérimentés, d’autres issus du centre de formation. C’est, à mes yeux, une bonne équation. Aussi, suis-je assez surpris des contre-performances qu’ils viennent d’enchaîner. Mais finalement, quelle équipe ne connaît pas de mauvaise période au cours d’une saison ? C’est un championnat difficile, où la frontière entre le succès et la défaite est très très mince. Une preuve ? Le leader rémois s’est incliné face à Metz… »
• Vous avez été nommé à la tête de Boulogne il y a un peu moins d’un mois. Dans quel état psychologique était le groupe ? « Il occupait la dix-neuvième place, n’avait remporté qu’un seul match en dix sorties… Alors forcément, ce groupe était en manque de confiance et de repères. Mais je crois que ce n’est pas propre à Boulogne. Les Messins doivent en savoir quelque chose. »
• Comment avez-vous géré cette situation ? « Je ne suis pas arrivé avec une recette miracle, ni effectué un travail particulier. Mon objectif était très simple : redonner de la confiance à ce groupe, y instaurer un peu de joie. »
• Et vous y êtes parvenus. Boulogne a enchaîné deux succès, à Sedan et face à Nantes… « C’est effectivement très bien de commencer de cette manière. Mais on a bien vu que tout peut rapidement être remis en question. Il ne faut cependant pas tomber dans l’euphorie après une victoire, ni sombrer dans la sinistrose en cas de défaite. Il reste encore beaucoup de matches. Ce qui m’importe, pour le moment, c’est que mon équipe soit capable d’offrir un contenu cohérent sur le terrain. Je résonne à moyen-long terme avec comme objectif le maintien. Le match face à Metz est important, mais ce n’est pas non plus le tournant de la saison. »
• Comment qualifieriez-vous votre équipe ? « Ce qui est le plus intéressant dans ce groupe, c’est sa dynamique. Il vit bien, il est solide et solidaire et possède une grosse marge de progression. Mais, un peu comme Metz d’ailleurs, on souffre d’une certaine inexpérience qui peut, à l’occasion nous coûter cher. On l’a vu face au Mans… »
Jean-Sébastien GALLOIS.
De Lille à Boulogne-sur-Mer
Collectionneurs invétérés de vignettes Panini, à vos albums ! C’est le moment de redécouvrir Pascal Plancque, ancien milieu de terrain de Lille (1980-1987), Auxerre (1987-1988) et Laval (1988-1990). Sur son CV, 136 matches en D1 (10 buts) et 11 en D2 (2 buts). À l’issue de sa carrière de joueur, le frère cadet de Stéphane (lui aussi ancien pro de Lille), s’est installé sur le banc de Saint-Jean-de-Luz puis de Pau avant de diriger les moins de dix-sept ans d’Auxerre. En 2003, il effectue son retour à LOSC où il est successivement responsable de l’équipe réserve, adjoint de Claude Puel puis de Rudi Garcia et enfin en charge de la formation. En décembre 2010, il débarque à Boulogne en même temps que Michel Estevan dont il devient l’adjoint. Estevan évincé après un début de championnat très moyen, Pascal Plancque, titulaire du DEPF depuis 2010, prend, pour la première fois, les rênes d’une équipe pro en tant qu’entraîneur principal le 10 octobre dernier.
