B comme Bilan des Bleus
- Hooper
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Re: B comme Bilan des Bleus
interview de Henry à canal +, ces réponses : "j'ai rien vu", "j'ai rien entendu"; entretien avec sarkozy "no comment", il ajoute qu'il s'est senti exclu du groupe.
- Dark 5.7
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Re: B comme Bilan des Bleus
"personne n'a été forcé, on a été solidaires" Abidal.
la liaison est mauvaise! sabotage!
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- Dark 5.7
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Re: B comme Bilan des Bleus
http://www.lequipe.fr/Football/20100625 ... -sain.html
Interrogé au micro de TF1 lors du journal de 20h00, Eric Abidal a tenu à donner son ressenti par rapport à la crise qui touche les Bleus. Et comme Patrice Evra et Thierry Henry quelques minutes auparavant, peu de choses en ressortent, d'autant qu'un problème technique a empêché d'entendre la moitié des réponses de l'intéressé. «La décision d'exclure Nicolas Anelka a été prise à la suite d'un entretien entre le sélectionneur Raymond Domenech et la Fédération. On [les joueurs] était mécontent et pas d'accord avec ces décisions là, on a donc décidé de se mettre en grève. C'est une solution qu'on pensait être bonne. Il y avait plusieurs hypothèses, c'est celle que l'on a choisi. [...]
(A propos d'une soi-disant dispute dans le bus) Le groupe avait pris une décision, personne n'était forcé de rester dans le bus. [...] Nous étions un groupe solidaire, aussi bien dans les bons que dans les mauvais moments. S'il y avait bien un mot à retenir, c'est solidarité. Solidarité envers Nicolas Anelka. [...] Le groupe était sain. Je n'ai pas ressenti de tensions dans le groupe. C'est un peu une famille et lorsqu'un joueur est exclu de cette famille, on montre notre mécontentement. [...] Les journalistes ont écrit des choses qui ont affecté le groupe, ça s'est accumulé. [...] (Le joueur concluant de lui-même) Contrairement à ce que les Français peuvent penser, les vingt-trois joueurs qui représentaient le pays avaient l'amour du maillot. »
(ndd :
)
http://www.lequipe.fr/Football/20100625 ... exclu.html
Après Patrice Evra, Thierry Henry a également livré ses explications sur la débâcle des Bleus lors de la Coupe du monde. Et comme ce fut le cas avec le capitaine des Bleus, on n'a pas appris grand chose de la part de l'attaquant de Barcelone. Sur Canal +, Thierry Henry a expliqué que la «première raison du fiasco, c'est le fait de ne pas avoir bien joué. Il ne faut pas se voiler la face. On n'a pas été à la hauteur. Quand une équipe gagne, tout peut passer. Quand il y a des revers, le doute s'installe.»
Ce qu'il faut retenir de cette interview, outre le fait qu'il ait refusé de s'exprimer sur son entretien avec le président de la République, c'est sa mise à l'écart : «J'aurai pu être le grand frère, mais je ne l'étais plus. Je me suis senti écarté. On en me parlait plus comme avant. Avant, on me parlait plus, j'étais sur le devant de la scène. A un moment, quand tu n'as plus de crédibilité dans un groupe, ça devient difficile». Il est également revenu sur les relations entre les différentes générations : «Quand je jouais à Monaco, même après mon titre de champion du monde, je ramassais les ballons, je portais les sacs. Limite maintenant, c'est moi qui les porte...» Il a également réfuté l'hypothèse selon laquelle Domenech n'avait plus aucune prise sur son groupe : «Il y a un coach qui est en place. Il était là. Il dirigeait. Après, qu'une personne soit ou ne soit pas d'accord avec lui... Il faut respecter ses décisions». Henry a tenu à réagir aux propos de Roselyne Bachelot, qui avait parlé de caïds à l'Assemblée : «Qu'on arrête avec ce mot ! Personnellement, je n'ai pas vu de caïd, pas d'altercation, pas de bagarre. Je n'ai rien vu de tout ça».
En ce qui concerne l'affaire Anelka, qui a fait exploser le groupe, Henry «ne sait pas si ses propos ont été l'élément déclencheur. Il y avait certainement un malaise. Est-ce qu'on peut parler de clan ? Je ne pense pas. Il y a toujours des affinités dans un groupe. Mais ça rigolait beaucoup. Tout le monde changeait de table». Il a également réfuté que Gourcuff soit le mal aimé : «Non ! Après, je n'ai pas tout vu. Mais je peux vous dire que je n'ai pas vu de bagarre. Je n'ai vu personne mettre de pression à qui que ce soit. Les décisions étaient des décisions de groupe, comme ça se fait dans la vie d'une groupe. C'est le groupe qui a décidé de faire grève. Sur le moment, il y avait unanimité. Personne n'a mis de pression à qui que ce soit. Avec le recul, c'était une erreur».
