Ah, tu ne portes pas de lunettes ? .....cioran a écrit :Non, vraiment rien!Cactus a écrit :
Je peux t'assurer qu'il n'a rien de Ruquier
Le topic de la honte
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Re: Le topic de la honte
- Cioran
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Re: Le topic de la honte
Voilà, tu as trouvé!alain0157 a écrit :Ah, tu ne portes pas de lunettes ? .....cioran a écrit :
Non, vraiment rien!
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Re: Le topic de la honte
Oh il doit bien y avoir d'autres différences mais c'est la première qui m'est venue à l'esprit ....cioran a écrit :Voilà, tu as trouvé!alain0157 a écrit :
Ah, tu ne portes pas de lunettes ? .....
- belobog
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Re: Le topic de la honte
C'est bon, je l'ai vu en photo désormais, d'ailleurs il ne ressemble pas non plus à Steevy Boulaycioran a écrit :Non, vraiment rien!Cactus a écrit :
Je peux t'assurer qu'il n'a rien de Ruquier
Je parlais juste de cette capacité qu'il avait à dégainer jeux de mots (laids) et calembours (bons)
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Re: Le topic de la honte
Ça m'est arrivé aujourd'hui : en sortant d'une visite, j'ai désigné un supérieur (à qui je dois rendre des comptes prochainement) au loin à mon groupe qui ne connaissait pas le lieu. Nous sortons pour nous rendre dans un autre lieu de réunion (carrément une autre rue) et je commence à bien lui casser du sucre sur son dos "exigeant, hautain, premier de la classe, hypocrite, carriériste, etc." Avant d'en remettre une couche sur son équipe "qui sont tous pareils".
Au bout d'un laïus de deux-trois minutes, j'attends un "ahem" derrière moi : c'était une collègue de ce type qui se rendait au même lieu de réunion et qui nous avait suivi tout au long du trajet.
Je le revois lundi, ça risque d'être tendu !
Au bout d'un laïus de deux-trois minutes, j'attends un "ahem" derrière moi : c'était une collègue de ce type qui se rendait au même lieu de réunion et qui nous avait suivi tout au long du trajet.
Je le revois lundi, ça risque d'être tendu !
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Re: Le topic de la honte
Couleurdhiver a écrit : Ça m'est arrivé aujourd'hui : en sortant d'une visite, j'ai désigné un supérieur (à qui je dois rendre des comptes prochainement) au loin à mon groupe qui ne connaissait pas le lieu. Nous sortons pour nous rendre dans un autre lieu de réunion (carrément une autre rue) et je commence à bien lui casser du sucre sur son dos "exigeant, hautain, premier de la classe, hypocrite, carriériste, etc." Avant d'en remettre une couche sur son équipe "qui sont tous pareils".
Au bout d'un laïus de deux-trois minutes, j'attends un "ahem" derrière moi : c'était une collègue de ce type qui se rendait au même lieu de réunion et qui nous avait suivi tout au long du trajet.
Je le revois lundi, ça risque d'être tendu !
J'ai une relation de travail qui supporte l'OM, vu les deux derniers matchs face à Paris et Annecy, je lui ai offert de la Biafine et du Cicatryl. Je peux t'en faire livrer deux / trois tubes de chaque si tu veux...
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Re: Le topic de la honte
Au travail, il y a un mois. J'avais une réunion importante prévue avec une dame depuis deux mois, et elle devait assister à deux autres rencontres dans la semaine au sein d'une assemblée. Elle était absente lors de ces deux rencontres.
Arrivé le jour de la réunion, j'ouvre la porte tout guilleret en parlant bien fort "Bah alors madame X, on vous attendait hier, comment ça se fait que vous étiez absente ?"
Réponse "Ma belle-mère est décédée". Elle baisse les yeux, silence dans la pièce, apparemment les autres personnes étaient toutes au courant de la situation. Des moues gênées, quelques regards outrés, des excuses bafouillées. C'est à peu près tout.
Quelqu'un pour une honte plus honorable/croustillante ?
Arrivé le jour de la réunion, j'ouvre la porte tout guilleret en parlant bien fort "Bah alors madame X, on vous attendait hier, comment ça se fait que vous étiez absente ?"
Réponse "Ma belle-mère est décédée". Elle baisse les yeux, silence dans la pièce, apparemment les autres personnes étaient toutes au courant de la situation. Des moues gênées, quelques regards outrés, des excuses bafouillées. C'est à peu près tout.
Quelqu'un pour une honte plus honorable/croustillante ?