Bijotat : « Pas une bonne nouvelle »
Salem El Foukari, entraîneur de Forbach (CFA 2) qui se déplace à Haguenau (DH). « Rencontrer un club de Division d’honneur nous laisse l’espoir de franchir ce septième tour. Cela dit, nous allons nous déplacer sur le terrain d’une équipe en difficulté en championnat et qui voudra sans aucun doute briller en Coupe. D’expérience, je sais qu’il est très difficile de s’imposer à Haguenau : en tant que joueur, j’y ai vécu des moments difficiles et je ne crois pas m’y être imposé une seule fois. Ce n’est donc pas le tirage idéal. Ce sera du 50-50. »
Jean-Christophe Damm, gardien de Saint-Avold EN (DHR) qui reçoit Prix-les-Mézières (DH). « Ce n’est sans doute pas le tirage le plus glamour, mais en y réfléchissant bien, cela nous offre une opportunité de qualification. On ne connaît pas cette équipe de Prix-les-Mézières, ni le niveau de la Division d’honneur des Ardennes, mais j’estime que nous avons suffisamment d’arguments pour passer ce tour. »
Michel Deza, entraîneur de Yutz (DH) qui reçoit le Paris FC (National). « C’est exactement le type d’équipe que je voulais éviter. Sans être désagréable, le Paris FC ne fait plus rêver, à part les nostalgiques. Ce n’est plus un grand nom, mais cela reste une équipe de National qui a récemment passé six buts à Épinal ( l’actuel leader) ! On reçoit, mais est-ce un véritable avantage ? Je ne sais pas… J’espère qu’on aura un peu de monde au stade. »
Dominique Bijotat, entraîneur du FC Metz (Ligue 2) qui reçoit Beauvais (National). « On est l’équipe de Ligue 2 qui est la plus désavantagée par ce tirage : on est les seuls à rencontrer une formation de National. On aspirait à plus de clémence pour notre entrée dans la compétition : ce n’est donc pas une bonne nouvelle. Mais au moins, allons-nous jouer à domicile, c’est un moindre mal. »
Alexandre Chirre, milieu de terrain de Magny (DH) qui reçoit Jarville (CFA 2). « Sur le papier, Jarville est censée nous être supérieur. Mais est-ce forcément un mauvais tirage ? Je vous le dirais à l’issue du match… »
Jérôme Savary, entraîneur de Magny (DH) qui reçoit Jarville (CFA 2). « Je suis heureux de retrouver Jarville, une équipe que j’apprécie, tout autant que son entraîneur, Alain Rigole. Ce qui m’inquiète, c’est qu’il s’agit d’une équipe spécialiste de cette épreuve. J’aurais préféré un autre tirage, même s’il n’y a plus vraiment de petites équipes à ce stade de la compétition. On jouera à la maison, c’est déjà ça. »
Fc Metz express
Tableau de bord. Hier : une séance d’entraînement. Aujourd’hui : une séance à 9h30 ; départ pour Boulogne en début d’après-midi.
D’un match à l’autre. Dernier match : Metz - Reims (13 e journée de Ligue 2), vendredi 28 octobre : 1-0. Prochain match : Boulogne - Metz (14 e journée de Ligue 2), samedi 5 novembre à 14h30. À suivre : Metz - Beauvais (7 e tour de la Coupe de France), samedi 19 ou dimanche 20 novembre ; Metz - Amiens (15 e journée de Ligue 2), vendredi 25 novembre à 20h.
À l’infirmerie. Hamadi Ayari (adducteurs) et Alexander Ødegaard (début de pubalgie) ont d’ores et déjà déclaré forfait pour le déplacement à Boulogne demain. De son côté, Joris Delle est actuellement au Centre technique national Fernand-Sastre de Clairefontaine afin de poursuivre la rééducation de son genou gauche.
Suspendus. Diafra Sakho doit encore purger trois matches de suspension. David Fleurival (trois avertissements en moins de dix matches), Kévin Diaz et Hamadi Ayari sont également suspendus pour le déplacement à Boulogne demain.
Metz : le club des six
Peu épargné depuis le début de saison, le FC Metz devra une nouvelle fois composer avec de nombreuses absences pour le déplacement à Boulogne demain après-midi. Dominique Bijotat sera, en effet, privé de six joueurs, dont quatre en raison d’une suspension : Diafra Sakho, Hamadi Ayari, David Fleurival et Kévin Diaz. Du côté de l’infirmerie, Alexander Ødegaard, victime d’un début de pubalgie, a rejoint Joris Delle, blessé de longue date.
