Le rôle d'un Président et l'âme d'un club au 21eme siecle

[Glouglou]

Ni même que M.Serin.

Même !
En plus de l'investissement financier, Carlo était sur le banc et pas toujours dans la corbeille.

Je trouve que ce n'est pas le rôle d'un Président. Il est nécessaire, aujourd'hui, d'éloigner un président du staff et des joueurs lors d'un match. Il est président, pas coach. C'est pourquoi le coach n'est pas dans la corbeille et que le président n'est pas sur le banc. Le président qui glisse des idées sur le banc, non merci. Chacun sa place, chacun ses compétences, chacun ses responsabilités.
Concernant Carlo, c'était une autre époque. Mais, en 2024, c'est non. Toute science du football peut-il posséder.

[Sssasasaroyan]

Même !
En plus de l'investissement financier, Carlo était sur le banc et pas toujours dans la corbeille.

Je trouve que ce n'est pas le rôle d'un Président. Il est nécessaire, aujourd'hui, d'éloigner un président du staff et des joueurs lors d'un match. Il est président, pas coach. C'est pourquoi le coach n'est pas dans la corbeille et que le président n'est pas sur le banc. Le président qui glisse des idées sur le banc, non merci. Chacun sa place, chacun ses compétences, chacun ses responsabilités.
Concernant Carlo, c'était une autre époque. Mais, en 2024, c'est non. Toute science du football peut-il posséder.

Et que dis tu d'un président nantais qui était dans les kops de supporters ? ( Je ne me souviens plus de son nom)
C'est pas son rôle non plus ?
On s'en fout de l'époque : est ce qu'il vaut mieux un président " bon père de famille", ou un président que l'on ne voit jamais ?
L'époque n'y est pour rien : cités nous un président qui n'a jamais voulu faire de fric avec son équipe ? Aujourd'hui le mode est différent mais le but est le même.
Un président proche du public et des supps c'est cela qui manque.

[nerolf55]

Un article sur Villas Boas, nouveau président du FC Porto :

https://www.eurosport.fr/football/liga- ... tory.shtml

[Glouglou]

Je trouve que ce n'est pas le rôle d'un Président. Il est nécessaire, aujourd'hui, d'éloigner un président du staff et des joueurs lors d'un match. Il est président, pas coach. C'est pourquoi le coach n'est pas dans la corbeille et que le président n'est pas sur le banc. Le président qui glisse des idées sur le banc, non merci. Chacun sa place, chacun ses compétences, chacun ses responsabilités.
Concernant Carlo, c'était une autre époque. Mais, en 2024, c'est non. Toute science du football peut-il posséder.

Et que dis tu d'un président nantais qui était dans les kops de supporters ? ( Je ne me souviens plus de son nom)
C'est pas son rôle non plus ?
On s'en fout de l'époque : est ce qu'il vaut mieux un président " bon père de famille", ou un président que l'on ne voit jamais ?
L'époque n'y est pour rien : cités nous un président qui n'a jamais voulu faire de fric avec son équipe ? Aujourd'hui le mode est différent mais le but est le même.
Un président proche du public et des supps c'est cela qui manque.

Je saisis pas trop ton raisonnement. Le Président, il s'y connaît autant qu'un technicien qui a suivi des formations pour pratiquer son job au quotidien ? Il a son cv ? Sa connaissance parfaite de ses joueurs qu'il côtoie chaque jour ? Non. Le Président, et c'est dans l'intitulé de son poste, il préside.
Sinon, on peut aussi exiger que le staff s'installe dans les bureaux du Président et gère le club... Et demain Arpinon sur le banc, pour souffler un remplacement ? Marchal juste à côté pour superviser et glisser des conseils sur des joueurs qu'il connaît à travers la N3 ? Ou le jardinier, pour qu'à tout moment il puisse indiquer à SLM que la pelouse glisse un peu plus dès qu'on perd un degré de température à l'angle de la tribune Est et de la Nord ?
Il y a des postes, et il faut les respecter. Ce respect, il passe par celui des compétences. Chacun sa place. Moi, l'interventionnisme d'un dirigeant, celui qui vise à mettre le nez dans le sportif à un mètre de la pelouse, c'est non. Cela ne fait pas sens.
Ce qui n'empêche pas que SLM et Serin se parlent, s'entretiennent par message vocal, texto ou de visu lorsqu'ils estiment que cela est nécessaire. Il y a même quelques personnes entre eux qui font le lien, des personnes avec des compétences qui forment et composent un organigramme.
Un staff, on le met en place et le laisse travailler. Comme partout, on rend des comptes au patron et, si ça bloque ou ça fonctionne, on en discute. Avant, après. Mais moi, je veux bien. Demain, on redevient étudiant et pompe un peu de pognon aux parents pour passer le permis. Et, au moment de le passer, on dit à l'examinateur que papa ou maman doit être sur la banquette arrière, parce que c'est le fric des darons et que papa (ou môman) adore conduire, que c'est sa passion, que lui veut avoir à nous glisser à notre oreille que ce serait pas trop mal de respecter le panneau rouge qui se présente devant nous, plutôt que filer tout droit sans marquer un arrêt.
Mince, on est où là ?

