R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

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Amsalem
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R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

Messagepar Amsalem » 13 mai 2012, 07:09

FC Metz : fiasco, mode d’emploi

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Une image. Celle de la détresse de Stéphane Besle, Yéni N’Gbakoto, Mathieu Duhamel et Thierry Steimetz. Le symbole d’une saison complètement ratée. Photo Pascal BROCARD

Derrière n’importe quel échec se cache une multitude d’explications. Celui du FC Metz version Dominique Bijotat ne fait pas figure exception. Tentative d’inventaire. Non exhaustif.

Comment le FC Metz a-t-il bien pu en arriver là ? Là, au troisième échelon du football français. Un étage qu’il n’a jamais fréquenté en quatre-vingts ans d’existence. Ce sera donc pour la saison prochaine. Autrement dit demain. Et dès la semaine prochaine, Bernard Serin effectuera l’état des lieux d’une maison qui ne pourra malheureusement pas faire les frais d’une rénovation complète. Les futurs ex-locataires de l’endroit y ayant laissé un sacré désordre.

S’ils étaient parvenus à sauver les apparences – et leur peau – en fin de saison dernière, cette fois, les hommes de Dominique Bijotat ont totalement échoué dans leur mission. Qu’elle semble dès lors lointaine l’annonce de la (re) naissance du club dont le président Serin revendiquait la paternité lors de sa prise de fonction en juin 2009. Trois ans plus tard, le FC Metz, instable, fragile, indiscipliné même, a totalement perdu l’équilibre, alors qu’il devait galoper, bien campé sur ses deux pieds, vers la Ligue 1. Des pieds n’ayant finalement servi à rien d’autre qu’à rentrer aux vestiaires têtes basses.

Évidemment, les causes de cet échec sont multiples. Et variables selon qu’on soit joueur, dirigeant, entraîneur, supporter ou simple observateur de cette lente descente aux enfers. Mais parce qu’ils sont les principaux acteurs de cette débâcle, Ludovic Guerriero et ses partenaires en sont évidemment les premiers responsables. Alors qu’ils avaient généré un soupçon d’espoir en tout début de saison et à l’automne, les hommes de Dominique Bijotat se sont dangereusement appuyés sur ces acquis. En d’autres termes, l’histoire d’une équipe qui tombe d’un immeuble de trente-huit étages et qui, au fur et à mesure de sa chute, se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien. Mais l’important ce n’est évidemment pas la chute, c’est l’atterrissage…. Douloureux pour le coup !

Il ne s’est donc trouvé personne pour tirer la sonnette d’alarme, pour reprendre les commandes d’un navire à la dérive lors de la deuxième partie de saison. Pour beaucoup, dont le président Serin, la cassure se situe lors de l’injuste défaite face à Bastia, le 14 janvier. Certes. D’autant que ce soir-là, la prestation messine fut particulièrement séduisante. Mais comment expliquer que les Messins ne soient pas parvenus à rééditer une telle performance mais, au contraire, à enchaîner dix matches sans la moindre victoire qui ont fini par les envoyer droit dans le mur ? Par le départ prématuré, pour des raisons économiques, de Fallou Diagne ? Par la blessure de Kalidou Koulibaly ? Ce sont des éléments qu’il faut évidemment prendre en compte.

La faillite des cadres

Mais l’une des explications les plus crédibles réside sans doute dans la faillite des supposés cadres de l’équipe. À l’image d’un Bruce Abdoulaye et d’un Kévin Diaz bien trop irréguliers, d’un Pierre Bouby ayant trouvé la bonne carburation trop tardivement ou encore d’un Mahamane Traoré, ayant passé le plus clair de son temps à l’infirmerie. Et que dire de Ludovic Guerriero et David Fleurival, visiblement à bout de souffle, alors que Stéphane Besle, malgré son expérience, n’a visiblement pas l’étoffe d’un patron.

