Le club doit réagir fort!

[atlantis973]

Je propose de les identifier par un badge sur la poitrine ? Comme ça on pourra clairement idenfitier les milliers de personnes coupable du chaos de Saint symphorien

L'étoile c'est passé de mode, le croissant va bientôt être utilisé...Un ballon de foot ?

On parle de parkage ......pourquoi à ton avis ?
Pourquoi n'y at-il plus d'ultra dans certains stades ?
Pourquoi les objets jetés à chaque match viennent des mêmes endroits ?
Pourquoi les ultras du FC Metz sont interdits dans de nombreux stades ?

Tu peux jouer la vierge effarouchée et faire de l'ironie mais les faits match après match sont là ! Les incidents en dehors du stade ou dans le stades ne sont pas des affabulations !

" Au FC Metz, la gestion des supporters est un enjeu majeur en raison des incidents recensés ces dernières années. D'autant qu'en tribunes, des fractures idéologiques continuent de tendre les relations entre les différents groupes. Ce reportage est l'épisode 4 du feuilleton L'Equipe Stories.

Elle porte un liseré tricolore qu'elle ne veut plus quitter et se dandine sur un siège du stade Saint-Symphorien. Puis elle vous plante son regard malicieux droit dans les yeux, lorsque sa mère fournit l’explication: l’enfant vient d'être élue au conseil municipal de la jeunesse d'une ville de la banlieue messine, et «ne veut plus retirer son écharpe bleu-blanc-rouge, elle dit que c'est l'écharpe de Marine!»

Le cœur du virage ouest bat très largement à droite. Ce soir-là, dans la tribune, il y a aussi quelques anciens du Kop of Metz, un groupe de tradition britannique, dissout au début des années 90, «dans lequel tout le monde était de droite», se remémore Jean-Luc. C’est lui qui fondera en 1995 les GG, les ultras de Génération Grenat, aujourd’hui composés de 600 encartés et au moins le double de sympathisants.

A la différence de Kop of Metz, Génération Grenat se dit apolitique. «Au Kop of Metz, on nous surnommait les blouses blanches et on avait même proposé de s'appeler la “Panzer division”», ajoute un membre qui a connu les deux. Ici, on assure que les choses ont changé: «Tout le monde peut adhérer, on n'a jamais refusé personne pour ses convictions politiques, même les chevelus.»

Les chevelus, ce sont ceux qui optent d’ordinaire pour la Horda Frénétik, la main gauche du supportérisme messin, regroupée autour d’un idéal antiraciste dès sa création, en 1997. Le club lorrain est l’un des rares du pays, depuis la dissolution des virages Auteuil et Boulogne à Paris, où persiste l'antagonisme idéologique et politique de deux tribunes, s’immisçant jusque dans l’architecture du stade.

A Saint-Symphorien, Génération Grenat et la Horda Frénétik se font face: «C'est simple, quand on regarde l'enceinte, leur tribune est à gauche, nous on est à droite», résume Axel, blouson et bonnet noir, et accessoirement premier interdit de stade de l’histoire des GG. Pendant une dizaine d’années, les deux groupes se sont régulièrement affrontés. «Ça s’est calmé car c’est beaucoup plus fliqué, mais à une époque c’était à qui allait taper le plus fort», reconnaît Michaël, le président des GG, à quelques heures d’un match contre l’AS Saint Etienne, classé à risque par les autorités…

Dans le bureau du directeur de la sécurité du club, Jean-François Girard, de la peinture fraîche et des murs nus. Depuis quelques mois, ce dernier redéploye son dispositif de maintien de l’ordre. «Une priorité», après la montée «inattendue» du club en Ligue 1 cet été, l’équipe évoluant encore en National il y a deux ans. Pour les dirigeants, «cela veut dire plus de monde au stade, donc plus de moyens nécessaires».

Le FC Metz, actuellement dernier du Championnat, occupe le top 5 d’un classement nettement moins prisé, celui des clubs ayant connu le plus de faits de violence à la mi-saison, selon la Division nationale de lutte contre le hooliganisme (DNLH), la police du ballon rond, chargée de combattre la violence dans les stades.

