De retour du resto (cuisses de grenouilles à volonté, miam ! )Amos a écrit :....
Bref pour moi un vrai groupe, même jugé faible, bien soudé peut s’en sortir et même rivaliser.
je vais poursuivre ce que je n’avais pas eu le temps de terminer sur l’importance du groupe.
En 98 Muller avait fait quelques boulettes dans le coaching (et encore plus par la suite)
mais ce groupe était tellement soudé dans et hors du terrain
(l’élimination en CDF vient d’une gueule de bois presque générale ) qu’il en était presque inébranlable.
Certes il y en avait pas mal qui avaient un certain vécu mais pas un qui voulait péter
plus haut que les autres. Ils n’avaient pas de MP3 (walkman ) constamment sur
la tête et étaient donc plus à l’écoute des uns et des autres.
Aujourd’hui on a l’impression qu’ils entrent sur le terrain comme
pour jouer un film, 90 minutes (et pas une de plus ?) de comédie,
(ou plutôt un drame dans notre cas) et peu importe le résultat
puisque les joueurs ne font plus que passer sans profiter de l'instant présent.
Un groupe c’est aussi très fragile, une arrivée un départ peut tout
changer, plus le groupe est nombreux plus les risques sont nombreux et plus le coach s’y perd.
Allez, tous groupir et ça ira mieux !