Le FC Metz n’a même pas pu se reposer sur son héros de la fin de saison dernière. Après une première moitié de championnat plus qu’honorable, Mathieu Duhamel, blessé début janvier, n’a jamais retrouvé son niveau et surtout le chemin des filets. Et comme derrière, il n’y avait personne pour reprendre le flambeau, les Messins vont boucler l’exercice avec la pire attaque de Ligue 2. Car Diafra Sakho, après avoir fait part de son mal-être en terre messine, est parti, Vedran Vinko n’a jamais eu sa chance alors qu’Andy Delort n’est, sans lui faire offense, qu’un joueur de passage… Bref, Metz n’était vraiment pas d’attaque cette saison.

Pas d’attaque, mais également dépourvu, depuis janvier, d’esprit de révolte. Il ne s’est, en tout cas, pas matérialisé sur le terrain. Alors qu’ils sombraient peu à peu vers les abîmes, les Messins n’ont jamais – ou si peu, ou trop tardivement – démontré une force de caractère.

Et c’est cette cruelle absence de révolte qui a interpellé ces dernières semaines. Souvent, tout en précisant qu’il ne s’agissait pas de l’unique explication, Dominique Bijotat s’est retranché derrière l’inexpérience de la jeunesse pour justifier ce manque de liant. Un constat sans doute injuste à l’égard de joueurs ayant apporté un soupçon de fraîcheur (Mané, N’Sor, Steimetz) et appelés en renfort alors que le ver était déjà dans le fruit.

Et si l’explication était finalement plus simple ? Et si Metz n’avait pas, cette saison, les talents nécessaires pour mener son projet à bien ? Car s’il est indéniable que l’entraîneur messin et son staff ont travaillé d’arrache-pied pour sauver le club et que ces derniers avaient l’adhésion du groupe, reste à savoir si le discours, lui, est toujours bien passé. « On avait décidé de faire cela, mais on ne l’a pas appliqué. » Une phrase, maintes fois entendue après-match qui résonne comme un aveu d’échec. Celui d’un entraîneur. D’un président lui ayant maintenu sa confiance jusqu’au bout. Et bien entendu des joueurs…

Jean-Sébastien GALLOIS.

Bijotat-Serin, c’est fini

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Entre Bernard Serin, président du FC Metz, et son entraîneur, Dominique Bijotat l’heure est à la rupture. Photo Pascal BROCARD

La défaite de Metz, vendredi à Arles-Avignon, n’a pas seulement placé le club sur la route National. L’échec sportif a aussi sonné la fin de la collaboration entre l’entraîneur, Dominique Bijotat, et son président, Bernard Serin.

C’ est l’échec d’un club, pas celui d’un entraîneur, même si j’en suis le premier responsable. » Les mots datent de vendredi soir et ils sont de Dominique Bijotat, futur ex-entraîneur d’une formation messine appelée à découvrir les chemins du National la saison prochaine. Les mots en question n’ont pas échappé aux oreilles du président messin.

S’il a choisi de ne pas s’exprimer, hier, sur la sortie de route fatale de son équipe à Avignon et sur ses conséquences ( lire par ailleurs), Bernard Serin a néanmoins pris quelques secondes pour se positionner sur l’avenir de sa collaboration avec le technicien qu’il avait fait venir, il y a deux ans de cela.

« Dominique Bijotat s’est livré à un certain nombre de commentaires, moi, je n’en ferai pas. Il est en fin de contrat et compte tenu du constat d’échec qui est le nôtre à une journée de la fin du championnat, je vois mal comment nous pourrions repartir ensemble. Il y a trois semaines, il m’avait indiqué qu’il n’avait pas l’intention de continuer. Il avait peut-être anticipé ma réflexion… »

Le flou entretenu jusqu’ici par le silence des uns et les non-dits des autres – un art décidément bien maîtrisé du côté de Saint-Symphorien –, eh bien ce flou-là n’est plus. Sans qu’aucune des deux parties concernées n’ait su clairement l’exprimer, il ne fait désormais plus aucun doute que la collaboration entre Bernard Serin et Dominique Bijotat s’achèvera fin juin. Comme le prévoyait son contrat signé le 4 juin 2010.

