[Fil Rouge] Hockey Club de Metz

[Vicomte de Barman]

Immense effort des graoullys qui arrachent leur première victoire ce soir en battant 6-5 La Roche sur Yon, après avoir été menés 1-4 au bout de 8 minutes de jeu !

[Maverick]

Alors je salue les bénévoles, je leur souhaite de faire briller le nom de Metz dans leur sport (sport que j'apprécie par ailleurs) mais bon, je crains que beaucoup de choses et de sports passent avant la rénovation d'une patinoire qui par ailleurs, suffit aux patineurs du dimanche, les principaux utilisateurs des lieux.

Etant moi même patineur du dimanche j'y suis allé l'hiver dernier avec mon fils de 5 ans et ca ne donne pas envie d'y retourner.
C'est vieux, sombre, moche...
...cher pour ce qu'il y a à y faire.

Je préfère attendre la patinoire sur l'esplanade pendant le marché de Noël ou aller à Amneville.

[Toni Truand]

Immense effort des graoullys qui arrachent leur première victoire ce soir en battant 6-5 La Roche sur Yon, après avoir été menés 1-4 au bout de 8 minutes de jeu !

[fcm76]

Y a t il une forte rivalité avec Amneville ?
Car ils viennent demain à Rouen contre la D2 pour savoir s'il faut les chambrer gentillement ou fortement

[Vicomte de Barman]

Il y a une rivalité certaine, bien que les deux clubs sont liés par un passé commun, mais c'est plus du coté des dirigeants que sur la glace.

De toute façon pour chambrer leurs joueurs, il faudrait déjà savoir parler le slovaque.

[Vicomte de Barman]

Défaite 3-9 contre Evry, assez décevant après la performance de la semaine dernière.

Il faut une victoire à Meudon pour rester dans la course au maintien.

[Vicomte de Barman]

HOCKEY SUR GLACE | METZ

Sans patinoire fixe

Pourquoi le Hockey Club de Metz, qui évolue en Division 2, est-il obligé de faire jusqu’à 150 kilomètres pour jouer à... domicile ? Parce que sa patinoire n’est pas aux normes. Explications.


A Metz, les équipements datant de 1968 ne répondent plus aux normes imposées par la Fédération française. Photo Pascal BROCARD

SPF. Sans patinoire fixe. Le Hockey Club de Metz, qui depuis février 2009 squatte la glace de ses voisins pour non-conformité de la sienne, se désespère. « Voilà trois ans que l’on nous promet que les choses vont bouger et rien ne se passe. Comment voulez-vous que l’on persuade des joueurs de venir chez nous dans ces conditions ? », lâche Aïssa Rahmoun, le président du HC Metz.

GRAND ANGLE

Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières ou bien Luxembourg pour jouer les matches à domicile… Certes, les Messins voient du pays mais tout de même… Les trajets sont longs, coûteux et le public ne suit pas. Une situation qui pèse et influe en partie sur les mauvais résultats de l’équipe, qui s’enfonce inexorablement dans les profondeurs du classement (avant-dernier de la poule).

« Dans le collimateur de la Fédération française de hockey sur glace », Metz est pourtant parvenu à obtenir deux dérogations aux forceps. Une première interdiction de jouer avait, en effet, été prononcée par la Fédé dès 2009. Décision aussitôt contestée par le HC Metz nouvellement créé qui avait fait appel. Un jugement rendu par le tribunal administratif de Strasbourg plus tard et le club messin a pu revenir à la compétition (avec un mois de retard sur le calendrier). Une deuxième dérogation avait ensuite été délivrée à titre exceptionnel jusqu’en février 2011.

