Bon sang ! Depuis que j'ai changé la photographie de l'onglet "A propos", celui-ci est à la fois affiché sur la colonne de droite de ma page d'accueil (comme avant) mais aussi, en gros (trop gros) au sommet du mur, et j'ai beau faire glisser son onglet en dessous des évènements et des publications dans mes paramètres, il reste attaché en haut de page !
Comment faire pour le laisser uniquement sur la colonne de droite et l'enlever du mur ?
Face de bouc
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DCD
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Re: Face de bouc
Ben c'est ce que j'ai fait !Caffee Alonso a écrit :Demande moi si tu ne sais pas.
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DCD
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Re: Face de bouc
Heureusement que tout c'est remis en place après une semaine, car ce n'est pas avec votre aide que j'aurais résolu le problème 
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DCD
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Re: Face de bouc
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messinmarseille
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Re: Face de bouc
Un peu d'histoire de notre bled qui donne des frissons :
https://www.facebook.com/32047098498651 ... 31384554/
« Madame, (...)
J'aime mon pays comme vous, Madame, vous aimez le vôtre, et par conséquent je comprends les amertumes qui remplissent le cœur de Votre Majesté et j'y compatis bien sincèrement.
Mais, après avoir fait d'immenses sacrifices pour sa défense, l'Allemagne veut être assurée que la guerre prochaine la trouvera mieux préparée à repousser l'agression sur laquelle nous pouvons compter aussitôt que la France aura réparé ses forces et trouvé des alliés.
C'est cette considération seule, et non le désir d'agrandir une patrie dont le territoire est assez grand, qui me force à insister sur des cessions de territoires, qui n'ont d'autre but que de reculer le point de départ des armées françaises qui, à l'avenir, viendront nous attaquer.
Je ne puis juger si Votre Majesté était autorisée à accepter au nom de la France les conditions que demande l'Allemagne, mais je crois qu'en le faisant Elle aurait épargné à sa patrie bien des maux et l'aurait préservée de l'anarchie qui aujourd'hui menace une nation dont l'Empereur pendant vingt ans avait réussi à développer la prospérité. (...) »
Correspondance adressée par Guillaume Ier à l’impératrice Eugénie le 26 octobre 1870.
Dans ce courrier, Guillaume Ier reconnaît en 1870 que l’Alsace Moselle sont des territoires français annexés par l’Allemagne à des fins de stratégies défensives.
En 1918, Eugénie apprend que les États-Unis ne sont pas favorables à la restitution de l’Alsace Moselle à la France.
Elle est sidérée d’entendre une partie des socialistes français s’aligner sur la position américaine.
Ce rattachement n’est en effet pas vu d’un œil favorable par les Américains qui considèrent que ce territoire est peuplé d’Allemands et qu’il a été annexé à la France par des accidents de l’Histoire.
C'est alors qu’Eugénie écrit à Clemenceau pour lui apprendre l'existence de cette lettre rédigée en 1870 par Guillaume Ier.
Elle cède à Clemenceau l’original de cette correspondance dans les semaines suivantes par l'entremise d'Arthur Hugenschmidt.
Grâce à ce courrier, les États-Unis sont contraints d’accepter la restitution sans condition de l’Alsace Moselle au moment de l’armistice.
Eugénie meurt deux ans plus tard, en 1920, avec le sentiment du devoir accompli pour son pays de cœur.
Elle s’éteint à quatre-vingt-quatorze ans au palais de Liria à Madrid, dans son pays natal.
En raison de la régence qu'elle a exercé au cours de la guerre de 1870, elle est la dernière femme à avoir gouverné la France avec les prérogatives d'un chef d'État.
Quant aux Américains, ils reviendront à la charge sur l’éventualité d’une partition de la France lorsqu’ils s’engageront dans la Seconde guerre mondiale.
Roosevelt propose en effet en mars 1943 de créer un territoire tampon entre la France et l’Allemagne dénommé « Wallonie ».