Une confiance trop aveugle ?

Bijotat-Serin ? Avouons-le, leur séparation n’a rien de surprenant. Après s’être sauvé in extremis de la relégation la saison passée, le FC Metz n’a, cette fois, pas échappé au couperet. Deux saisons de souffrance scellées par une descente historique pour le club en troisième division, le divorce était sans doute inévitable. Mais, ce qui surprend, aujourd’hui, tient plutôt dans la détérioration brutale de la confiance qui avait toujours semblé animer, quitte à susciter l’incompréhension, la relation entre les deux hommes.

Fin décembre 2010, Metz est avant-dernier au classement. « Ma confiance en l’entraîneur et son staff est intacte », déclare alors le président. En octobre 2011, Metz aligne cinq défaites consécutives et se retrouve aux portes de la zone rouge. « Cinq défaites de suite, ça arrive dans la vie d’un club, à condition de redresser la situation très vite », commente Bernard Serin. Et puis, une première fêlure : le 29 mars dernier, à la veille de la réception de Boulogne, le dirigeant adresse un ultimatum à son entraîneur. La victoire ou la porte. Les joueurs font le nécessaire pour lever la menace (victoire 1-0).

Ce changement de ton présidentiel a-t-il marqué le début de la fin de l’histoire entre Serin et Bijotat ? Sans doute. Mais en filigrane, seulement. Jamais au grand jour, même à l’issue de la débâcle observée face à Guingamp, le 4 mai (défaite 2-5 à Saint-Symphorien). Était-il trop tard, aux yeux du président, pour oser un changement d’entraîneur à deux journées du clap de fin ? Des considérations financières ont-elles pesé dans ce non-choix ?

Répondre à ce genre de questions, aujourd’hui, ne permettra pas d’inverser le cours de choses. L’été prochain, le FC Metz apparaîtra bel et bien sur le calendrier du championnat National. Sans Dominique Bijotat à sa tête. Et avec la confiance des supporters à regagner.

Cédric BROUT.

Un homme et une icône

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Luc Sonor, son ancien équipier et ami, et Marcel Husson, son entraîneur durant quatre saisons au FC Metz. L’un et l’autre sont très affectés. Photo Pascal BROCARD

Les obsèques de Jules Bocandé, l’ancien attaquant du FC Metz, ont eu lieu hier matin. L’occasion pour les « anciens » d’évoquer le souvenir d’un homme formidable. Sa dépouille rejoindra Dakar demain après-midi.

Il y a des jours, des semaines parfois, dont on se passerait volontiers. Celle que vient de passer le FC Metz est l’une de celles-là. Elle a débuté lundi avec l’annonce, en fin d’après-midi, de la mort de Jules Bocandé, elle s’est terminée hier, au lendemain de la relégation du club grenat en National, par les funérailles de la star des années quatre-vingts. En quelques jours, c’est un peu comme si deux monuments s’étaient effondrés.

Jules Bocandé nous a donc quittés, à l’âge de 53 ans, et de nombreux amis, de la grande époque, avaient tenu, hier, à l’accompagner dans ses derniers instants en l’église Saint-Thérèse. Puis à se retrouver au siège du FC Metz, pour lui rendre un dernier hommage et évoquer une fois de plus son souvenir…

Les yeux dans le vide, fatigué, Marcel Husson, est visiblement très affecté. Durant les quatre saisons qu’il a vécues à Saint-Symphorien, Jules Bocandé n’a eu qu’un entraîneur, lui… « Nous étions très liés. Il est l’un des joueurs qui m’ont le plus marqué dans ma carrière. À la fois comme joueur et comme homme. Jules, c’était la joie devivre. Tout le temps. Il faisait rire tout le monde. Il était très proche de ses coéquipiers. » Marcel Husson a appris la nouvelle devant sa télé, lundi soir… « Ça m’a fait un choc ! Je ne pouvais pas m’attendre à ça. Je ne savais même pas qu’il était malade… »

