Daniel Moreira, le buteur lensois, avait été le bourreau de Pascal Pierre et des Messins en finale de la Coupe de la Ligue, au Stade de France, en 1999. Photo Archives AFP
Demain, Lensois et Messins rédigeront le centième chapitre de leur histoire commune dont les premières lignes ont été rédigées au siècle dernier, en 1932. Retour sur dix dates marquantes.
18 décembre 1932 Lens - Metz : 0-0
La première rencontre officielle entre le Racing Club de Lens et le FC Metz se déroule sur la pelouse du stade Raoul-Briquet. Les amateurs lensois, qui évoluent alors en Division d’honneur, y affrontent les professionnels messins (D1) dans le cadre des trente-deuxièmes de finale de la Coupe de France. Ce 18 décembre, les deux équipes ne parviennent pas à se départager (0-0). Au match retour, le 2 janvier 1933 à Saint-Symphorien, Lens réalise l’exploit en s’imposant 2-0, grâce notamment à un but signé Ignace Kowalczyck, qui portera plus tard les couleurs messines.
20 janvier 1935 Metz - Lens : 0-1
Grâce au soutien de la Compagnie des Mines, le RC Lens opte pour le statut professionnel en avril 1934, deux ans après le FC Metz. Au cours de la saison 1934-1935, les deux équipes évoluent en Deuxième division et s’affrontent pour la première fois en championnat. Ce 20 janvier 1935, à l’occasion de la 16 e journée, les Lensois s’imposent une nouvelle fois à Saint-Symphorien (0-1, but d’Edmond Nowicki, 80 e) devant 7 000 spectateurs. Une défaite qui n’empêchera pas les Messins, entraînés alors par Peter Fabian, de retrouver l’élite en fin de saison.
10 octobre 1937 Metz - Lens : 1-1
Cinq ans après l’instauration du professionnalisme, Messins et Lensois se retrouvent pour la première fois ensemble sur une pelouse de Ligue 1. Celle de Saint-Symphorien en l’occurrence. Le promu nordiste y décroche un bon résultat nul (1-1) lors de la 6 e journée. Le FC Metz avait ouvert le score grâce à Albert Rohrbacher (25 e), avant que le Lensois d’origine polonaise Jean Stanis n’égalise dans la minute suivante. Metz (11 e) et Lens (14 e) se maintiendront.
24 février 1946 Lens - Metz : 5-3
C’est à l’occasion de la huitième édition du championnat de France de D1, la première d’après-guerre, que l’un des matches les plus prolifiques entre les deux clubs a lieu. Sur leur pelouse de Félix-Bollaert, les Lensois mèneront 5-0 grâce à un but de l’international français d’origine hongroise Siklo (3 e) et deux doublés signés Marcel Ourdouillié (23 e, 38 e) et André Doye (42 e, 60 e). Les Messins réduiront la marque par Raymond Battiston (67 e), l’oncle de Patrick, et par le Luxembourgeois Gustave Kemp (78 e, 83 e).
19 août 1956 Metz - Lens : 1-5
La saison 1956-1957, qui verra le FC Metz sauver in extremis sa place en D1, débute de la pire des manières pour les Lorrains, humiliés par Lens sur leur pelouse lors de la 1 re journée devant 8 634 spectateurs. Cette défaite demeure, à ce jour, la plus lourde enregistrée par les Messins à domicile face à leurs rivaux lensois. Buts pour Lens : Egon Jönsson (2 e, 12 e, 78 e), Maryan Wisnieski (19 e) et Jean Templin (56 e) ; pour Metz : Jean Rongoni (71 e).
22 avril 1989 Metz - Lens : 4-0
Ce 22 avril 1989, à l’occasion de la 34 e journée de D1, Metz obtient la plus large victoire de son histoire face à Lens, le tout grâce à un doublé de Bernard Zénier (9 e sp, 36 e) et deux buts de Philippe Hinschberger (35 e) et Michel Rio (37 e). Les Messins terminent cet exercice à une peu flatteuse quinzième place, alors que les Lensois, bons derniers, sont relégués.
