L'actu ciné...

[Glouglou]

Vu : Second tour de et avec A.Dupontel

Excellent ! Humour, poésie, dérision, méchanceté,......
Du DUPONTEL quoi !
Depuis je sais articulé une insulte en Roumain

Je suis allé le voir. Il est sympa mais je trouve que Dupontel gâche son récit en y en incorporant bien trop de musiques niaises, qui ont pour mission de guider l'émotion du spectateur. On l'oblige à aller vers le chemin de la petite larme, et je trouve ça nul. J'aimerais qu'il laisse les scènes dites d'émotion(s) plus brutes. Et, ensuite, au spectateur de se dépatouiller avec l'émotion que ça lui procure ou non. Ces musiques, là, pour moi, c'est un gros point noir. Les émotions, dans les films de Dupontel, elles existent déjà et je ne saisis pas pourquoi il ajoute des musiques pour tirer la larme. Parfois, à cause de ça, on frôle le mauvais téléfilm. Et c'est bien dommage, car le récit est bien construit, drôle, caustique, etc. Du Dupontel, quoi. La poésie est là, oui, pas la peine de la rendre mielleuse. On a saisi que c'est une fable, arrêtons de tout téléguider avec des musiques larmoyantes. Du coup, ça m'a sorti du film. J'étais déçu. Du brut, mince, du brut !

[berkeley1987]

' Le petit blond de la Casbah ' : excellent !
je pensais que ça serait presque aussi bien que ' Là bas...mon pays ',
et finalement c'est presque aussi bien que ' Ce que le jour doit à la nuit '

[Toni Truand]

On a été voir le dernier Disney, Wish je sais pas quoi... ça se laisse regarder mais bon les références à Poutine et autres tyrans de ce monde , assoiffés de pouvoir , est un peu trop présentes.
Je préfère les films pour enfants avec des petits chats...

[Toni Truand]

J’aimerai bien aller voir le film avec Jean-Marc et son pote Panne à cloque , avec ma fille, vu quand même que c’est une marionnette trop mignonne mais je pense qu’elle dit des gros mots et j’ai peur de recevoir une nouvelle volée de bois vert par sa daronne. Alors j’irai seul.
Et on ira voir Wonka avec l’enfant (même si ça ne vaudra pas le Wonka interprété par Johnny Depp)

[InSerinWeTrust]

Une affaire d'honneur.

Alors que les duels pour régler les litiges liés à l'honneur sont interdits en 1883, on s'en donne à coeur joie. Pour divers prétextes, on assiste ainsi à un duel au fleuret (légal celui ci), puis un nouveau au fleuret, un autre pistolet, puis à l'épée et un enfin au sable à cheval.

Tout est bien filmé, les chorégraphies sont belles et réalistes (rien à voir avec une mise en scène hyper choregraphiée à la John Woo ou Aux poignards volants de
Zhang Yimou)
Ça vaut vraiment le coup, surtout dans le marasme ciné actuel.

Un seul point négatif. Le film est censé se passer en juillet à Paris, alors pourquoi (et c'est un reproche fait au cinéma actuel ) nous montrer un monde sans lumière qui se passe bien trop dans l'ombre et la pénombre ? D'ailleurs je ne comprends toujours pas cette scène avec un feu qui brûle dans une cheminée.
Bon, hormis ce point de détail, vous pouvez y aller (PO as les yeux fermés, vous avez bien compris, sinon vous n'y verrez absolument rien)

[LittleWing]

Juste pour signaler la sortie d'un film (sur Prime Video) qui s'appelle "Numéro 10", l'histoire d'un joueur de foot binational qui a débuté sa carrière au FC Metz (y a même un cameo de 2s de Bernard Serin )
Ca a l'air assez neuneu et très low cost.
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_ ... 05778.html

Y a eu un article sur So Foot :
https://www.sofoot.com/articles/ibrahim ... ationalite

[Toni Truand]

Il me semblait avoir lu un post sur Wonka et je le trouve pas .
On a été le voir y’a deux semaines et je dois avouer que j’ai beaucoup aimé. J’ai été surpris je partais avec un apriori négatif, d’après les extraits que j’avais pu voir , ça me semblait bien loin du Wonka du Charlie et la chocolaterie de Tim Burton. Et en fait il était vraiment simpa.

[messinmarseille]

Juste pour signaler la sortie d'un film (sur Prime Video) qui s'appelle "Numéro 10", l'histoire d'un joueur de foot binational qui a débuté sa carrière au FC Metz (y a même un cameo de 2s de Bernard Serin )
Ca a l'air assez neuneu et très low cost.
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_ ... 05778.html

Y a eu un article sur So Foot :
https://www.sofoot.com/articles/ibrahim ... ationalite

Léger pour un sujet aussi difficile, j'ai bien aimé, surtout la maman qui porte le maillot du FC METZ tout le film, une séquence chant de la Horda au générique du début et l'intervention du président Serin. Belle prise de vue de ST Symphorien.

[Couleurdhiver]

Quelqu'un est allé voir le dernier Dupieux ? Je me tâte.

[Glouglou]

Quelqu'un est allé voir le dernier Dupieux ? Je me tâte.

Oui.
Pas le meilleur des Dupieux. En gros, on est dans une confrontation entre le banal et l'extra. Entre ceux qui n'ont rien de spécial et celui qui en déborde. On ne s'intéresse pas vraiment au Dali artiste, mais à la communication de Dali. Son ego, sa passion pour lui-même, son obsession d'être vu. Et pour le coup, on est servi en le voyant à travers cinq acteurs (ça devait être plus à l'origine) qui le jouent plus ou moins bien (c'est raté pour Lellouche et Marmaï, à mes yeux). On retrouve dès la première scène l'univers de l'artiste, ce qui aide à accepter le loufoque qui suivra. Mais, en vrai, ce n'est pas transcendant Quelques passages drôles et beaucoup d'autres où l'on s'ennuie. On a vu Dupieux bien plus surréaliste, bien plus divertissant.
À la limite, c'est un film qui peut tirer un peu sur la nostalgie d'un époque où on laissait encore un peu de place à des personnages, qui savaient se jouer du monde en lui fixant ses règles. Les règles de Dali, un univers créé de toutes pièces. Qui, aujourd'hui, pourrait être Dali ? Personne. Parce qu'avec les réseaux sociaux, la publication à outrance de nos vies via des statuts, des photos, des vidéos sans intérêt mais qui flattent l'ego , l'humain a tendance à croire qu'il est spécial alors qu'il ne créé rien. Pas même les mots ou les images qu'il croit choisir, puisqu'il imite bêtement les autres, qui réfléchissent majoritairement par à peu près tout sauf par eux-mêmes.
Bon, voilà, Dali, on aime ou on n'aime pas, mais c'était singulier. Autant dans l'art que dans la communication. La seconde donnée étant possible grâce au génie de la première.