Le topic des cyclistes.......

[patrick57]

Quand vous doublez un cycliste laissez lui toujours de la place pour tomber

[Palinodie]

Alors le Vietnam en vélo, ça donne quoi ?

Première chose, faut intégrer rapidement que les règles de circulation diffèrent légèrement de ce qu'on connait ici.
En fait ya pas de règles, c'est le plus gros qui passe, ce qui place le cycliste en 4ème position, après les camions, les voitures, les milliards de motos/vespas/mobylettes et devant les piétons.
Bon, il n'y a pas de piétons au Vietnam, enfin en rase campagne, si vous voyez quelqu'un marcher, c'est forcément des gamin(e)s de - 12 ans qui vont ou reviennent de l'école.
Bizarrement, je ne me suis jamais senti vraiment en danger, déjà il n'y a aucune agressivité, personne ne va venir sciemment te frôler comme ça peut se passer ici parfois, tout ce beau monde ne roule pas très vite, souvent parce qu'ils ne peuvent pas (cf la vétusté de certains camions, le peu de puissance des petites cylindrées et aussi le fait que le (petit) parc automobile est constitué de voitures récentes ou neuves -beaucoup de SUV-, que ça coute une blinde et que les mecs vont pas jouer les Schumacher au risque de cabosser leur caisse.
Donc , voilà, faut faire gaffe, c'est pas rédhibitoire.
Je dois quand même avouer que le départ du centre de Hanoi et la traversée de son agglomération m'ont quand même bien fait flipper, mais bon une fois sorti de là, ça a été.

En France, quand on veut être tranquille, on prend les routes secondaires. Au Vietnam, faire la même chose peut être piégeux, because la fréquente mauvaise qualité de ces routes qui peuvent se transformer quelquefois en chemins, forcément boueux.
Donc ne pas hésiter à prendre les routes principales, l'équivalent de nos nationales, elles sont la plupart du temps en bon état, bien sûr, il peut y avoir une zone de travaux, ce qui signifie, plus de route du tout sur de 100 à 500 m.
Avec mon fils, nous avons suivi la QL 32 sur plus de 350 km sans trop de problèmes, une fois intégré que les locaux font sécher (par exemple) la paille de riz sur la route, que tu dois en tenir compte (si un camion arrive en face, tu te gares sur le bas côté, voilà...).

Ah oui, la-bas, un coup de klaxon ne signifie pas que tu gênes quelqu'un, simplement, on t'avertit qu'on arrive et que tu dois en tenir compte, c'est tout.
Bon, tout le monde klaxonne tout le temps, spécialement les camions qui émettent un son très particulier et qui durent un paquet de secondes.
A mon retour, en comparaison, à la descente de l'avion à Roissy et puis ensuite à Paris, j'ai trouvé la capitale hyper silencieuse, à tel point que je me suis demandé si je n'étais pas devenu sourdingue...

Dans la cambrousse,chaque foyer possède au moins un clébard, voire 2. Et ces bestioles ne savent pas ce qu'est un vélo, pour elles, un véhicule, ça doit forcément pétarader et faire du boucan, donc, du coup, surprises, ellles se mettent régulièrement à te courser, t'obligeant à accélérer brutalement.

Ce qui est difficile, avec une bécane plus lourde que d'habitude et lestée de 2 sacoches. De plus, au départ, on m'avait prêté un vélo avec comme développement le plus petit 40*25. Sur les 50 premiers kms, pas de problème, c'était plat.
Le problème, c'est qu'on partait vers le Nord Ouest, les montagnes avec 2 cols à 1500 et 2000 m programmés dans le parcours. D'où un arrêt le 2ème jour chez un vélociste local qui m'a dégoté une cassette 12/33, ça a été un peu mieux, mais au bout de 29 kms de montée (le col à 2000 m au dessus de Sapa) avec 40*33, si le cardio ne monte pas, vu que tu tournes les jambes au ralenti, je te garantis que t'as plus beaucoup de jambes.