Explosion de pétards, craquage de fumigènes, échange de projectiles la saison passée lors du match contre Nancy en septembre 2013… Ces faits ont abouti à plusieurs dizaines d’interdictions de stade. «Dans le tas, il y a des mecs dont le seul tort a été de faire un ‘’fuck’’, on les a accusés d’incitation à la haine pour ça… », dénonce l’un des supporters impliqués lors du derby lorrain, casquette vissée sur la tête, assis dans un bar voisin du stade alors que le match s’apprête à commencer sans lui.

«Dans le passé, on a fait parler car il y avait des éléments un peu durs. Aujourd’hui ce public peut être chaud, mais on n’a plus trop de problèmes si l’on compare aux années précédentes, nuance Philippe Gaillot, directeur général adjoint et ancien joueur du club. Les supporters violents, c'est une frange très réduite d'une vingtaine d'indépendants. Quant à nos ultras, c’est vrai que pour eux c’est très important d’être actifs, de faire du bruit et parfois d’utiliser des fumigènes mais 90% d’entre eux ne sont pas violents.»

Le club explique n’avoir effectué aucune interpellation dans ses travées depuis le début de saison. «On a connu des tensions entre les groupes, poursuit Philippe Gaillot, mais ça remonte à quatre ou cinq ans: la descente en National (2012) a été un élément déclencheur. Après, il y a eu une espèce d’union sacrée et ils ont enterré la hache de guerre.» Depuis quelques mois, les deux anciennes tribunes rivales ont même imaginé un chant qu’elles reprennent en écho les soirs de match à domicile. Inenvisageable il y a peu.

En France, la gestion des foules est devenue un enjeu de premier ordre. Les clubs ont la responsabilité de «l’organisation» et du bon déroulement des matches. «Ce qui veut dire que nous sommes tenus de garantir la sécurité à l’intérieur du stade, précise Jean-François Girard. En revanche, tout ce qui se passe à l’extérieur dépend des pouvoirs publics.» Le FC Metz consacrerait un million d’euros de son budget annuel à son seul dispositif de sécurité, c’est la moyenne pour un club de Ligue 1.

Cette obligation juridique les expose à des sanctions financières, voire sportives, lorsqu’un incident se produit. Il y a trois ans en National, le FC Metz s’était vu retirer un point avec sursis au classement général, après le jet d’un briquet sur un arbitre lors d’une rencontre à domicile face au Red Star. Le week-end dernier, face à Saint-Etienne, de nouveaux jets de projectiles sur la pelouse et sur le gardien stéphanois, Stéphane Ruffier, exposent le FC Metz à de nouvelles sanctions.

Selon Jean-François Girard, le monde des ultras est électrique, parce qu’il a quelque chose de caricatural: «Dans ce milieu, on a soit des amis, soit des ennemis.» Pour apaiser les tensions entre ses supporters, le club a mis sur pied une «association mère», qui doit faciliter le dialogue. Elle réunit une fois par mois les dix associations reconnues par le FC Metz, parmi lesquels trois groupes revendiqués ultras. Cette structure, Cœur Grenat, «c’est une tribune qui permet aussi de manifester son désaccord et de régler les problèmes de parcage, d’animation… des petits trucs qui peuvent parfois prendre de grandes proportions quand il n’y a pas discussion», explique Philippe Gaillot.

Après la rencontre opposant le FC Metz à Saint-Etienne, les leaders de La Horda Frénétik se retrouvent dans un bar proche du stade. Elle est devenue ces dernières années le groupe le plus actif dans les tribunes du club lorrain. Parce qu’il s’inscrit pleinement dans l’héritage de la culture ultra italienne. Parce qu’aussi ses membres sont plus vindicatifs : «Les GG, ils sont devenus plus modérés et collaborent avec le club et la police. Nous, notre priorité c’est d’être indépendants. C’est pour ça qu’on a une position conflictuelle avec le club, car quand le recrutement, le maillot ou la propreté des sanitaires ne vont pas, nous, on le dit.»

