Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
- ouragan
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Re: Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
Ah ben je sens que l'on va pouvoir jouer bète jusqu'au bout et crier au scandale quand les ( trop) petits " blancs" étaient systématiquement refoulés.
- Scoubydoo
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Re: Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
vois-tu, je ne suis pas d'accord avec toi... Que la volonté d'instaurer des quotas soit contraire à nos principes (notamment l'égalité), je suis d'accord. En revanche, le physique a nécessairement un rôle à jouer puisque le football demeure un sport et qu'en la matière, le potentiel athlétique (puissance, rapidité, endurance...) est indispensable. Par conséquent, s'interroger sur le type de profil requis ne me dérange nullement puisqu'il participe d'une certaine vision du football et de la stratégie collective qu'un entraineur veut mettre en place. Lorsque la question est de savoir s'il importe de priviligier le physique, je ne vois pas où est le mal et le Capitaine Fracasse l'a parfaitement résumé dans un post quelques pages auparavant.Pires57 a écrit :de deux, si l'évocation d'instaurer des quotas discriminatoires sur le physique, sans même parler de couleur de peau, c'est normal et s'en offusquer est un scandale, c'est une inversion totale des fondements de notre république. Le seul critère valable doit être le potentiel footballistique d'un jeune relatif au poste qu'il sera amené à jouer
à bon entendeur,
salut!
Après, je te l'accorde, l'idée de quotas est un non sens footballistique, comme contraire d'ailleurs à toute morale puisqu'il vise à faire des choix mathématiques en fonction de critères prédéfinis, sans aucune cohérence sportive.
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Re: Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
Moi ce qui m'étonne dans cette histoire c'est que tout est parti d'un enregistrement pirate. Un peu comme dans l'affaire Bettencourt (le domestique qui avait enregistré des conversations privées)
Je croyais que ces pratiques (cf. les micros du Canard Enchaîné) était proscrites, voire illicites, en France.
C'est du sous-paparazzi
Pour le reste je constate qu'en France on ne peut plus rien dire sans se faire taxer de racistes. Les Africains en Afrique, je puis vous le dire, ne se gênent pourtant pas... Comment ils se marraient sur la compo de l'EDF en Af-Sud ...
Perso (je l'ai déjà écrit) je pense que le foot africain n'a jamais rien prouvé et que ce ne sont pas quelques grands joueurs à la Niang, Adebayor, Eto'o, Drogba qui peuvent dissimuler la carence d'un jeu individualiste qui n'a jamais rien prouvé, ni gagné.
Finalement un Duhamel apporte bcp plus au club qu'une perle rare ultramarine...
Même en Af-Sud les Africains ont fait choux...blanc !
Je croyais que ces pratiques (cf. les micros du Canard Enchaîné) était proscrites, voire illicites, en France.
C'est du sous-paparazzi
Pour le reste je constate qu'en France on ne peut plus rien dire sans se faire taxer de racistes. Les Africains en Afrique, je puis vous le dire, ne se gênent pourtant pas... Comment ils se marraient sur la compo de l'EDF en Af-Sud ...
Perso (je l'ai déjà écrit) je pense que le foot africain n'a jamais rien prouvé et que ce ne sont pas quelques grands joueurs à la Niang, Adebayor, Eto'o, Drogba qui peuvent dissimuler la carence d'un jeu individualiste qui n'a jamais rien prouvé, ni gagné.
Finalement un Duhamel apporte bcp plus au club qu'une perle rare ultramarine...
Même en Af-Sud les Africains ont fait choux...blanc !
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Re: Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
J'ajoute que quand on voit la compo de l'EDF de l'ère Domenech on peut se demander qui est raciste dans l'histoire pour le résultat qu'on connaît.... - 10% de licenciés à la FFF depuis la CM...
- olis57
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Re: Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
Pas de poursuite judiciaire lancée par le Ministère des Sports conter Blanc et Blaquart
http://www.le10sport.com/Football/Equip ... 46761.html
http://www.le10sport.com/Football/Equip ... 46761.html
- ouragan
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Re: Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
On est arrivé à un tel point que maintenant, à chaque sélection, on va compter combien de " blacks" seront sélectionnés et je mets ma main à couper que les journalistes vont en faire des stats.....
- champ d'or
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Re: Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
Une tempête dans un verre d'eau...
Celui qui est le plus visé est la balance qui a eu la bonne idée de donner l'enregistrement aux journalistes.
2 semaines de palabres pour peu de résultats (puisqu'il n'y avait pas matière à)

Celui qui est le plus visé est la balance qui a eu la bonne idée de donner l'enregistrement aux journalistes.
