J'aime / J'aime pas

[belobog]

J'aime pas ne pas me souvenir du nom du bar situé derrière le Lycée Schuman à Metz, avenu de Strasbourg. Je ne suis pas certain qu'il s'agissait du Yucatan !

Zut, je ne m'en souviens plus non plus alors pourtant que je l'ai pas mal fréquenté à l'époque (du moins si tu parles bien de celui qui était en face du cimetière de l'Est)
Un jour, j'y ai même croisé Léotard et Bohringer qui tournait un film de Mocky

Mais bon Yucatan ça ne me parle vraiment pas...

[DCD]

(du moins si tu parles bien de celui qui était en face du cimetière de l'Est)

Oui c'était celui-là. Le petit bâtiment qui l'hébergeait a été rasé.

[Toni Truand]

C'est ton droit le plus strict !

Ceci étant, quand on sait que le point de départ de la saga c'est quand quelqu'un tue son chien.... alors que certains ici aiment faire du mal aux chats, on peut comprendre

J'ai jamais tué d'chats
Ou alors y'a longtemps
Ou bien j'ai oublié
Ou ils sentaient pas bon

Le grand Jacques

[Cactus]

J'ai jamais tué d'chats
Ou alors y'a longtemps
Ou bien j'ai oublié
Ou ils sentaient pas bon

Le grand Jacques

et le grand Georges ( un autre ^^) :

Qu'il boive mon vin, qu'il aime ma femme
Qu'il fume ma pipe et mon tabac
Mais que jamais - mort de mon âme
Jamais il ne fouette mes chats
Quoique je n'aie pas un atome
Une ombre de méchanceté
S'il fouette mes chats, y a un fantôme
Qui viendra le persécuter
( le Testament)

[jacado]

et le grand Charles (pas celui de Colombey, celui des fleurs du mal)

Les chats

Les amoureux fervents et les savants austères
Aiment également, dans leur mûre saison,
Les chats puissants et doux, orgueil de la maison,
Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires.

Amis de la science et de la volupté,
Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres ;
L’Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres,
S’ils pouvaient au servage incliner leur fierté.

Ils prennent en songeant les nobles attitudes
Des grands sphinx allongés au fond des solitudes,
Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin ;

Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques,
Et des parcelles d’or, ainsi qu’un sable fin,
Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.

Charles Baudelaire, Les fleurs du mal

[belobog]

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[InSerinWeTrust]

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Et comme y a des poètes, tu espères ne pas m'y rencontrer, c'est ça ???

Oh muse prête moi ta lyre...

[belobog]

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Et comme y a des poètes, tu espères ne pas m'y rencontrer, c'est ça ???

Oh muse prête moi ta lyre...

Détrompe toi, je suis convaincu de tes talents de pouet (pouet), tu l'as maintes fois prouvé

Un mélange de Jean-Jacques Rimbaud et de Raoul Baudelaire en quelque sorte

[berkeley1987]

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Et comme y a des poètes, tu espères ne pas m'y rencontrer, c'est ça ???

Oh muse prête moi ta lyre...

! oh mamie, prêtes-moi quelques lires,
que je puisse acheter le napoli

[Toni Truand]

Le grand Jacques

et le grand Georges ( un autre ^^) :

Qu'il boive mon vin, qu'il aime ma femme
Qu'il fume ma pipe et mon tabac
Mais que jamais - mort de mon âme
Jamais il ne fouette mes chats
Quoique je n'aie pas un atome
Une ombre de méchanceté
S'il fouette mes chats, y a un fantôme
Qui viendra le persécuter
( le Testament)

C’est une des chansons que je chante à ma fille pour l’endormir
Si on cite les chansons ou Brassens parle de chat il faut rajouter « Brave Margot » , Puta*in de toi.... et sans soute bien d’autres...