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Re: Le topic de la honte
Non, pas pour l'instant, mais grâce à toi, j'ai bien ri.Couleurdhiver a écrit : Au travail, il y a un mois. J'avais une réunion importante prévue avec une dame depuis deux mois, et elle devait assister à deux autres rencontres dans la semaine au sein d'une assemblée. Elle était absente lors de ces deux rencontres.
Arrivé le jour de la réunion, j'ouvre la porte tout guilleret en parlant bien fort "Bah alors madame X, on vous attendait hier, comment ça se fait que vous étiez absente ?"
Réponse "Ma belle-mère est décédée". Elle baisse les yeux, silence dans la pièce, apparemment les autres personnes étaient toutes au courant de la situation. Des moues gênées, quelques regards outrés, des excuses bafouillées. C'est à peu près tout.
Quelqu'un pour une honte plus honorable/croustillante ?
- Couleurdhiver
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Re: Le topic de la honte
Tiens, je m'étonne de ne pas avoir déjà raconté celle-ci :
Il y a des années en arrière, en tant que chercheur stagiaire au Luxembourg dans un Institut de recherche socioéconomique. Des gens très bien, des érudits surdiplomés qui publient à tour de bras dans différentes langues. J'avais un bureau (d'abord seul puis rejoins par un Clermontois) aux murs fins (la précision aura du sens par la suite) et une autonomie totale : 5 mois pour rendre un article, pas d'autres contraintes. Bref, j'étais dans ce fameux bureau où je m'étais lancé dans une après-midi de lecture d'articles.
Retour dans le passé :
Concentré sur un article pointu et passionnant qui répondait à certaines de mes réflexions, je suis focalisé sur mon écran. Sans m'en rendre vraiment compte, je joue avec une agrafeuse depuis de longues minutes, la faisant cliqueter frénétiquement dans le vide. Et paf, à un moment, toute mon attention happée par l'ordinateur, j'appuie un bon coup avec mon pouce gauche glissé dans l'espace d'agrafage (?). Je lâche un cri aigu, je gémis, mon pouce gonfle et rougit subitement, j'ai du mal à le sortir de cette mâchoire d'acier.
Je pousse de petits cris, je gémis, je halète fébrilement puis j'entends un toussotement gêné dans le bureau voisin. Je me fous donc le poing dans la bouche : l'agrafe est tordue et plantée dans mon ongle qui commence à prendre une teinte violacée.
Évidemment, j'ai trop peur pour la tirer et je me vois mal toquer chez mon voisin danois "super PHD" ou mon responsable de stage pour demander de l'aide. Après d'interminables minutes d'hésitation, j'extrais d'un coup sec l'agrafe et se forme un petit geyser de sang qui dégouline sur mon doigt.
Après m'être rincé et entouré le doigt d'un papier humide, je suis retourné chez moi et c'est devenu une anecdote de foutage de gueule chez mes proches.
Il y a des années en arrière, en tant que chercheur stagiaire au Luxembourg dans un Institut de recherche socioéconomique. Des gens très bien, des érudits surdiplomés qui publient à tour de bras dans différentes langues. J'avais un bureau (d'abord seul puis rejoins par un Clermontois) aux murs fins (la précision aura du sens par la suite) et une autonomie totale : 5 mois pour rendre un article, pas d'autres contraintes. Bref, j'étais dans ce fameux bureau où je m'étais lancé dans une après-midi de lecture d'articles.
Retour dans le passé :
Concentré sur un article pointu et passionnant qui répondait à certaines de mes réflexions, je suis focalisé sur mon écran. Sans m'en rendre vraiment compte, je joue avec une agrafeuse depuis de longues minutes, la faisant cliqueter frénétiquement dans le vide. Et paf, à un moment, toute mon attention happée par l'ordinateur, j'appuie un bon coup avec mon pouce gauche glissé dans l'espace d'agrafage (?). Je lâche un cri aigu, je gémis, mon pouce gonfle et rougit subitement, j'ai du mal à le sortir de cette mâchoire d'acier.
Je pousse de petits cris, je gémis, je halète fébrilement puis j'entends un toussotement gêné dans le bureau voisin. Je me fous donc le poing dans la bouche : l'agrafe est tordue et plantée dans mon ongle qui commence à prendre une teinte violacée.
Évidemment, j'ai trop peur pour la tirer et je me vois mal toquer chez mon voisin danois "super PHD" ou mon responsable de stage pour demander de l'aide. Après d'interminables minutes d'hésitation, j'extrais d'un coup sec l'agrafe et se forme un petit geyser de sang qui dégouline sur mon doigt.
Après m'être rincé et entouré le doigt d'un papier humide, je suis retourné chez moi et c'est devenu une anecdote de foutage de gueule chez mes proches.
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