Depuis les incidents lors du derby lorrain, une dizaine d’interdictions de stade visent les principaux animateurs de la tribune est: «Certains de nos membres sont convoqués au commissariat toutes les semaines, on a des appels de flics tous les deux jours, Metz est un des clubs qui a reçu le plus d’interdictions de déplacement cette année. On sait qu’on est parmi les clubs les plus surveillés de France. Mais le problème, estime un leader de la Horda, c’est qu’ici 90% des incidents c’est entre Messins. En gros, c’est vrai qu’avant on se mettait sur la tronche toutes les deux semaines... Aujourd’hui, c’est la guerre froide.»
Sujet du 19/03/2016 sur le Fofo et dans l'Equipe

Merci d'avoir remonté cet article, c'est vrai que Metz fonctionne un peu comme le Parc il y'a quelques années par rapport à ses tribunes. Maintenant tout ça va ressortir sans recul, sans voir les efforts qu'a fait le club et sans doute aussi les différents groupes malheureusement

[alex-ff]

On s'en souviendra de cette triste semaine, j'ai bien peur que les conséquences soient dramatiques pour le club.
J'ai bien peur que cet événement soit un mauvais tournant pour le club. Il y aura un avant 3 décembre et un après 3 décembre 2016 pour le FC Metz

[miho57]

On s'en souviendra de cette triste semaine, j'ai bien peur que les conséquences soient dramatiques pour le club.
J'ai bien peur que cet événement soit un mauvais tournant pour le club. Il y aura un avant 3 décembre et un après 3 décembre 2016 pour le FC Metz

On pourra réellement jauger le niveau mental de cette équipe après ça. ça leur fera du bien, une crise, s'ils réussissent à en sortir.
Les capacités de PH seront aussi à voir, car pour un coach, ce genre d'histoires n'est jamais facile à gérer.

[zappia]

La horda réclame depuis longtemps une chanson à MR serin...j espère qu il va leur chanter du Jean Louis Aubert : voilà c est fini.....

Eh oui on risque gros jusqu'à l exclusion du club

[Patsupfcmetz]

De toute manière, quoi qu'on puisse en penser, je suis quasiment certain que pour limiter la casse, le club va annoncer la dissolution de la Horda la semaine prochaine.

[cali57]

Suite aux problemes d'hier soir(l'ensemble de ce qui a pu se passer avant et pendant le match), j espere que le club va prendre des decisisons en urgence , afin de montrer aux instances, aux joueurs et au public grenat en general que le probleme est pris à bras le corps.

Qq idees :

Mise en place d'un grillage derriere les buts (ca va m emmerd** mais si c est le prix à payer pour etre tranquille

Communication claire et precise sur les suites de cette"affaire", arretation des protagonistes, d'où ils venaient , etc....

"encadrement"(jaime pas ce mot) des differents geoupes de supporters afin de les'"isoler" , cela permettra de bien voir qui fait quoi à l'intérieur et à l'exterieur des groupes(car apparement d'apres les'premieres infos, les coupables ne seraient pas encartés piisque venant de kaiserslautern=>a confirmer)

Interdiction de deplacement jusque la fin de la saison

Mise en place d'une charte avec les groupes...

Ce type de positionnement du club pourra permettre , je pense , d'une part de rassurer le reste du public , de minimiser la "fracture"avec les joueurs et peut etre de gagner un peu de clemence de la ligue mais il faut agir tres vite(dailleurs BS l'a compris je pense vu les differentes declarations deja faites)

blablabla heureusement que tu ne fais pas de politique

[atlantis973]

En tout cas, cette semaine à Saint Etienne pour quelques fumigènes pour fêter l'anniversaire d'un groupe, ils ont pris 2 matchs de fermeture d'une tribune alors inutile de dire à ceux d'entre nous qui espèrent encore s'en sortir avec 1 ou 2 matchs de huis clos que bon......

[ztem]

J'ai omis un point important : revoir la securite du stade car le service est deplorable....

Tu veux quoi des contrôles genre comme à l'aéroport, des prélèvements ADN des supporters ?

[cali57]

ztem, tu etais au match hier ?

[El rey]

De toute manière, quoi qu'on puisse en penser, je suis quasiment certain que pour limiter la casse, le club va annoncer la dissolution de la Horda la semaine prochaine.

Si ya dissolution c est pour les trois pas seulement un