140 000 € de travaux et trois ans d’attente

En cause, la vétusté des équipements, datant de 1968, qui ne répondent plus aux normes imposées par la Fédération française de hockey sur glace. De l’éclairage au périmètre de sécurité qui doit être rehaussé de 20 centimètres et surmonté de parois en plexiglas, en passant par les vestiaires qui n’ont de vestiaires que le nom, l’ardoise se monterait à 140 000 € selon les estimations. « Ce n’est pourtant pas une fortune pour un établissement comme la patinoire », remarque le président du HC Metz. Encore faut-il pouvoir ou vouloir financer ces travaux. Et c’est justement là que le bât blesse, car la patinoire de Metz, si elle est reconnue d’utilité publique, n’appartient pas à la Ville mais à un privé qui n’entend pas les choses de la même oreille. « C’est 140 000 € rien que pour le hockey sur glace ! », s’indigne Muriel Arnold, la propriétaire de l’établissement de loisirs. Et d’expliquer : « Il y a trois ans, lorsque l’équipe de hockey sur glace a été recréée à Metz, nous étions en pleine négociation avec un repreneur et devions passer la main rapidement. Le projet de reprise initié par les frères Cantona (Joël et Eric) est depuis en stand-by. Nous sommes toujours en négociation. »
Autrement dit, l’homologation sera l’affaire du repreneur qui devra, de surcroît, changer le tapis glacier qui utilise le fréon, un gaz à effet de serre.

Un sujet qui fâche jusqu’à la Mairie, qui colmate tant bien que mal les brèches, en plaquant quelques rustines financières ici et là pour couvrir notamment les déplacements de l’équipe occasionnés par cette délocalisation forcée. « Nous ne faisons que soutenir un club qui évolue dans une enceinte privée. Si les équipements nous appartenaient, ils seraient déjà homologués depuis longtemps », s’irrite l’adjoint aux sports, Belkhir Belhaddad.

Un soutien qui s’accompagne tout de même d’un contrat d’objectif. « Nous jouons le maintien en Division 2 », affirme l’attaquant Yannick Hamri. Ce qui nécessite de la part de l’équipe (en sous-effectif) de faire contre mauvaise fortune bon cœur et de passer outre ces difficultés pour ne se concentrer que sur les résultats. Ou sinon ce sera la double peine, avec une relégation en prime.

Catherine PILET.

[Vicomte de Barman]

Les renforts arrivent

Difficile début de saison pour le HC Metz, jeune promu en Division 2 qui, depuis l’entame du championnat, encaisse défaites sur défaites souvent assorties de scores fleuves : 12-6 face à Meudon, samedi dernier, 11-2 face aux Français Volants ou encore 9-3 face à Evry.

Seule consolation, la victoire sur La Roche-sur-Yon (6-5), le 12 novembre, et un derby, le 22 octobre, contre le frère ennemi Amnéville qui s’est soldé par un revers "honorable" (3-5) sur la glace amnévilloise. Car une fois n’est pas coutume, les Messins ont presque joué à domicile, ce qui leur a valu d’avoir leur public en soutien. Ce qui leur a valu également de perdre un de leurs meilleurs éléments, l’attaquant Iouri Essipov, blessé dans les cinq premières minutes de jeu. La ligne offensive toujours privée du Russe et de Yann Vannienwenhove, lui aussi indisponible, n’arrange pas les affaires messines. L’équipe, qui fonctionne en flux tendu en raison d’un banc clairsemé, cumule les pénalités sur temps de jeu (299 minutes de prison depuis le début du championnat). Heureusement, la prochaine et dernière rencontre de cette première phase (le 3 décembre), face à Chambéry, la lanterne rouge de la poule, ainsi que le premier match de la phase retour, contre Champigny-sur-Marne (le 10 décembre), devraient permettre à Metz de grappiller quelques points salvateurs. « Si on ne parvient pas à battre ces deux équipes, c’est qu’on n’a rien à faire en D2 », estime Yannick Hamri, joueur et membre fondateur du club.

Par chance, les renforts arrivent avec la venue des attaquants Edouard Bullitis (frère de Janis) et Hakim Boukhlioua, et le retour du défenseur Matvey Zimkov, qui faisait partie de l’effectif messin la saison dernière. Un deuxième gardien est également annoncé, un Canadien. Ce qui porterait l’effectif à seize joueurs et deux gardiens.

Ca. P.

[granatrotes_herz]

Faut vraiment que la rénovation de la patinoire se fasse bon sang... Je sais pas comment le club fera financièrement sinon (manque à gagner en matière de billetterie j'imagine).

[get_up_kids]

Pas moyen de trouver le résultat de Metz-Chambéry d'hier.