29 mars 1998 Metz - Lens : 0-2
À cinq journées de la fin du championnat, le FC Metz, leader de Ligue 1, accueille le RC Lens, son dauphin. Une occasion unique pour les hommes de Joël Muller de faire le trou. Mais les Messins passent totalement à côté de leur match et s’inclinent 2-0 (doublé du Bosnien Anton Drobnjak, 23 e et 28 e). Cette victoire permet aux Lensois de prendre la tête pour ne plus la lâcher jusqu’au soir du 9 mai 1998, date du sacre du RC Lens grâce une meilleure différence de but que les Messins, vice-champions de France (le meilleur résultat du club lorrain depuis 1932).
8 mai 1999 Lens - Metz : 1-0
En l’espace d’un an – presque jour pour jour – les Lensois deviennent officiellement la bête noire des Messins. Privés du titre pour cinq petits buts, ces derniers manquent l’occasion de prendre leur revanche en finale de la Coupe de la Ligue. Ce soir-là, sur la pelouse du Stade de France, le bourreau du FC Metz se nomme Daniel Moreira, auteur du seul but de la rencontre (56 e).
29 octobre 2000 Metz - Lens : 2-1
Si la saison 2000-2001 a été marquée par l’affaire du faux passeport de Faryd Mondragón, l’éviction de Joël Muller, remplacé par Albert Cartier, et un maintien en L1 difficilement acquis, elle a également été le théâtre de ce qui demeure, à ce jour, comme la dernière victoire du FC Metz face au RC Lens à Saint-Symphorien. Menés 1-0 après vingt-trois minutes (but d’Antoine Sibierski), les Messins renversent la situation grâce à Jonathan Jager (39 e) et Gérald Baticle (67 e). Depuis, les Lorrains ont enregistré, en treize confrontations, six défaites (dont cinq à domicile), cinq nuls et deux succès dont le dernier remonte au 15 septembre 2008 sur la pelouse de Bollaert grâce à un but de Papiss Cissé (46 e). Il s’agit là du dernier succès messin face à Lens. Quelques mois plus tard, les hommes de Jean-Guy Wallemme auront leur revanche.
23 février 2009 Metz - Lens : 1-2
En effet, Lens et Metz, relégués en Ligue 2 à l’issue de la saison 2007-2008 sont encore au coude à coude en tête du championnat ce 23 février 2009, date de la dernière confrontation (la 99 e) entre les deux équipes. Et comme un signe du destin, les Sang et Or s’imposent à Saint-Symphorien (24 e journée) grâce des buts de Geoffrey Doumeng (33 e) et de l’ancien Messin Toifilou Maoulida (67 e) contre une réalisation signée Papiss Cissé (50 e). Les Lensois seront sacrés champions de France de Ligue 2, alors que Metz échouera au pied du podium…
J.-S. G.
Muller : « Lens paraît peut-être mieux armé »
Joël Muller regrette que le FC Metz et le RC Lens, « valeurs sûres du football français » dans les années 90, fréquentent aujourd’hui la Ligue 2. Photo Archives Pascal BROCARD
Joueur, responsable de la formation, entraîneur puis directeur sportif du FC Metz, Joël Muller a également passé près de quatre saisons sur le banc lensois. Un témoin idéal…
Au cours de votre carrière d’entraîneur, vous avez fréquenté les deux clubs. Existe-il des points communs entre le FC Metz et le RC Lens ? « Il y en a forcément un qui saute aux yeux : les deux clubs évoluent actuellement en Ligue 2, alors qu’au cours des années 1990 ils étaient des valeurs sûres du football français. Il est vrai, cependant, que nous sommes dans cette situation depuis maintenant quatre saisons, alors que les Lensois ont fait une courte apparition en Ligue 2 en 2008-2009 avant d’y replonger en mai dernier. Retrouver ces deux équipes à ce niveau est une vraie déception. Évidemment, il ne s’agit pas là du seul point commun. Lens et Metz vivent, ou survivent, grâce à l’apport essentiel de leurs présidents (le Lensois Gervais Martel et le Messin Bernard Serin). Tous les deux doivent faire face à une situation économique délicate et ils assument (à noter que depuis mai 2011, le Crédit Agricole est, au moins temporairement, actionnaire majoritaire du RC Lens). Autre similitude, Lens et Metz peuvent s’appuyer sur des centres de formations qui sortent régulièrement des joueurs de qualité. Enfin, il existe un véritable attachement du public aux couleurs de leur club respectif, et ce, malgré les difficultés sportives. »