Thierry Henry est également revenu sur les fameux propos de l'attaquant de Chelsea : «Ça se passe dans un vestiaire. Ce qui a fait la différence, c'est que c'est sorti. J'étais dans le vestiaire, je n'arrivais pas à entendre ce qu'il disait. Il ronchonnait. Ce qui me frappe, c'est que la personne qui a dit ça au journaliste, comment a-t-elle pu entendre ce que Nicolas a dit ?» La grève ? «La décision avait été prise bien avant le bus», a affirmé Henry qui s'explique : «Personnellement, je pense qu'on devait montrer notre soutien à Nicolas. On a su qu'il allait être exclu, sans nous consulter. Faire rentrer Nico de cette façon [le joueur a dû rentrer par ses propres moyens, ndrl], je peux vous le dire, avec l'histoire de ma main, j'étais tout seul, et je sais comment c'est. J'aurais bien aimé qu'il ait un petit peu de soutien. Je ne peux pas laisser un coéquipier comme ça». - A.D.
Interrogé au micro de TF1 lors du journal de 20h00, Eric Abidal a tenu à donner son ressenti par rapport à la crise qui touche les Bleus. Et comme Patrice Evra et Thierry Henry quelques minutes auparavant, peu de choses en ressortent, d'autant qu'un problème technique a empêché d'entendre la moitié des réponses de l'intéressé. «La décision d'exclure Nicolas Anelka a été prise à la suite d'un entretien entre le sélectionneur Raymond Domenech et la Fédération. On [les joueurs] était mécontent et pas d'accord avec ces décisions là, on a donc décidé de se mettre en grève. C'est une solution qu'on pensait être bonne. Il y avait plusieurs hypothèses, c'est celle que l'on a choisi. [...]
(A propos d'une soi-disant dispute dans le bus) Le groupe avait pris une décision, personne n'était forcé de rester dans le bus. [...] Nous étions un groupe solidaire, aussi bien dans les bons que dans les mauvais moments. S'il y avait bien un mot à retenir, c'est solidarité. Solidarité envers Nicolas Anelka. [...] Le groupe était sain. Je n'ai pas ressenti de tensions dans le groupe. C'est un peu une famille et lorsqu'un joueur est exclu de cette famille, on montre notre mécontentement. [...] Les journalistes ont écrit des choses qui ont affecté le groupe, ça s'est accumulé. [...] (Le joueur concluant de lui-même) Contrairement à ce que les Français peuvent penser, les vingt-trois joueurs qui représentaient le pays avaient l'amour du maillot. »
(ndd :

http://www.lequipe.fr/Football/20100625 ... exclu.html
Après Patrice Evra, Thierry Henry a également livré ses explications sur la débâcle des Bleus lors de la Coupe du monde. Et comme ce fut le cas avec le capitaine des Bleus, on n'a pas appris grand chose de la part de l'attaquant de Barcelone. Sur Canal +, Thierry Henry a expliqué que la «première raison du fiasco, c'est le fait de ne pas avoir bien joué. Il ne faut pas se voiler la face. On n'a pas été à la hauteur. Quand une équipe gagne, tout peut passer. Quand il y a des revers, le doute s'installe.»
Ce qu'il faut retenir de cette interview, outre le fait qu'il ait refusé de s'exprimer sur son entretien avec le président de la République, c'est sa mise à l'écart : «J'aurai pu être le grand frère, mais je ne l'étais plus. Je me suis senti écarté. On en me parlait plus comme avant. Avant, on me parlait plus, j'étais sur le devant de la scène. A un moment, quand tu n'as plus de crédibilité dans un groupe, ça devient difficile». Il est également revenu sur les relations entre les différentes générations : «Quand je jouais à Monaco, même après mon titre de champion du monde, je ramassais les ballons, je portais les sacs. Limite maintenant, c'est moi qui les porte...» Il a également réfuté l'hypothèse selon laquelle Domenech n'avait plus aucune prise sur son groupe : «Il y a un coach qui est en place. Il était là. Il dirigeait. Après, qu'une personne soit ou ne soit pas d'accord avec lui... Il faut respecter ses décisions». Henry a tenu à réagir aux propos de Roselyne Bachelot, qui avait parlé de caïds à l'Assemblée : «Qu'on arrête avec ce mot ! Personnellement, je n'ai pas vu de caïd, pas d'altercation, pas de bagarre. Je n'ai rien vu de tout ça».