Pendant quatre ans, il l’a vu percuter toutes les défenses du championnat de France. témoigner d’une générosité sans limite, s’entendre comme larrons en foire avec Carmelo Micciche… « C’était comme son frère ». Les images défilent. Le passé vient de le rattraper. Et puis il y a eu aussi cette foutue nouvelle de la veille… « C’est vraiment une semaine très triste… »

« Mon grand frère »

Arrive Luc Sonor. Lui aussi a fréquenté Jules à Metz. Les deux hommes ne se sont plus quittés ensuite. « Il était mon grand frère… Et tous les deux nous avions deux papas. Marcel et Carlo Molinari ».

Il l’embrasse, s’asseoit à ses côtés et raconte. « Nous étions inséparables. Nous nous sommes encore vus voilà trois semaines. J’étais venu voir Metz-Monaco. Il m’avait dit, je me soigne, et après, il faudra qu’on s’occupe du club ! C’était son rêve, revenir à Metz ! Le club de nos amours. Au Sénégal, c’est une icône. Vous n’imaginez pas. »

Les anciens entrent, un par un. Les souvenirs se bousculent. On y retrouve toujours les mêmes expressions, les mêmes mots… Alain Colombo évoque « son humanisme, sa générosité, sa bonté ». « Il n’avait peur de rien et pour nous qui étions plus jeunes, c’était formidable ». Thierry Pauk se veut lyrique… « Pour moi c’est une flamme qui s’éteint. C’est la fin d’un rêve, une page qui se tourne »

Jules Bocandé une icône ? Et comment ! Les plus hautes autorités de l’État sénégalais sont mobilisées et un deuil national a été décrété pour mardi. Sa dépouille arrivera à Dakar demain soir et sera probablement présentée au stade Demba Diop. Un épilogue à la mesure du personnage qu’il était.

Patrick DELAHAYE.

« Toutes mes sincères condoléances ! »

Tristes, résignés, dépités, en colère… Les réactions des supporters messins n’ont pas tardé à fuser sur internet. Florilège.

Moral en berne… Depuis vendredi soir, et la quasi-certitude de la relégation du FC Metz en National, le supporter messin est une personne proche de la dépression. Rien d’étonnant à cela : aucun de ces fidèles, toutes générations confondues, n’a jamais vu le club à la Croix de Lorraine évoluer à ce niveau. Une (triste) première historique que ces derniers n’ont pas manqué de commenter via Internet. Un besoin irrépressible de partager leur douleur, leur peine, leur colère, leur incompréhension et parfois même leurs espoirs…

Et pour la majorité de ces internautes, c’est un sentiment d’affliction qui domine, désespérés de voir « le FC Metz disparaître du paysage professionnel français », certains confessant avoir « avoir laissé filer quelques larmes ». Témoin des exploits passés de Nico Braun, un fidèle de Saint-Symphorien affirme être « totalement détruit », avoir « les jambes coupées », pendant qu’un autre présente « toutes [ses] sincères condoléances ! »

« Aujourd’hui, j’ai mal »

Et les plus jeunes ne sont pas forcément les moins touchés par cet effondrement de l’institution messine : « Je suis né en 1996, mais je suis supporter de ce club depuis ma plus tendre enfance. Et même si j’ai uniquement connu un FC Metz qui galère, aujourd’hui, j’ai mal ». Beaucoup racontent avoir « passé une nuit horrible », ne « pas avoir trouvé le sommeil », certains s’interrogeant sur la capacité du club à rebondir. « Peut-on vraiment espérer une renaissance un jour ? » Pour toute réponse, ce commentaire, lapidaire : « J’en ai marre d’espérer, c’est fatiguant… » « Sommes-nous prêts à supporter le fait que le FC Metz soit un club bancal, de seconde zone ? », s’interroge cet internaute, alors que pour d’autres, « cette descente est logique », et n’est finalement « qu’une conclusion logique de politiques sportive et extra-sportive calamiteuses ». « C’est une triste fatalité, le résultat d’accumulation de catastrophes sur ces dix dernières années. »