• Comment expliqueriez-vous ces difficultés ? « J’ai quitté Lens en 2005 et je ne peux donc pas prétendre avoir tous les éléments pour fournir une véritable explication. Néanmoins, je suis convaincu que lorsque la stabilité n’est plus de mise dans le secteur technique, n’importe quel club finit par en payer les conséquences. Le changement régulier d’entraîneur n’est vraiment pas la solution. »
• Et concernant le FC Metz ? « Le fait de rater par deux fois la montée en Ligue 1 si près du but est non seulement cruel mais difficile à supporter économiquement. Le FC Metz a été contraint de baisser considérablement son train de vie ces dernières saisons. Par comparaison, Lens, qui a pourtant connu deux descentes en cinq ans, dispose toujours d’un budget conséquent (25 M€ annoncés en début de saison contre 11,8 M€ au FC Metz). »
« Une différence économique »
• L’aspect sportif n’est évidemment pas la seule différence ? « Non. Lens a bénéficié d’un gros coup d’accélérateur en s’inscrivant dans le projet du Mondial 1998 : le stade Félix-Bollaert a été rénové et beaucoup d’efforts ont été réalisés en termes de marketing et de sponsoring. C’est ce à quoi nous aspirons aujourd’hui (notamment par le biais de l’accueil de l’Euro 2016 dont Metz est à nouveau candidat). La principale différence entre les deux clubs est donc économique. Mais, au final, la vérité du terrain nous rattrape toujours : aujourd’hui, Metz et Lens évoluent en Ligue 2. »
• Les deux clubs ont longtemps été présentés comme des clubs dits familiaux. Cette image n’est-elle pas jaunie ? « Si l’esprit de famille existe encore, il est très disparate… Que ce soit à Metz, à Lens ou ailleurs, cette notion n’est plus évidente. Mais c’est vrai que deux figures sont longtemps parvenues à véhiculer cette image. Deux hommes qui m’ont particulièrement marqué. Gervais Martel, le président lensois, qui, même dans la difficulté et les coups reçus, fait toujours preuve du même enthousiasme. Il est toujours à la recherche d’une solution pour faire avancer son club. Pendant longtemps, Carlo Molinari a tenu un rôle similaire à Metz avec cette capacité de fédérer autour de lui. Aujourd’hui, la tâche est éminemment plus difficile pour Bernard Serin puisqu’il doit gérer un club qui, pour l’heure, est englué en Ligue 2. C’est donc plus délicat de fédérer dans ces conditions. »
• Lorsque vous jetez un œil sur votre passé dans les deux clubs, un souvenir particulier vous vient-il immédiatement à l’esprit ? « Le jour de mon retour à Metz en août 2001 sur le banc lensois. Nous venions d’enchaîner trois succès lors des trois premières journées et nous nous imposons 1-0 à Saint-Symphorien. Ce fut une double satisfaction : Lens poursuivait sa série et, personnellement, six mois après m’être fait jeter de Metz, je prouvais que j’avais encore un peu de crédit. »
• Un regard sur l’avenir pour terminer. Metz et Lens ont-ils les moyens de retrouver la Ligue 1 en fin de saison ? « Derrière Clermont et Reims, une dizaine d’équipes peuvent aujourd’hui prétendre au podium. Metz et Lens en font partie. Sur le papier, Lens paraît peut-être mieux armé, mais un seul élément fera, à mon avis, la différence : la régularité. L’équipe qui parviendra à être régulière en terme de jeu et de résultats, même acquis dans la douleur et avec les tripes, pourra tirer son épingle du jeu. »
Jean-Sébastien GALLOIS.