D'un autre côté, il y a ces paysages très dépaysants qui t'aident à passer le temps et les kms. Et puis, contrairement au 52 où tu dois quasiment te renseigner préalablement pour trouver où manger et/ou boire un coup, là, pas de problème, dès qu'il y a 2/3 maisons, t'es certain de trouver un local où tu peux te ravitailler, notamment en eau (tout le monde boit de l'eau en bouteilles, donc t'en trouves partout), mais pas que...
Ah ces délicieux jus de canne à sucres, ces ananas frais coupés en tranches, ces bananes etc., on a multiplié les arrêts pour récupérer en se régalant. Pour le reste, on a regardé ce que mangeaient les locaux, on montrait du doigt et on payait royalement 30 000 dongs (attention, là, je parle d'endroits perdus au milieu de nulle part, pas d'Hanoi, où tu peux effectivement manger aussi à ce tarif là, mais aussi pour 30 fois plus chers...), soit un peu plus d'1 euro.

Pour le couchage, ça a été plus compliqué, si beaucoup sont répertoriés précisément sur le net, on a quelquefois improvisé avec des bonnes, mais aussi au moins une mauvaise surprise, à savoir une piaule limite insalubre qu'on a quitté assez vite le lendemain matin.

De toute façon, vaut mieux partir tôt, la température la plus fraiche qu'on a relevé en montagne, c'est 23°. Ca a atteint 38 ° en plaine, t'ajoutes l'humidité ambiante et du coup, te lever à l'aube pour pédaler n'est plus un problème.

Bilan 540 kms en 7 étapes (sur 11 jours) entre Hanoi et Lao Cai (la frontière chinoise) en passant par Mu Cang Chai (une vallée magnifique et pas très touristique) et Sapa (LA station de montagne), 6200 m de dénivelé, 17,5 km/h de moyenne et d'excellents souvenirs.

Tiens une dernière anecdote : souvent sur le bas côté de la route, on trouve des godasses de très jeunes enfants, voire des chaussons de bébés. L'esplication est simple, beaucoup de familles se déplacent en motos/mobylettes/vespas, ça veut dire le père, la mère et 2 ou 3 enfants sur le même engin. Rien d'étonnant donc à ce que de temps en temps, une godasse tombe sur la chaussée !

[nicsand]

Alors le Vietnam en vélo, ça donne quoi ?

Première chose, faut intégrer rapidement que les règles de circulation diffèrent légèrement de ce qu'on connait ici.
En fait ya pas de règles, c'est le plus gros qui passe, ce qui place le cycliste en 4ème position, après les camions, les voitures, les milliards de motos/vespas/mobylettes et devant les piétons.
Bon, il n'y a pas de piétons au Vietnam, enfin en rase campagne, si vous voyez quelqu'un marcher, c'est forcément des gamin(e)s de - 12 ans qui vont ou reviennent de l'école.
Bizarrement, je ne me suis jamais senti vraiment en danger, déjà il n'y a aucune agressivité, personne ne va venir sciemment te frôler comme ça peut se passer ici parfois, tout ce beau monde ne roule pas très vite, souvent parce qu'ils ne peuvent pas (cf la vétusté de certains camions, le peu de puissance des petites cylindrées et aussi le fait que le (petit) parc automobile est constitué de voitures récentes ou neuves -beaucoup de SUV-, que ça coute une blinde et que les mecs vont pas jouer les Schumacher au risque de cabosser leur caisse.
Donc , voilà, faut faire gaffe, c'est pas rédhibitoire.
Je dois quand même avouer que le départ du centre de Hanoi et la traversée de son agglomération m'ont quand même bien fait flipper, mais bon une fois sorti de là, ça a été.

En France, quand on veut être tranquille, on prend les routes secondaires. Au Vietnam, faire la même chose peut être piégeux, because la fréquente mauvaise qualité de ces routes qui peuvent se transformer quelquefois en chemins, forcément boueux.
Donc ne pas hésiter à prendre les routes principales, l'équivalent de nos nationales, elles sont la plupart du temps en bon état, bien sûr, il peut y avoir une zone de travaux, ce qui signifie, plus de route du tout sur de 100 à 500 m.
Avec mon fils, nous avons suivi la QL 32 sur plus de 350 km sans trop de problèmes, une fois intégré que les locaux font sécher (par exemple) la paille de riz sur la route, que tu dois en tenir compte (si un camion arrive en face, tu te gares sur le bas côté, voilà...).

Ah oui, la-bas, un coup de klaxon ne signifie pas que tu gênes quelqu'un, simplement, on t'avertit qu'on arrive et que tu dois en tenir compte, c'est tout.
Bon, tout le monde klaxonne tout le temps, spécialement les camions qui émettent un son très particulier et qui durent un paquet de secondes.
A mon retour, en comparaison, à la descente de l'avion à Roissy et puis ensuite à Paris, j'ai trouvé la capitale hyper silencieuse, à tel point que je me suis demandé si je n'étais pas devenu sourdingue...

