Euro 2016 , le choix des stades c' est AUJOURD'HUI
Publié : 20 mai 2011, 12:04
Euro 2016: Qui seront les heureux élus?
L'heure du verdict approche à grands pas. Vendredi, la Fédération française de football (FFF) officialisera le choix des neuf villes désignées pour accueillir l'Euro 2016, ainsi que le nom des deux réservistes. Si sept candidats semblent tenir la corde et devraient, sauf cataclysme, être retenus, l'incertitude règne entre les quatre autres prétendants que sont Lens, Nancy, Saint-Etienne et Toulouse.
Vendredi, les onze villes candidates à l'accueil de l'Euro 2016 seront fixées sur leur sort. Après la présentation des dossiers techniques par Jacques Lambert, président du comité de pilotage de la compétition, les 21 membres du Conseil fédéral de la FFF, dont font partie Fernand Duchaussoy et le président de la LFP Frédéric Thiriez, voteront et annonceront le choix des neuf candidats retenus. Un suspense insoutenable pour au moins quatre postulants.
Le clan des sept
L'avancée majeure qu'a connue le projet lyonnais de Grand Stade en milieu de semaine a levé la principale zone d'ombre qui affleurait autour de l'organisation de l'épreuve. En effet, après un bras de fer acharné avec le ministère des Sports, Jean-Michel Aulas et la mairie de Lyon ont reçu le soutien du gouvernement, qui a déclaré leur dessein d'"intérêt général", le lançant définitivement sur les bons rails. Les travaux devraient logiquement commencer fin 2011, voire début 2012, pour une inauguration prévue deux ans plus tard.
L'enceinte de 60 000 places serait donc fin prête pour l'Euro et il ne fait désormais plus guère de doute quant à la sélection de la candidature rhodanienne. De même, le Stade de France (Saint-Denis), le Parc des princes (Paris) et le Vélodrome (Marseille) font évidemment partie des incontournables. Quant aux villes de Lille, Bordeaux et Nice, qui vont chacune ériger un nouveau stade dans l'optique de la compétition, elles seront également de la fête.
Quatre prétendants pour deux places...
Le suspense reste en revanche entier concernant les deux derniers sésames à attribuer. Du côté de Lens, la situation sportive marquée par la relégation désormais officielle du Racing en Ligue 2 pourrait poser problème. Fernand Duchaussoy et Jacques Lambert avaient d'ailleurs récemment évoqué un "impact" en cas de descente des Sang et Or, sans fournir de plus amples explications. Gervais Martel, le président artésien, fait lui front et évoque un "projet très avancé", tout en se disant "très optimiste quant à la qualité du dossier".
En ce qui concerne Nancy, la situation géographique de la ville, seule représentante de l'est de la France, pourrait jouer en faveur d'un projet jugé solide. Par contre, l'incertitude planant autour de l'avenir sportif du club au Chardon, engagé dans une lutte incandescente pour son maintien parmi l'élite hexagonale, pourrait jouer un bien mauvais tour à la candidature lorraine. Du côté de Saint-Etienne, ville de football par excellence, l'humeur est à l'optimisme, même si la mise en route du projet lyonnais suscite des craintes légitimes, les deux villes n'étant séparées que d'une petite cinquantaine de kilomètres. Enfin, à Toulouse, l'heure est plutôt à l'expectative même si la mairie de la Ville rose se veut "résolument optimiste". Les dés sont en tout cas jetés et les doutes se verront définitivement dissipés vendredi, en cours de journée.
http://www.football.fr/footballfr/cmc/d ... shome-page
L'heure du verdict approche à grands pas. Vendredi, la Fédération française de football (FFF) officialisera le choix des neuf villes désignées pour accueillir l'Euro 2016, ainsi que le nom des deux réservistes. Si sept candidats semblent tenir la corde et devraient, sauf cataclysme, être retenus, l'incertitude règne entre les quatre autres prétendants que sont Lens, Nancy, Saint-Etienne et Toulouse.
Vendredi, les onze villes candidates à l'accueil de l'Euro 2016 seront fixées sur leur sort. Après la présentation des dossiers techniques par Jacques Lambert, président du comité de pilotage de la compétition, les 21 membres du Conseil fédéral de la FFF, dont font partie Fernand Duchaussoy et le président de la LFP Frédéric Thiriez, voteront et annonceront le choix des neuf candidats retenus. Un suspense insoutenable pour au moins quatre postulants.
Le clan des sept
L'avancée majeure qu'a connue le projet lyonnais de Grand Stade en milieu de semaine a levé la principale zone d'ombre qui affleurait autour de l'organisation de l'épreuve. En effet, après un bras de fer acharné avec le ministère des Sports, Jean-Michel Aulas et la mairie de Lyon ont reçu le soutien du gouvernement, qui a déclaré leur dessein d'"intérêt général", le lançant définitivement sur les bons rails. Les travaux devraient logiquement commencer fin 2011, voire début 2012, pour une inauguration prévue deux ans plus tard.
L'enceinte de 60 000 places serait donc fin prête pour l'Euro et il ne fait désormais plus guère de doute quant à la sélection de la candidature rhodanienne. De même, le Stade de France (Saint-Denis), le Parc des princes (Paris) et le Vélodrome (Marseille) font évidemment partie des incontournables. Quant aux villes de Lille, Bordeaux et Nice, qui vont chacune ériger un nouveau stade dans l'optique de la compétition, elles seront également de la fête.
Quatre prétendants pour deux places...
Le suspense reste en revanche entier concernant les deux derniers sésames à attribuer. Du côté de Lens, la situation sportive marquée par la relégation désormais officielle du Racing en Ligue 2 pourrait poser problème. Fernand Duchaussoy et Jacques Lambert avaient d'ailleurs récemment évoqué un "impact" en cas de descente des Sang et Or, sans fournir de plus amples explications. Gervais Martel, le président artésien, fait lui front et évoque un "projet très avancé", tout en se disant "très optimiste quant à la qualité du dossier".
En ce qui concerne Nancy, la situation géographique de la ville, seule représentante de l'est de la France, pourrait jouer en faveur d'un projet jugé solide. Par contre, l'incertitude planant autour de l'avenir sportif du club au Chardon, engagé dans une lutte incandescente pour son maintien parmi l'élite hexagonale, pourrait jouer un bien mauvais tour à la candidature lorraine. Du côté de Saint-Etienne, ville de football par excellence, l'humeur est à l'optimisme, même si la mise en route du projet lyonnais suscite des craintes légitimes, les deux villes n'étant séparées que d'une petite cinquantaine de kilomètres. Enfin, à Toulouse, l'heure est plutôt à l'expectative même si la mairie de la Ville rose se veut "résolument optimiste". Les dés sont en tout cas jetés et les doutes se verront définitivement dissipés vendredi, en cours de journée.
http://www.football.fr/footballfr/cmc/d ... shome-page