[Sssasasaroyan]

Et que dis tu d'un président nantais qui était dans les kops de supporters ? ( Je ne me souviens plus de son nom)
C'est pas son rôle non plus ?
On s'en fout de l'époque : est ce qu'il vaut mieux un président " bon père de famille", ou un président que l'on ne voit jamais ?
L'époque n'y est pour rien : cités nous un président qui n'a jamais voulu faire de fric avec son équipe ? Aujourd'hui le mode est différent mais le but est le même.
Un président proche du public et des supps c'est cela qui manque.

Je saisis pas trop ton raisonnement. Le Président, il s'y connaît autant qu'un technicien qui a suivi des formations pour pratiquer son job au quotidien ? Il a son cv ? Sa connaissance parfaite de ses joueurs qu'il côtoie chaque jour ? Non. Le Président, et c'est dans l'intitulé de son poste, il préside.
Sinon, on peut aussi exiger que le staff s'installe dans les bureaux du Président et gère le club... Et demain Arpinon sur le banc, pour souffler un remplacement ? Marchal juste à côté pour superviser et glisser des conseils sur des joueurs qu'il connaît à travers la N3 ? Ou le jardinier, pour qu'à tout moment il puisse indiquer à SLM que la pelouse glisse un peu plus dès qu'on perd un degré de température à l'angle de la tribune Est et de la Nord ?
Il y a des postes, et il faut les respecter. Ce respect, il passe par celui des compétences. Chacun sa place. Moi, l'interventionnisme d'un dirigeant, celui qui vise à mettre le nez dans le sportif à un mètre de la pelouse, c'est non. Cela ne fait pas sens.
Ce qui n'empêche pas que SLM et Serin se parlent, s'entretiennent par message vocal, texto ou de visu lorsqu'ils estiment que cela est nécessaire. Il y a même quelques personnes entre eux qui font le lien, des personnes avec des compétences qui forment et composent un organigramme.
Un staff, on le met en place et le laisse travailler. Comme partout, on rend des comptes au patron et, si ça bloque ou ça fonctionne, on en discute. Avant, après. Mais moi, je veux bien. Demain, on redevient étudiant et pompe un peu de pognon aux parents pour passer le permis. Et, au moment de le passer, on dit à l'examinateur que papa ou maman doit être sur la banquette arrière, parce que c'est le fric des darons et que papa (ou môman) adore conduire, que c'est sa passion, que lui veut avoir à nous glisser à notre oreille que ce serait pas trop mal de respecter le panneau rouge qui se présente devant nous, plutôt que filer tout droit sans marquer un arrêt.
Mince, on est où là ?

Je crois que soit je me suis mal fait comprendre, soit tu n'as pas piger ce que je voulais te dire.
Prends l'exemple d'Aulas, un président qui ne faisait pas que présider. Aulas (que je ne portais pas dans mon cœur ( il a même refusé l'entrée du stade à un gars qui "chauffait" dans le bon sens,les supporters lyonnais. Un peu comme si Carlo avait refusé l'entrée de Manolo sur le terrain avant le match)
Aulas dis-je était une sorte de bouclier (public, média etc.. pour son club)
Carlo faisait même du reperage de jeunes talents...en France et en Italie...avec un ancien joueur milanais.
C'est pour te dire, que si et seulement si Serin n'avait qu'une seule corde à son arc : le club, il pourrait le presider autrement.

[Glouglou]