« Toujours là pour encourager »

Une (infime) lueur d’espoir s’est toutefois immiscée dans ce flot de remarques résignées : « Ce n’est qu’une fois au fond du gouffre qu’on peut enfin rebondir ». Ce que tente de faire actuellement le RC Strasbourg. L’occasion pour un supporter du Racing de lancer un message de solidarité en direction de ses homologues lorrains : « Allez, courage Messins ! » Ces mêmes Messins, dont certains « se moquaient de Strasbourg il n’y a pas si longtemps. J’espère que le club va trouver le second souffle dont il a besoin ».

Malgré tout, certains affirment qu’ils seront « toujours là pour encourager » le club, « même dans ces moments pénibles ». Et même sur les pelouses de National, comme le souligne cet internaute, un brin ironique : « On va s’éclater au Poirée-sur-Vie ou à Luzenac ! »

J.-S. G.

FC Metz : silence, on souffre

La fin de l’espoir de maintien en Ligue 2, signifiée vendredi par la défaite messine sur la pelouse d’Arles-Avignon (1-0), a fait pleurer certains cœurs mais n’a pas fait se délier les langues. A l’exception des réactions d’usage, tirées au soir même du désastre dans les coulisses du Parc des sports d’Avignon, aucune manifestation notoire. Comme si le ciel était trop lourd et la réalité trop noire pour la dépeindre.

Le président en consultations

Que certaines voix externes au club aient préféré s’abstenir pourra sembler compréhensible. Mais le silence des acteurs de la déroute 2011-2012 ?

Hier après-midi, le président Bernard Serin a, lui, préféré se donner quelques jours de recul avant de prendre la parole. Un délai que le patron de la maison messine a justifié en indiquant qu’il entamerait une série de « consultations » en début de semaine, avec « les différentes familles concernées par le futur du club. Je veux vérifier qu’il n’y a pas de tiraillement. » Encadrement, supporters, collectivités devraient être concernés par ce tour de table.

En attendant, en ces heures difficiles traversées par le FC Metz, l’absence de mots interpelle. Que la désillusion soit grande, d’accord. Que la tristesse soit encore trop fraîche, évidemment. Il n’empêche : soucieux de rassembler autour de lui les énergies capables de relever le défi immense qui attend son club en National, Bernard Serin adopte avec ce silence une attitude susceptible d’avoir l’effet inverse de celui escompté.

La démarche est d’autant plus surprenante qu’elle intervient au terme d’une semaine qui avait déjà fragilisé les rapports entre le club, l’équipe et certains de ses supporters. Mardi dernier, ceux-là avaient en effet entrepris de venir dialoguer avec les joueurs à l’entraînement. Ils n’ont trouvé qu’une pelouse vide, la séance du jour ayant été délocalisée à Amanvillers, officiellement pour « casser la monotonie, car le climat actuel est lourd. » L’explication de l’entraîneur Dominique Bijotat, fournie au lendemain de ce rendez-vous manqué, n’a guère convaincu.

Il faudra donc vraisemblablement attendre la fin de semaine prochaine, et la réception de Tours pour la dernière journée de championnat, pour assister aux retrouvailles entre cette équipe messine et son public. Sauf si le match venait à être délocalisé à la dernière minute... Allez, trêve de plaisanterie. Rendez-vous à 20h30, vendredi, à Saint-Symphorien.

C. B.

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Straight Outta Metz
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Re: R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

Messagepar Straight Outta Metz » 13 mai 2012, 07:42

Amsalem a écrit :
Image
Les yeux dans le vide, fatigué, Marcel Husson, est visiblement très affecté. Durant les quatre saisons qu’il a vécues à Saint-Symphorien, Jules Bocandé n’a eu qu’un entraîneur, lui
Envie de pleurer en voyant cette photo

Et une forte envie de taper des gens

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Amsalem
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Re: R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

Messagepar Amsalem » 13 mai 2012, 08:06

Cette photo est vraiment poignante.

batsc
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Re: R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

Messagepar batsc » 13 mai 2012, 08:07

tonyfc a écrit :
Straight Outta Metz a écrit : Envie de pleurer en voyant cette photo

Et une forte envie de taper des gens
Idem !!!!!
idem, surtout la 2éme envie...

