[FF.fr] Delle, l'heure du choix
Publié : 10 juin 2012, 12:51
http://www.francefootball.fr/#!/news/20 ... choix.html
En fin de contrat avec Metz, Joris Delle ne sait pas encore que but il gardera la saison prochaine. Pour le moment, le jeune gardien de but de 22 ans étudie toutes les possibilités qui s'offrent à lui. (Photo Presse-Sports)
Si vous voulez savoir ce qu'est une saison pourrie, demandez à Joris Delle. Le gardien de Metz a tout connu lors de ce maudit exercice 2011/12. Notamment une grave blessure au genou, aujourd'hui oubliée mais qui l'a éloigné des terrains pendant de longs mois. Pendant son absence, il a ainsi vu son équipe glisser petit à petit au classement pour finalement intégrer la charrette du National. «Quand c'est comme ça, tu te sens impuissant, nous a-t-il expliqué pendant son stage avec les Espoirs tricolores. Lors du dernier match, il y avait une ambiance bizarre dans le vestiaire.» Une ambiance qu'il n'est pas certain de retrouver chez les Grenats puisqu'il est en fin de contrat et qu'une pige en National n'est pas dans ses priorités : «Je n'ai pas fait une croix sur Metz, mais c'est vrai que le National, c'est plus obscur. Si je reste à Metz, je pourrais faire dire au revoir à la sélection. Et ça, ça compte pour moi.»
Brest le suit de près
Car en ligne de mire, il y a l'Euro de la catégorie en 2013. Pour y participer, il va donc falloir que le natif de Briey, qui ne veut pas être numéro deux, retrouve un club. «Je suis ouvert à tout, on verra bien.» «L'idéal, c'est de trouver un club de Ligue 1, avoue son père Laurent, qui fait office de conseiller depuis le début de sa carrière. Il faut que ce soit une équipe capable de lui donner du temps de jeu.» Pour le moment, Brest, qui a perdu Steve Elana, l'a placé en bonne position sur sa short-list, mais rien de plus. Des clubs de National se sont également positionnés. L'été devrait donc être encore un peu agité. «Il va y avoir un travail de réflexion, rétorque le papa, qui souhaite voir l'avenir de son fiston scellé avant la fin du mois de juin. Il va falloir faire des choix. Enfin le choix...» - Tanguy LE SEVILLER (@TANG_foot)
En fin de contrat avec Metz, Joris Delle ne sait pas encore que but il gardera la saison prochaine. Pour le moment, le jeune gardien de but de 22 ans étudie toutes les possibilités qui s'offrent à lui. (Photo Presse-Sports)
Si vous voulez savoir ce qu'est une saison pourrie, demandez à Joris Delle. Le gardien de Metz a tout connu lors de ce maudit exercice 2011/12. Notamment une grave blessure au genou, aujourd'hui oubliée mais qui l'a éloigné des terrains pendant de longs mois. Pendant son absence, il a ainsi vu son équipe glisser petit à petit au classement pour finalement intégrer la charrette du National. «Quand c'est comme ça, tu te sens impuissant, nous a-t-il expliqué pendant son stage avec les Espoirs tricolores. Lors du dernier match, il y avait une ambiance bizarre dans le vestiaire.» Une ambiance qu'il n'est pas certain de retrouver chez les Grenats puisqu'il est en fin de contrat et qu'une pige en National n'est pas dans ses priorités : «Je n'ai pas fait une croix sur Metz, mais c'est vrai que le National, c'est plus obscur. Si je reste à Metz, je pourrais faire dire au revoir à la sélection. Et ça, ça compte pour moi.»
Brest le suit de près
Car en ligne de mire, il y a l'Euro de la catégorie en 2013. Pour y participer, il va donc falloir que le natif de Briey, qui ne veut pas être numéro deux, retrouve un club. «Je suis ouvert à tout, on verra bien.» «L'idéal, c'est de trouver un club de Ligue 1, avoue son père Laurent, qui fait office de conseiller depuis le début de sa carrière. Il faut que ce soit une équipe capable de lui donner du temps de jeu.» Pour le moment, Brest, qui a perdu Steve Elana, l'a placé en bonne position sur sa short-list, mais rien de plus. Des clubs de National se sont également positionnés. L'été devrait donc être encore un peu agité. «Il va y avoir un travail de réflexion, rétorque le papa, qui souhaite voir l'avenir de son fiston scellé avant la fin du mois de juin. Il va falloir faire des choix. Enfin le choix...» - Tanguy LE SEVILLER (@TANG_foot)