2 semaines de palabres pour peu de résultats (puisqu'il n'y avait pas matière à)
- LookingForEric
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Re: Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
Ben si, il y avait bien matière à... Le débat était parfaitement légitime sur ce coup. Pour autant, je suis satisfait que l'église ait été remise au milieu du village et qu'aucune véritable sanction n'ait été prise sur ce coup.champ d'or a écrit :Une tempête dans un verre d'eau...![]()
Celui qui est le plus visé est la balance qui a eu la bonne idée de donner l'enregistrement aux journalistes.
2 semaines de palabres pour peu de résultats (puisqu'il n'y avait pas matière à)
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Re: Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
Blanc : «Je l'ai très mal vécu»
Mis en cause dans l'affaire des quotas dans le football français, Laurent Blanc s'est expliqué pour la première fois depuis le rapport de la commission d'enquête interne de la FFF et des premières conclusions de l'inspection générale de la Jeunesse et des Sports. Le sélectionneur, qui a très mal vécu cette affaire, a songé à démissionner. (Photo Presse-Sports)
«Laurent Blanc, comment avez-vous vécu cette affaire des quotas ?
Je l'ai très mal vécue et je la vis encore très mal. Tout ce qui a été dit, qui a été rapporté et toute cette tempête médiatique n'est pas facile à vivre. On touche à l'humain et c'est difficile à admettre même si on fait un métier très médiatisé. Mais là, on va au-delà de ça. Pour moi et pour mes proches, c'est un moment délicat et je ne le souhaite à personne. Mais il y aussi des témoignages qui font qu'on arrive à tenir le choc.
Etre associé à des termes comme discrimination ou racisme vous a blessé ?
Oui, c'est le moins que l'on puisse dire. Jamais vous ne pouvez penser qu'on va toucher à ces valeurs-là sur lesquelles je suis intransigeant.
Avez-vous songé à démissionner durant cette période ?
Est-ce que j'ai présenté ma démission ? A aucun moment. Est-ce que j'ai songé à démissionner ? Oui. Parce qu'à un moment donné vous sentez que tout s'emballe, qu'il y a des amalgames qui sont faits et qui prennent une dimension au-delà du sportif. Vous êtes dans un engrenage et vous vous dites que vous n'avez pas choisi ce poste pour connaître ça et que si la solution est de partir, vous devez partir. Mais il y a une analyse plus globale à avoir. J'ai été engagé par la Fédération française de football sur un contrat de deux ans avec une mission bien précise, qualifier l'équipe de France pour l'Euro 2012. On est en course pour ça et on travaille pour ça. Le fait que mon entourage sportif me dise qu'on peut encore relever le défi, qu'on va arriver à le relever, m'a redonné le goût de ne pas lâcher et de me concentrer uniquement sur cet objectif-là.
«Je regrette mes propos qui sont blessants»
Cette affaire a également créé une fracture au sein de France 98 avec les critiques de Thuram et de Vieira. Qu'en avez-vous pensé ?
Il ne faut surtout pas que cette histoire terrasse ou balaye tout ce qu'on a vécu. Ce serait trop bête. C'était le message que j'ai voulu transmettre aux gens que j'ai eu au téléphone. Après, je peux comprendre certaines réactions puisque mes propos sont maladroits et, sortis de leur contexte, blessants. Je m'en suis expliqué parce que je ne voulais pas que cette histoire altère les bons rapports que j'ai avec Thuram et Vieira.
Vous reconnaissez avoir eu des propos maladroits ?
Oui. Je regrette mes propos qui sont blessants, dans un contexte où la conversation s'envenime. Je m'en veux de ne pas avoir pris de la hauteur dans le débat, sur un sujet sensible. On aurait dû rester concentré sur le jeu, c'est ce qui m'intéresse en premier. La conversation sur le jeu a évolué vers le problème des joueurs à double nationalité. Encore faut-il déterminer s'il y a un problème ou pas. Vous avez deux positions. Ou c'est un faux problème ou vous estimez qu'il y a matière à discuter. Mais s'il y a débat, comme c'est un sujet sensible, il faut faire très très attention à l'utilisation des mots.
«Il faut toujours assumer ses choix»
Craignez-vous l'impact de cette affaire sur l'équipe de France ?
Je souhaite que les rapports humains restent les mêmes. A moi de faire comprendre que cet épisode ne change rien aux relations que je peux avoir avec les joueurs.
N'avez-vous pas l'impression que les Bleus sont dans un cycle infernal depuis le fiasco du Mondial-2010 ?
Depuis le mois de juin 2010, ce n'est pas de tout repos d'être sélectionneur de l'équipe de France mais je l'ai choisi. La sérénité n'est pas présente longtemps mais il ne faut pas lâcher et se concentrer sur l'atteinte de l'objectif, qui va au-delà du sélectionneur. C'est très important pour le football français.
A aucun moment vous avez regretté d'avoir accepté ce poste ?