Dans la cambrousse,chaque foyer possède au moins un clébard, voire 2. Et ces bestioles ne savent pas ce qu'est un vélo, pour elles, un véhicule, ça doit forcément pétarader et faire du boucan, donc, du coup, surprises, ellles se mettent régulièrement à te courser, t'obligeant à accélérer brutalement.

Ce qui est difficile, avec une bécane plus lourde que d'habitude et lestée de 2 sacoches. De plus, au départ, on m'avait prêté un vélo avec comme développement le plus petit 40*25. Sur les 50 premiers kms, pas de problème, c'était plat.
Le problème, c'est qu'on partait vers le Nord Ouest, les montagnes avec 2 cols à 1500 et 2000 m programmés dans le parcours. D'où un arrêt le 2ème jour chez un vélociste local qui m'a dégoté une cassette 12/33, ça a été un peu mieux, mais au bout de 29 kms de montée (le col à 2000 m au dessus de Sapa) avec 40*33, si le cardio ne monte pas, vu que tu tournes les jambes au ralenti, je te garantis que t'as plus beaucoup de jambes.

D'un autre côté, il y a ces paysages très dépaysants qui t'aident à passer le temps et les kms. Et puis, contrairement au 52 où tu dois quasiment te renseigner préalablement pour trouver où manger et/ou boire un coup, là, pas de problème, dès qu'il y a 2/3 maisons, t'es certain de trouver un local où tu peux te ravitailler, notamment en eau (tout le monde boit de l'eau en bouteilles, donc t'en trouves partout), mais pas que...
Ah ces délicieux jus de canne à sucres, ces ananas frais coupés en tranches, ces bananes etc., on a multiplié les arrêts pour récupérer en se régalant. Pour le reste, on a regardé ce que mangeaient les locaux, on montrait du doigt et on payait royalement 30 000 dongs (attention, là, je parle d'endroits perdus au milieu de nulle part, pas d'Hanoi, où tu peux effectivement manger aussi à ce tarif là, mais aussi pour 30 fois plus chers...), soit un peu plus d'1 euro.

Pour le couchage, ça a été plus compliqué, si beaucoup sont répertoriés précisément sur le net, on a quelquefois improvisé avec des bonnes, mais aussi au moins une mauvaise surprise, à savoir une piaule limite insalubre qu'on a quitté assez vite le lendemain matin.

De toute façon, vaut mieux partir tôt, la température la plus fraiche qu'on a relevé en montagne, c'est 23°. Ca a atteint 38 ° en plaine, t'ajoutes l'humidité ambiante et du coup, te lever à l'aube pour pédaler n'est plus un problème.

Bilan 540 kms en 7 étapes (sur 11 jours) entre Hanoi et Lao Cai (la frontière chinoise) en passant par Mu Cang Chai (une vallée magnifique et pas très touristique) et Sapa (LA station de montagne), 6200 m de dénivelé, 17,5 km/h de moyenne et d'excellents souvenirs.

Tiens une dernière anecdote : souvent sur le bas côté de la route, on trouve des godasses de très jeunes enfants, voire des chaussons de bébés. L'esplication est simple, beaucoup de familles se déplacent en motos/mobylettes/vespas, ça veut dire le père, la mère et 2 ou 3 enfants sur le même engin. Rien d'étonnant donc à ce que de temps en temps, une godasse tombe sur la chaussée !

Merci pour ce récit, on avait l'impression d'y être

[DCD]

Alors le Vietnam en vélo, ça donne quoi ?