Ce territoire devait être composée de l’Alsace, de la Lorraine, du Luxembourg ainsi que de la Belgique.
Là encore le projet de Roosevelt se cassera les dents sur un Français : Charles de Gaulle.
De ce point de vue, il marchera dans les pas de l’impératrice Eugénie pour s’assurer de l’intégrité territoriale du pays.
https://www.facebook.com/32047098498651 ... 31384554/
« Madame, (...)
J'aime mon pays comme vous, Madame, vous aimez le vôtre, et par conséquent je comprends les amertumes qui remplissent le cœur de Votre Majesté et j'y compatis bien sincèrement.
Mais, après avoir fait d'immenses sacrifices pour sa défense, l'Allemagne veut être assurée que la guerre prochaine la trouvera mieux préparée à repousser l'agression sur laquelle nous pouvons compter aussitôt que la France aura réparé ses forces et trouvé des alliés.
C'est cette considération seule, et non le désir d'agrandir une patrie dont le territoire est assez grand, qui me force à insister sur des cessions de territoires, qui n'ont d'autre but que de reculer le point de départ des armées françaises qui, à l'avenir, viendront nous attaquer.
Je ne puis juger si Votre Majesté était autorisée à accepter au nom de la France les conditions que demande l'Allemagne, mais je crois qu'en le faisant Elle aurait épargné à sa patrie bien des maux et l'aurait préservée de l'anarchie qui aujourd'hui menace une nation dont l'Empereur pendant vingt ans avait réussi à développer la prospérité. (...) »
Correspondance adressée par Guillaume Ier à l’impératrice Eugénie le 26 octobre 1870.
Dans ce courrier, Guillaume Ier reconnaît en 1870 que l’Alsace Moselle sont des territoires français annexés par l’Allemagne à des fins de stratégies défensives.
En 1918, Eugénie apprend que les États-Unis ne sont pas favorables à la restitution de l’Alsace Moselle à la France.
Elle est sidérée d’entendre une partie des socialistes français s’aligner sur la position américaine.
Ce rattachement n’est en effet pas vu d’un œil favorable par les Américains qui considèrent que ce territoire est peuplé d’Allemands et qu’il a été annexé à la France par des accidents de l’Histoire.
C'est alors qu’Eugénie écrit à Clemenceau pour lui apprendre l'existence de cette lettre rédigée en 1870 par Guillaume Ier.
Elle cède à Clemenceau l’original de cette correspondance dans les semaines suivantes par l'entremise d'Arthur Hugenschmidt.
Grâce à ce courrier, les États-Unis sont contraints d’accepter la restitution sans condition de l’Alsace Moselle au moment de l’armistice.
Eugénie meurt deux ans plus tard, en 1920, avec le sentiment du devoir accompli pour son pays de cœur.
Elle s’éteint à quatre-vingt-quatorze ans au palais de Liria à Madrid, dans son pays natal.
En raison de la régence qu'elle a exercé au cours de la guerre de 1870, elle est la dernière femme à avoir gouverné la France avec les prérogatives d'un chef d'État.
Quant aux Américains, ils reviendront à la charge sur l’éventualité d’une partition de la France lorsqu’ils s’engageront dans la Seconde guerre mondiale.
Roosevelt propose en effet en mars 1943 de créer un territoire tampon entre la France et l’Allemagne dénommé « Wallonie ».
Ce territoire devait être composée de l’Alsace, de la Lorraine, du Luxembourg ainsi que de la Belgique.
Là encore le projet de Roosevelt se cassera les dents sur un Français : Charles de Gaulle.
De ce point de vue, il marchera dans les pas de l’impératrice Eugénie pour s’assurer de l’intégrité territoriale du pays.
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Re: Face de bouc
Très intéressant. Merci pour le partage.
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Expat
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Re: Face de bouc
Merci je ne connaissais pas cette partie de l'histoire
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