Non. On ne m'a pas forcé à le faire. Dans la vie, il faut toujours assumer ses choix.» (AFP)
http://www.francefootball.fr/#!/news/20 ... -vecu.html
Mis en cause dans l'affaire des quotas dans le football français, Laurent Blanc s'est expliqué pour la première fois depuis le rapport de la commission d'enquête interne de la FFF et des premières conclusions de l'inspection générale de la Jeunesse et des Sports. Le sélectionneur, qui a très mal vécu cette affaire, a songé à démissionner. (Photo Presse-Sports)
«Laurent Blanc, comment avez-vous vécu cette affaire des quotas ?
Je l'ai très mal vécue et je la vis encore très mal. Tout ce qui a été dit, qui a été rapporté et toute cette tempête médiatique n'est pas facile à vivre. On touche à l'humain et c'est difficile à admettre même si on fait un métier très médiatisé. Mais là, on va au-delà de ça. Pour moi et pour mes proches, c'est un moment délicat et je ne le souhaite à personne. Mais il y aussi des témoignages qui font qu'on arrive à tenir le choc.
Etre associé à des termes comme discrimination ou racisme vous a blessé ?
Oui, c'est le moins que l'on puisse dire. Jamais vous ne pouvez penser qu'on va toucher à ces valeurs-là sur lesquelles je suis intransigeant.
Avez-vous songé à démissionner durant cette période ?
Est-ce que j'ai présenté ma démission ? A aucun moment. Est-ce que j'ai songé à démissionner ? Oui. Parce qu'à un moment donné vous sentez que tout s'emballe, qu'il y a des amalgames qui sont faits et qui prennent une dimension au-delà du sportif. Vous êtes dans un engrenage et vous vous dites que vous n'avez pas choisi ce poste pour connaître ça et que si la solution est de partir, vous devez partir. Mais il y a une analyse plus globale à avoir. J'ai été engagé par la Fédération française de football sur un contrat de deux ans avec une mission bien précise, qualifier l'équipe de France pour l'Euro 2012. On est en course pour ça et on travaille pour ça. Le fait que mon entourage sportif me dise qu'on peut encore relever le défi, qu'on va arriver à le relever, m'a redonné le goût de ne pas lâcher et de me concentrer uniquement sur cet objectif-là.
«Je regrette mes propos qui sont blessants»
Cette affaire a également créé une fracture au sein de France 98 avec les critiques de Thuram et de Vieira. Qu'en avez-vous pensé ?
Il ne faut surtout pas que cette histoire terrasse ou balaye tout ce qu'on a vécu. Ce serait trop bête. C'était le message que j'ai voulu transmettre aux gens que j'ai eu au téléphone. Après, je peux comprendre certaines réactions puisque mes propos sont maladroits et, sortis de leur contexte, blessants. Je m'en suis expliqué parce que je ne voulais pas que cette histoire altère les bons rapports que j'ai avec Thuram et Vieira.
Vous reconnaissez avoir eu des propos maladroits ?
Oui. Je regrette mes propos qui sont blessants, dans un contexte où la conversation s'envenime. Je m'en veux de ne pas avoir pris de la hauteur dans le débat, sur un sujet sensible. On aurait dû rester concentré sur le jeu, c'est ce qui m'intéresse en premier. La conversation sur le jeu a évolué vers le problème des joueurs à double nationalité. Encore faut-il déterminer s'il y a un problème ou pas. Vous avez deux positions. Ou c'est un faux problème ou vous estimez qu'il y a matière à discuter. Mais s'il y a débat, comme c'est un sujet sensible, il faut faire très très attention à l'utilisation des mots.
«Il faut toujours assumer ses choix»
Craignez-vous l'impact de cette affaire sur l'équipe de France ?
Je souhaite que les rapports humains restent les mêmes. A moi de faire comprendre que cet épisode ne change rien aux relations que je peux avoir avec les joueurs.
N'avez-vous pas l'impression que les Bleus sont dans un cycle infernal depuis le fiasco du Mondial-2010 ?
Depuis le mois de juin 2010, ce n'est pas de tout repos d'être sélectionneur de l'équipe de France mais je l'ai choisi. La sérénité n'est pas présente longtemps mais il ne faut pas lâcher et se concentrer sur l'atteinte de l'objectif, qui va au-delà du sélectionneur. C'est très important pour le football français.
A aucun moment vous avez regretté d'avoir accepté ce poste ?
Non. On ne m'a pas forcé à le faire. Dans la vie, il faut toujours assumer ses choix.» (AFP)
http://www.francefootball.fr/#!/news/20 ... -vecu.html
- ouragan
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Re: Des quotas discriminatoires dans les centres de formation?
édité langage grossier
S'excuser pour avoir participer à un débat, pffffffff, pitoyable.
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