Première chose, faut intégrer rapidement que les règles de circulation diffèrent légèrement de ce qu'on connait ici.
En fait ya pas de règles, c'est le plus gros qui passe, ce qui place le cycliste en 4ème position, après les camions, les voitures, les milliards de motos/vespas/mobylettes et devant les piétons.
Bon, il n'y a pas de piétons au Vietnam, enfin en rase campagne, si vous voyez quelqu'un marcher, c'est forcément des gamin(e)s de - 12 ans qui vont ou reviennent de l'école.
Bizarrement, je ne me suis jamais senti vraiment en danger, déjà il n'y a aucune agressivité, personne ne va venir sciemment te frôler comme ça peut se passer ici parfois, tout ce beau monde ne roule pas très vite, souvent parce qu'ils ne peuvent pas (cf la vétusté de certains camions, le peu de puissance des petites cylindrées et aussi le fait que le (petit) parc automobile est constitué de voitures récentes ou neuves -beaucoup de SUV-, que ça coute une blinde et que les mecs vont pas jouer les Schumacher au risque de cabosser leur caisse.
Donc , voilà, faut faire gaffe, c'est pas rédhibitoire.
Je dois quand même avouer que le départ du centre de Hanoi et la traversée de son agglomération m'ont quand même bien fait flipper, mais bon une fois sorti de là, ça a été.

En France, quand on veut être tranquille, on prend les routes secondaires. Au Vietnam, faire la même chose peut être piégeux, because la fréquente mauvaise qualité de ces routes qui peuvent se transformer quelquefois en chemins, forcément boueux.
Donc ne pas hésiter à prendre les routes principales, l'équivalent de nos nationales, elles sont la plupart du temps en bon état, bien sûr, il peut y avoir une zone de travaux, ce qui signifie, plus de route du tout sur de 100 à 500 m.
Avec mon fils, nous avons suivi la QL 32 sur plus de 350 km sans trop de problèmes, une fois intégré que les locaux font sécher (par exemple) la paille de riz sur la route, que tu dois en tenir compte (si un camion arrive en face, tu te gares sur le bas côté, voilà...).

Ah oui, la-bas, un coup de klaxon ne signifie pas que tu gênes quelqu'un, simplement, on t'avertit qu'on arrive et que tu dois en tenir compte, c'est tout.
Bon, tout le monde klaxonne tout le temps, spécialement les camions qui émettent un son très particulier et qui durent un paquet de secondes.
A mon retour, en comparaison, à la descente de l'avion à Roissy et puis ensuite à Paris, j'ai trouvé la capitale hyper silencieuse, à tel point que je me suis demandé si je n'étais pas devenu sourdingue...

Dans la cambrousse,chaque foyer possède au moins un clébard, voire 2. Et ces bestioles ne savent pas ce qu'est un vélo, pour elles, un véhicule, ça doit forcément pétarader et faire du boucan, donc, du coup, surprises, ellles se mettent régulièrement à te courser, t'obligeant à accélérer brutalement.

Ce qui est difficile, avec une bécane plus lourde que d'habitude et lestée de 2 sacoches. De plus, au départ, on m'avait prêté un vélo avec comme développement le plus petit 40*25. Sur les 50 premiers kms, pas de problème, c'était plat.
Le problème, c'est qu'on partait vers le Nord Ouest, les montagnes avec 2 cols à 1500 et 2000 m programmés dans le parcours. D'où un arrêt le 2ème jour chez un vélociste local qui m'a dégoté une cassette 12/33, ça a été un peu mieux, mais au bout de 29 kms de montée (le col à 2000 m au dessus de Sapa) avec 40*33, si le cardio ne monte pas, vu que tu tournes les jambes au ralenti, je te garantis que t'as plus beaucoup de jambes.

D'un autre côté, il y a ces paysages très dépaysants qui t'aident à passer le temps et les kms. Et puis, contrairement au 52 où tu dois quasiment te renseigner préalablement pour trouver où manger et/ou boire un coup, là, pas de problème, dès qu'il y a 2/3 maisons, t'es certain de trouver un local où tu peux te ravitailler, notamment en eau (tout le monde boit de l'eau en bouteilles, donc t'en trouves partout), mais pas que...
Ah ces délicieux jus de canne à sucres, ces ananas frais coupés en tranches, ces bananes etc., on a multiplié les arrêts pour récupérer en se régalant. Pour le reste, on a regardé ce que mangeaient les locaux, on montrait du doigt et on payait royalement 30 000 dongs (attention, là, je parle d'endroits perdus au milieu de nulle part, pas d'Hanoi, où tu peux effectivement manger aussi à ce tarif là, mais aussi pour 30 fois plus chers...), soit un peu plus d'1 euro.

Pour le couchage, ça a été plus compliqué, si beaucoup sont répertoriés précisément sur le net, on a quelquefois improvisé avec des bonnes, mais aussi au moins une mauvaise surprise, à savoir une piaule limite insalubre qu'on a quitté assez vite le lendemain matin.