De Metz à Lens
Jocelyn Blanchard. Milieu de te rrain. Metz (1995 à 1998). Lens (1999 à 2003).
Jules Bocandé. Attaquant. Metz (1984 à 1986). Lens (1991-1992).
Fathi Chebel. Milieu de terrain. Metz (1977 à 1980). Lens (1989-1990).
Michel Ettorre. Gardien. Metz (1974 à 1979 puis 1980 à 1988 puis 1990-1991). Entraîneur adjoint de Metz (1991 à 1997).?Entraîneur adjoint de Lens (2001 à janvier 2005). Entraîneur adjoint de Metz (2005 à 2007 puis décembre 2007 à mai 2008). Membre du staff technique de Lens depuis mai 2008.
Daniel Fuchs. Attaquant. Metz (1971 à 1973). Lens (1978-1979).
Nicolas Hibst. Milieu de terrain. Metz (1933 à 1939 puis 1945-1946). Entraîneur intérimaire de Metz au cours de la saison 1946-47. Entraîneur de Lens (1947 à 1950).
Marcel Husson. Milieu de terrain. Metz (1959 à 1967). Responsable du Centre de formation de Metz (1978 à 1984). Entraîneur de Metz (1984 à 1989). Entraîneur de Lens (1989-90).
Bernard Lama. Gardien. Metz (1989-1990). Lens (1990-1991).
Toifilou Maoulida. Attaquant. Metz (2003-2004). Lens (2008 à 2011).
Joël Muller. Défenseur. Metz (1966 à 1978). Responsable du centre de formation de Metz (1984 à 1989). Entraîneur de Metz de juin 1989 à décembre 2000. Entraîneur de Lens (2001 à janvier 2005). Entraîneur de Metz (2005 à mai 2006, date à laquelle il est nommé directeur sportif du club messin).
Philippe Piette. Milieu de terrain. Metz (1980 à 1982). Lens (1982 à 1982).
Philippe Redon. Attaquant. Metz (1979-1980). Entraîneur de Lens (juin à octobre 1989).
Bruno Rodriguez. Attaquant. Metz (janvier 1997 à janvier 1999). Lens (janvier à juin 2002). Metz (juin à décembre 2003). Lens (janvier à juin 2004).
Rigobert Song. Défenseur. Metz (1994 à 1998). Lens (2002 à 2004).
José Souto. Milieu de terrain. Metz (1976 à 1979 puis en 1980-1981). Lens (1987-1988).
De Lens à Metz
Henri Atamaniuk. Attaquant. Lens (1968 à 1970). Metz (1971-1972).
Dominique Bijotat. Responsable du centre de formation et entraîneur de l’équipe réserve de Lens (2000 à 2002). Entraîneur de Metz depuis juin 2010.
Sébastien Chabbert. Gardien. Lens (1999-2000). Metz (2000-2001). Lens (2001 à 2007).
Guillaume Cherreau. Gardien. Lens (2001 à 2004). Metz (2004-2005).
Éric Cubilier. Défenseur. Lens (2004-200). Metz (2007-2008).
Joseph-Désiré Job. Attaquant. Lens (1999-2000). Metz (2001-2002).
Ignace Kowalczyck. Milieu de terrain. Lens (1931-1935), Metz (1938-1939 puis de 1945 à 1950).
Daniel Krawczyk. Milieu de terrain. Lens (1980 à 1987). Metz (1988-1989). Membre du staff technique de Lens (2000 à 2006).
Richard Krawczyk. Milieu de terrain. Lens (1963 à 1968). Metz (1968 à 1970). Lens (1975 à 1979).
Christophe Marichez. Gardien. Lens (1996 à 2000). Metz (2005 à 2011).
Frédéric Meyrieu. Milieu de terrain. Lens (1993 à février 1997). Metz (1997 à 2002).
Jean-Claude Nadon. Gardien. Lens (1996-1997). Membre du staff technique de Metz (2003 à 2009).
David Régis. Défenseur. Lens (1996-1997). Metz (1998 à 2002).
Didier Six. Attaquant. Lens (1977-1978). Metz (1985-1986).