En ce qui concerne l'affaire Anelka, qui a fait exploser le groupe, Henry «ne sait pas si ses propos ont été l'élément déclencheur. Il y avait certainement un malaise. Est-ce qu'on peut parler de clan ? Je ne pense pas. Il y a toujours des affinités dans un groupe. Mais ça rigolait beaucoup. Tout le monde changeait de table». Il a également réfuté que Gourcuff soit le mal aimé : «Non ! Après, je n'ai pas tout vu. Mais je peux vous dire que je n'ai pas vu de bagarre. Je n'ai vu personne mettre de pression à qui que ce soit. Les décisions étaient des décisions de groupe, comme ça se fait dans la vie d'une groupe. C'est le groupe qui a décidé de faire grève. Sur le moment, il y avait unanimité. Personne n'a mis de pression à qui que ce soit. Avec le recul, c'était une erreur».
Thierry Henry est également revenu sur les fameux propos de l'attaquant de Chelsea : «Ça se passe dans un vestiaire. Ce qui a fait la différence, c'est que c'est sorti. J'étais dans le vestiaire, je n'arrivais pas à entendre ce qu'il disait. Il ronchonnait. Ce qui me frappe, c'est que la personne qui a dit ça au journaliste, comment a-t-elle pu entendre ce que Nicolas a dit ?» La grève ? «La décision avait été prise bien avant le bus», a affirmé Henry qui s'explique : «Personnellement, je pense qu'on devait montrer notre soutien à Nicolas. On a su qu'il allait être exclu, sans nous consulter. Faire rentrer Nico de cette façon [le joueur a dû rentrer par ses propres moyens, ndrl], je peux vous le dire, avec l'histoire de ma main, j'étais tout seul, et je sais comment c'est. J'aurais bien aimé qu'il ait un petit peu de soutien. Je ne peux pas laisser un coéquipier comme ça». - A.D.
- Julius
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Re: B comme Bilan des Bleus
Sans parler d'Evra qui "allait tout raconter" et qui a accouché d'une souris...
Grotesque !!!
Fergusson dit lui avoir envoyé un texto... ça devait ressembler à
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- Amos
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Re: B comme Bilan des Bleus
Maintenant ils passent à la télé pas pour passer à table mais pour passer à la télé. :nul:
- get_up_kids
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Re: B comme Bilan des Bleus
Et sinon, quand est-ce qu'on interviewera des joueurs qui ne sont ni potes avec Anelka, ni instigateurs de la grève de l'entrainement?
Quel ridicule Evra, qui promet de tout dire et ne dit finalement rien de chez rien!
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- get_up_kids
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Re: B comme Bilan des Bleus
Le plus fort c'est quand même Henry qui arrive à dire qu'Anelka n'a pas dit les mots dont l'accuse, et 2 minutes après il dit qu'il n'a pas entendu ce qu'avait dit exactement Anelka car il parlait pas très fort....
- smetz5000
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Re: B comme Bilan des Bleus
on n'aura rien du tout, les joueurs calment simplement le jeu pour éviter de passer une nouvelle fois pour des C***.
- Outsiders
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Re: B comme Bilan des Bleus
Il peut très bien ne pas avoir entendu sur le coup et s'être fait répéter la phrase par la suite...get_up_kids a écrit :Le plus fort c'est quand même Henry qui arrive à dire qu'Anelka n'a pas dit les mots dont l'accuse, et 2 minutes après il dit qu'il n'a pas entendu ce qu'avait dit exactement Anelka car il parlait pas très fort....
Pour le reste de toute façon on n'en saura pas plus car les clubs sont intervenus et ont demandé aux joueurs de ne pas créer de polémiques et de passer à la suite...
- get_up_kids
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Re: B comme Bilan des Bleus
S'ils se les ai fait répéter par Anelka,pas sûr que cesoit la vérité,ou alors Anelka a t'ildit à ses potes de l'EDF deminimiser ses propos....Outsiders a écrit :Il peut très bien ne pas avoir entendu sur le coup et s'être fait répéter la phrase par la suite...get_up_kids a écrit :Le plus fort c'est quand même Henry qui arrive à dire qu'Anelka n'a pas dit les mots dont l'accuse, et 2 minutes après il dit qu'il n'a pas entendu ce qu'avait dit exactement Anelka car il parlait pas très fort....
Pour le reste de toute façon on n'en saura pas plus car les clubs sont intervenus et ont demandé aux joueurs de ne pas créer de polémiques et de passer à la suite...
Bref tout ça pour dire que pour l'instant on a que le son de cloche des potes d'Anelka en EDF, et que c'est donc loin d'être paroles d'Eve Angeli....euh évangile!

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