Je saisis pas trop ton raisonnement. Le Président, il s'y connaît autant qu'un technicien qui a suivi des formations pour pratiquer son job au quotidien ? Il a son cv ? Sa connaissance parfaite de ses joueurs qu'il côtoie chaque jour ? Non. Le Président, et c'est dans l'intitulé de son poste, il préside.
Sinon, on peut aussi exiger que le staff s'installe dans les bureaux du Président et gère le club... Et demain Arpinon sur le banc, pour souffler un remplacement ? Marchal juste à côté pour superviser et glisser des conseils sur des joueurs qu'il connaît à travers la N3 ? Ou le jardinier, pour qu'à tout moment il puisse indiquer à SLM que la pelouse glisse un peu plus dès qu'on perd un degré de température à l'angle de la tribune Est et de la Nord ?
Il y a des postes, et il faut les respecter. Ce respect, il passe par celui des compétences. Chacun sa place. Moi, l'interventionnisme d'un dirigeant, celui qui vise à mettre le nez dans le sportif à un mètre de la pelouse, c'est non. Cela ne fait pas sens.
Ce qui n'empêche pas que SLM et Serin se parlent, s'entretiennent par message vocal, texto ou de visu lorsqu'ils estiment que cela est nécessaire. Il y a même quelques personnes entre eux qui font le lien, des personnes avec des compétences qui forment et composent un organigramme.
Un staff, on le met en place et le laisse travailler. Comme partout, on rend des comptes au patron et, si ça bloque ou ça fonctionne, on en discute. Avant, après. Mais moi, je veux bien. Demain, on redevient étudiant et pompe un peu de pognon aux parents pour passer le permis. Et, au moment de le passer, on dit à l'examinateur que papa ou maman doit être sur la banquette arrière, parce que c'est le fric des darons et que papa (ou môman) adore conduire, que c'est sa passion, que lui veut avoir à nous glisser à notre oreille que ce serait pas trop mal de respecter le panneau rouge qui se présente devant nous, plutôt que filer tout droit sans marquer un arrêt.
Mince, on est où là ?

Je crois que soit je me suis mal fait comprendre, soit tu n'as pas piger ce que je voulais te dire.
Prends l'exemple d'Aulas, un président qui ne faisait pas que présider. Aulas (que je ne portais pas dans mon cœur ( il a même refusé l'entrée du stade à un gars qui "chauffait" dans le bon sens,les supporters lyonnais. Un peu comme si Carlo avait refusé l'entrée de Manolo sur le terrain avant le match)
Aulas dis-je était une sorte de bouclier (public, média etc.. pour son club)
Carlo faisait même du reperage de jeunes talents...en France et en Italie...avec un ancien joueur milanais.
C'est pour te dire, que si et seulement si Serin n'avait qu'une seule corde à son arc : le club, il pourrait le presider autrement.

Mais je ne pige toujours pas ton intervention. C'est assez flou. D'un côté, Aulas le "bouclier, roi des médias". De l'autre, Carlo le "prospecteur". Ce que je constate, c'est que les médias ont tourné le dos à Aulas et que son club a pris une énorme claque dès que les résultats ont été moins bon. Mais aussi que Aulas, en se dispersant dans des tâches qu'il ne devait pas remplir a fini par être dans l'obligation de refiler son club du bout des doigts au grand Textor, tellement c'était brûlant. Par ailleurs, son interventionnisme auprès des divers staffs qu'il a eu sous contrat s'est finalement traduit par des résultats sportifs en nette baisse sur la durée.
Quant à Carlo, c'était une autre époque. Aujourd'hui, des personnes bien plus qualifiées que lui repèrent les joueurs. Sans compter que les enjeux financiers ne sont pas les mêmes. Carlo a sauvé le club, c'est factuel. Mais il a aussi pu le faire car les joueurs coûtaient des clopinettes. Je rappelle qu'à l'époque du FC Metz qui va battre le grand Barça en Catalogne, c'est un joueur messin blessé qui est envoyé sur place afin de superviser les Blaugranas. Pas un superviseur, pas un analyste, pas un mec dont c'était le métier. Un joueur. Je répète : un joueur.
Carlo a tout bien fait en adéquation avec son époque. Sauf sur la fin où, heureusement, Serin a pris le relais. Ce dernier rattrape d'ailleurs au prix fort le virage loupé par Don Carlo. Rien que ça.

Je ne vois pas ce qu'on reproche à Serin si ce n'est qu'il s'est longtemps mal entouré sportivement. On voudrait qu'il aille se répandre dans les médias pour défendre la cause messine ? Par qui serait-il écouté ? Même le président de PSG est moqué... Qu'il descende, pour faire comme Aulas, dans les vestiaires des arbitres à la mi-temps ? C'est quelque chose qui a fini par nuire au grand Lyon, qui était un mastodonte. Alors Metz... Restons sérieux.
Ou alors, il faudrait que le père Serin aille se balader en Toscane pour y observer des joueurs déjà supervisés par les meilleurs superviseurs des clubs du monde entier ?
Moi aussi, ça m'attriste que l'époque de Molinari et du "petit" football soit terminée. Mais c'est ainsi.

Sinon, ça : "C'est pour te dire, que si et seulement si Serin n'avait qu'une seule corde à son arc : le club, il pourrait le presider autrement", pas compris. Faudrait que tu précises, mon vieux.