Philippe Vercruysse. Milieu de terrain. Lens (1980 à 1986 puis 1987-1988). Metz (1994-1995). Lens (1996-1997).
Fc Metz express
Tableau de bord.Hier : une séance d’entraînement en matinée. Aujourd’hui : une séance à 15 h.
D’un match à l’autre.Dernier match : Amnéville (CFA) - Metz (8 e tour de la Coupe de France), samedi 10 décembre : 2-3. Prochain match : Metz - Lens (17 e journée de Ligue 2), vendredi 16 décembre à 20h30. A suivre : Angers - Metz (18 e journée de Ligue 2), mardi 20 décembre à 20 h.
A l’infirmerie. Trois joueurs ont d’ores et déjà déclaré forfait pour la réception de Lens demain. Il s’agit d’Oumar Pouye (contracture aux ischio-jambiers), Hamadi Ayari (contracture au quadriceps) et Vedran Vinko (contracture aux adducteurs). Joris Delle (genou), lui, poursuit son travail spécifique.
L’info. La rencontre Metz - Evian TG (L1), comptant pour les trente-deuxièmes de finale de la Coupe de France, se déroulera le dimanche 8 janvier à 15 h, au Stade Saint-Symphorien.
Carnet. Après Lyana, Yohan Betsch, est pour la deuxième fois papa. Lenny s’est, en effet, invité au sein du foyer du milieu de terrain messin vendredi dernier.
Billetterie. Pour la rencontre opposant Metz au RC Lens, demain, tout billet adulte acheté donne droit à un billet enfant à 1 €. Cette offre valable dans toutes les tribunes du stade Saint-Symphorien et accessible dans tous les points de vente billetterie officiels du club et sur http://www.billetterie-fcmetz.com.
Les deux clubs en bref
FC METZ
Date de création : 1932.
Stade : Saint-Symphorien (26 700 places).
Budget (2011-2012) : 11,8 M€.
Président : Bernard Serin (60 ans, chef d’entreprise) depuis juin 2009.
Entraîneur : Dominique Bijotat.
Palmarès : vainqueur de la Coupe de France (1984, 1988) ; vainqueur de la Coupe de la Ligue (1981, 1996 ; finaliste en 1999) ; vice-champion de France de Ligue 1 (1998) ; champion de France de Ligue 2 (1935, 2007).
Bilan : 57 saisons en Ligue 1 (2042 matches) ; 15 saisons en Ligue 2 (520 matches). Ces chiffres ne tiennent pas compte des saisons de "guerre" (soit de 1939-1940 à 1944-1945).
Classement actuel : 7 e de Ligue 2 avec 24 pts (7v, 3n, 6d).
RC LENS
Date de création : 1906 (professionnel depuis 1934).
Stade : Félix-Bollaert (41 233 places).
Budget (2011-2012) : 25 M€
Président : Gervais Martel (57 ans, homme d’affaires) depuis août 1988.
Entraîneur : Jean-Louis Garcia.
Palmarès : champion de France de Ligue 1 (1998) ; vice-champion de France de Ligue 1 (1956, 1957, 1977, 2002) ; champion de France de Ligue 2 (1937, 1949, 1973, 2009) ; vainqueur de la Coupe de France (1948, 1975, 1998 ; finaliste en 1948, 1975 et 1998) ; vainqueur de la Coupe de la Ligue (1999 ; finaliste en 2008).
Bilan : 57 saisons en Ligue 1 (2082 matches) ; 11 saisons en Ligue 2 (364 matches). Ces chiffres ne tiennent pas compte des saisons de "guerre" (soit de 1939-1940 à 1944-1945).
Classement actuel : 11 e de Ligue 2 avec 22 pts (6v, 4n, 6d).
LES 99 CONFRONTATIONS
En Ligue 1 : 88 matches (27 victoires de Metz, 23 nuls, 38 victoires de Lens).
En Ligue 2 : 4 matches (2 victoires de Metz, 2 victoires de Lens).
En Coupe de France : 6 matches (1 victoire de Metz, 1 nul, 4 victoires de Lens).
En Coupe de la Ligue : 1 match (1 victoire de Lens).