De toute façon, vaut mieux partir tôt, la température la plus fraiche qu'on a relevé en montagne, c'est 23°. Ca a atteint 38 ° en plaine, t'ajoutes l'humidité ambiante et du coup, te lever à l'aube pour pédaler n'est plus un problème.

Bilan 540 kms en 7 étapes (sur 11 jours) entre Hanoi et Lao Cai (la frontière chinoise) en passant par Mu Cang Chai (une vallée magnifique et pas très touristique) et Sapa (LA station de montagne), 6200 m de dénivelé, 17,5 km/h de moyenne et d'excellents souvenirs.

Tiens une dernière anecdote : souvent sur le bas côté de la route, on trouve des godasses de très jeunes enfants, voire des chaussons de bébés. L'esplication est simple, beaucoup de familles se déplacent en motos/mobylettes/vespas, ça veut dire le père, la mère et 2 ou 3 enfants sur le même engin. Rien d'étonnant donc à ce que de temps en temps, une godasse tombe sur la chaussée !

Merci pour ce récit, on avait l'impression d'y être

Manque plus que des photos !

[Palinodie]

Ce jeudi 1er août, rando dans les Vosges avec un départ de St Dié vers 8h 8h30, direction le col de Ste Marie, puis le col des Bagenelles, le Bonhomme ensuite Orbey, la côte des Trois-Epis, le Collet du Linge avec une pause à la ferme-auberge de Glasborn, après la bouffe, on se laisse glisser jusqu'à Soultzeren pour remonter les 12 derniers kms de la Schlucht et on finit à Gerardmer avec le rituel traditionnel (pléonasme ?) d'une petite visite à la Géraumoise.
Un peu moins de 120 km, un peu plus de 2500 m de dénivelé.
A ce propos, j'ai vraiment constaté le peu de fiabilité de Garmin pour cette dernière donnée, un parcours tracé avec Garmin Connect me donne 3300 m de dénivelé.
Effrayé, j'ai été sur Openrunner qui annonce 2700 m et ça me semble plus près de la réalité !
Réponse demain soir...

[Arguendo]

Alors le Vietnam en vélo, ça donne quoi ?
(…)

Merci beaucoup pour ce très très beau récit qui m'a rappelé d'excellents souvenirs.

[Palinodie]

Ce jeudi 1er août, rando dans les Vosges avec un départ de St Dié vers 8h 8h30, direction le col de Ste Marie, puis le col des Bagenelles, le Bonhomme ensuite Orbey, la côte des Trois-Epis, le Collet du Linge avec une pause à la ferme-auberge de Glasborn, après la bouffe, on se laisse glisser jusqu'à Soultzeren pour remonter les 12 derniers kms de la Schlucht et on finit à Gerardmer avec le rituel traditionnel (pléonasme ?) d'une petite visite à la Géraumoise.
Un peu moins de 120 km, un peu plus de 2500 m de dénivelé.
A ce propos, j'ai vraiment constaté le peu de fiabilité de Garmin pour cette dernière donnée, un parcours tracé avec Garmin Connect me donne 3300 m de dénivelé.
Effrayé, j'ai été sur Openrunner qui annonce 2700 m et ça me semble plus près de la réalité !
Réponse demain soir...

Au final, 119 km, 2560 m de dénivelé, 19,5 km/h de moyenne, et un parcours pas si difficile que ça, d'abord parce que la météo était idéale, très peu de vent, une température entre 13 et 26 °, ensuite parce qu'il y a très peu de passages difficiles ou alors relativement courts.

Cerise ou plutôt myrtille sur le gâteau, le repas de la ferme auberge était très au au-dessus de la moyenne, à mon avis, une des rares fermes auberge à utiliser des produits vraiment du terroir ( pour le menu que nous avions choisi, il a fallu le commander la veille), témoin cette tarte aux myrtilles avec des vraies myrtilles probablement cueillies la veille, juste les fruits et la pâte, un peu de sucre, délicieuse...

[champ d'or]

ça faisait un bail que j'avais pas pris la pluie en roulant, ben hier soir j'ai rattrapé le manque comme il faut !
C'était prévu qu'il pleuve ne fin de journée mais le temps s'est maintenu jusque 18h30, assez pour les 60 premiers kilomètres. Un peu de routes mouillées d'une averse passée une heure plus tôt mais rien de méchant. Jusqu'à l’attaque du dernier quart de parcours et un rendez-vous inopiné avec un nuage bien généreux. Résultat : 10km (20 bonnes minutes) sous des trombes de flotte et heureusement 10 derniers km au sec. Pas moyen de s'abriter, j'avais calculé mon coup pour rentrer pile avant la nuit. Chaussures et chaussettes trempées, mousse de cuissard ayant triplé de volume et camelbag en mode serpillère.