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toulou31
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Re: R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

Messagepar toulou31 » 13 mai 2012, 08:23

trop triste ily a des semaines comme sa courage a tout les amoureux du FC METZ! les anciens vont le remonter ce club vous allez voir! allez METZ! un Toulousin très triste........... :metzch:

troiszéro
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Re: R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

Messagepar troiszéro » 13 mai 2012, 08:23

oui, poignante, c'est bien le mot.

Deauville Grenat

Re: R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

Messagepar Deauville Grenat » 13 mai 2012, 09:00

"Il y a trois semaines, il m’avait indiqué qu’il n’avait pas l’intention de continuer"dixit Serin


P*ain pourquoi n'avoir pas mis quelqu'un d'autre à la tête de l'équipe première (Pinot,D'Onofrio voir même Muller) pour essayer de sauver le club. :nul:

Toujours :metzch:

Séb

Re: R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

Messagepar Séb » 13 mai 2012, 09:05

Deauville Grenat a écrit :"Il y a trois semaines, il m’avait indiqué qu’il n’avait pas l’intention de continuer"dixit Serin


P*ain pourquoi n'avoir pas mis quelqu'un d'autre à la tête de l'équipe première (Pinot,D'Onofrio voir même Muller) pour essayer de sauver le club. :nul:

Toujours :metzch:
Tu crois que c'est que de la faute à Bijotat

C'est pas de sa faute si Guerriero ne sait pas joué. C'est pas de sa faute si la maman de guerriero nous insulte via le net. C'est pas de sa faute si Pouye ne sait pas débordé et faire des centres correctes.

Pour moi le soucis c'est les dirigeants et en lisant ca je me dis que

ON VA REPARTIR AVEC LA MEME ORGANIsATION CELLE QUI NOuS A CONDUIT EN NATIONAL.

Merci Serin tu es un incompétent ainsi que Razurel, Muller et d'Onofrio.......

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Patsupfcmetz
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Re: R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

Messagepar Patsupfcmetz » 13 mai 2012, 09:21

Séb ... Jusqu'à preuve du contraire, c'est Bijotat qui aligne des joueurs ne sachant pas jouer au football.
Mais il n'est effectivement pas le seul responsable.

Séb

Re: R.L. 13/05 : FC Metz : fiasco, mode d’emploi

Messagepar Séb » 13 mai 2012, 09:40

Patsupfcmetz a écrit :Séb ... Jusqu'à preuve du contraire, c'est Bijotat qui aligne des joueurs ne sachant pas jouer au football.
Mais il n'est effectivement pas le seul responsable.

Pat je t'aime bien est ce que tu as assisté a quelque entrainement ? Parce que moi j'ai été voir 7 ou 8 entrainements cette saison.......... Et de tout les entrainements que j'ai vu j'ai vu des joueurs jem'enfoutisme! Bijotat les sermoné comme pas possible !!!

J'ai même assisté un jour à une punition collective dont Guerriero était furieux contre cette punition car c'était un exercice de passe et il ne savait pas aligné trois passes sans que la balle sortait.

Puis l'entraineur il fait quoi quand Le Lundi matin ARRIVE et il SERMONE le vestiaire et certains joueurs (Bouby, Pouye etc.......) s'en foutent ! Tu fais quoi mon ami ?


POUR MOI certes Bijotat à ses tords aussi parce que ne pas aligné N'gbakoto ou Odegaard, Mais LES DIRIGEANTS eux nous ont fait couler et j'ai plus CONFIANCE EN EUX moi.

SERIN EN PARTICULIER qui s'est bien moqué de NOUS.


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