Quel noble sport !

La fin de saison se profile. Certainement 3000/3200 km à la fin, comme d'habitude. Une journée à la Planche des Belles Filles (qui m'a fait prendre conscience que j'ai une marge au niveau cardio et qu'une pente à 10% c'est gentil), Le Grand Ballon, le Petit Ballon,... pas trop mal même s'il a manqué le séjour à Samoens avec les cols alpins et la rando des Myrtilles.

2020, retour du BRV dans le coin. Objectif : rehausser le kilométrage (4000 ?) pour mieux encaisser les montées et se faire plaisir sur des parcours un peu plus vallonnées, ma limite étant 1600/1700m de dénivelé +.

[Loloavelo]

ça faisait un bail que j'avais pas pris la pluie en roulant, ben hier soir j'ai rattrapé le manque comme il faut !
C'était prévu qu'il pleuve ne fin de journée mais le temps s'est maintenu jusque 18h30, assez pour les 60 premiers kilomètres. Un peu de routes mouillées d'une averse passée une heure plus tôt mais rien de méchant. Jusqu'à l’attaque du dernier quart de parcours et un rendez-vous inopiné avec un nuage bien généreux. Résultat : 10km (20 bonnes minutes) sous des trombes de flotte et heureusement 10 derniers km au sec. Pas moyen de s'abriter, j'avais calculé mon coup pour rentrer pile avant la nuit. Chaussures et chaussettes trempées, mousse de cuissard ayant triplé de volume et camelbag en mode serpillère.

Quel noble sport !

La fin de saison se profile. Certainement 3000/3200 km à la fin, comme d'habitude. Une journée à la Planche des Belles Filles (qui m'a fait prendre conscience que j'ai une marge au niveau cardio et qu'une pente à 10% c'est gentil), Le Grand Ballon, le Petit Ballon,... pas trop mal même s'il a manqué le séjour à Samoens avec les cols alpins et la rando des Myrtilles.

2020, retour du BRV dans le coin. Objectif : rehausser le kilométrage (4000 ?) pour mieux encaisser les montées et se faire plaisir sur des parcours un peu plus vallonnées, ma limite étant 1600/1700m de dénivelé +.

[Palinodie]

P*tain de chat !

J'étais peinard sur la piste cyclable, à quelques kilomètres de chez moi, je rentrais tranquille après une courte sortie de 2 heures, histoire d'éliminer les excès de la veille, un greffier a surgi du fossé de droite et ne m'a laissé aucune chance en voulant passer entre mes 2 roues, grosse gamelle, coude bien entamé , hématome sur la hanche, des écorchures un peu partout.

Je rassure les amis des bêtes, la bestiole n'a rien, elle a par ailleurs commis un délit de fuite...

Depuis 10 ans, ca fait 2 chutes dus à des chats, 1 sur de l'huile, 1 sur du gasoil, 2 à des traces résiduelles de verglas, 1 sur une rupture de chaîne, pour 2 passages aux urgences et 1 sur le billard pour résorber un hématome.

Ok les chats, l'huile, le gasoil, mais la chaîne, tu pourrais entretenir correctement ton vélo !

Figure toi que c'était un vélo prêté par mon velociste en attendant une pièce qui faisait défaut sur le mien. Et puis c'était une chute mineure qui m'a juste gâché la sortie.

Oui mais le verglas, t'es inconscient ou quoi ?

Ben, il y a eu un passage, pas plus de 10m, à l'ombre , alors qu'il faisait 10° partout ailleurs, donc piégeux sur une route que le département n'avait pas traité et une inversion de température qui s'est produite localement à 15 bornes de chez moi où la température était largement positive .

En général, je suis plutôt du genre prudent, par exemple, je ne sors jamais quand la pluie est présente ou annoncée, jamais par temps de brouillard, bref je limite les risques au maximum, mais bon, c'est vrai que si je restais dans mon canapé, il y aurait peu de chance que je chute...

Ps : bien sûr, je porte un casque, sinon...