Une chose est sûre: c'est que j'espère de tout coeur que la situation va s'éclaircir et se régler dans le bon sens pour Strasbourg au plus vite, car s'il y a bien une chose que je ne souhaite pas: ce serait la rétrogradation sportive du club, qui marquerait sans doute la fin du professionnalisme au RCS!
En tout cas, soutien aux supporters du RCS qui doivent passer de bien sombres heures, aussi bien sur qu'en dehors du terrain!
[Fil rouge]Racing Club de Strasbourg
- get_up_kids
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg
Ginestest râle maintenant après le nouveau président de Strasbourg
Mais quel Merdeux ce Ginetest
Il détruit le racing à lui tout seul
Mais quel Merdeux ce Ginetest
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg
Je pensais pas que ca irait jusque la. Maintenant qu'ils n'ont pas eu JPP, ils demandent à Pascal Janin de revenir sur le banc.
Il a dit oui tout de suite ( si si c sérieux ) Si ca c pas se foutre de la gueule des gens.
Enfin nos pauvres ub, KCB.... On vous soutiens quand meme !!! Bon courage.
Il a dit oui tout de suite ( si si c sérieux ) Si ca c pas se foutre de la gueule des gens.
Enfin nos pauvres ub, KCB.... On vous soutiens quand meme !!! Bon courage.
- IroOn
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg
C'est bizarre comme sentiment, je suis content à la base que Strasbourg soit dans la m**** mais là ça devient trop ...
Je leur souhaite vraiment de sortir de cette galère car:
_ Strasbourg est un club important dans le paysage footbalistique français, avec une vraie histoire.
_ c'est triste pour leurs supporters qui sont comme vous et moi et qui doivent être bien déprimés par cette situation. Le plus triste là-dedans c'est que le club se détruit de l'intérieur ...
Je leur souhaite vraiment de sortir de cette galère car:
_ Strasbourg est un club important dans le paysage footbalistique français, avec une vraie histoire.
_ c'est triste pour leurs supporters qui sont comme vous et moi et qui doivent être bien déprimés par cette situation. Le plus triste là-dedans c'est que le club se détruit de l'intérieur ...
- Lautern59
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg
Triste pour les supporters, peut-être mais il n'y a pas de club important dans le paysage du foot français. Il n'y a que le présent qui compte et malheureusement pour Strasbourg, le présent actuel n'est pas glorieux.IroOn a écrit :C'est bizarre comme sentiment, je suis content à la base que Strasbourg soit dans la m***e mais là ça devient trop ...
Je leur souhaite vraiment de sortir de cette galère car:
_ Strasbourg est un club important dans le paysage footbalistique français, avec une vraie histoire.
_ c'est triste pour leurs supporters qui sont comme vous et moi et qui doivent être bien déprimés par cette situation. Le plus triste là-dedans c'est que le club se détruit de l'intérieur ...
S'ils prennent les bonnes décisions, ils s'en sortiront; sinon un autre club prendra leur place.
- DCD
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg
D'accord avec Lautern59 ! Vivre uniquement sur son passé est un gage d'echec futur.
DNA du 17/12/2009 : Des questions à trois millions
Le Racing a décidément l'art de se plonger tout seul, ou presque dans la crise. Hier, le club alsacien a encore prouvé ses difficultés actuelles à communiquer correctement. Surtout lorsqu'il est question d'argent et que toutes les incertitudes ne sont pas levées.

Le président Julien Fournier espère que la situation du Racing s'éclaire avant le 6 janvier, date fixée par la DNCG pour réétudier les garanties financières d'Alain Fontenla, le nouvel actionnaire majoritaire. (Photo DNA - Laurent Réa)
Mardi soir, à l'issue de l'audition du Racing auprès de la DNCG (Direction nationale de contrôle et de gestion), personne n'avait souhaité s'exprimer. Un silence qui a vite donné naissance aux rumeurs les plus folles sur les raisons ayant poussé cet organisme à reporter au 6 janvier ses conclusions.
Seul un communiqué, laconique, avait été mis en ligne sur le site officiel du club en toute fin de soirée (lire DNA d'hier). Ce sont ces quelques lignes qui ont mis le feu aux poudres.
«Très mal rédigé»
Ce communiqué, retiré du site officiel hier matin, mettait en cause l'ancienne direction du RCS, et notamment la paire Herzog/Ginestet, soupçonnée de « négligences ».
« La façon dont le communiqué est tourné est lamentable. Il a été très mal rédigé et ce n'est pas un hasard s'il a été retiré », a lancé hier Jean-Luc Herzog, qui était aux côtés du nouvel actionnaire majoritaire, Alain Fontenla, mardi à Paris.
« La DNCG n'a rien à redire sur nos comptes, qui sont propres et identiques à ceux que nous avions déjà présentés et avaient été acceptés, début décembre, auprès de la même instance.
La seule différence, c'est que désormais le garant du club est M. Fontenla et non plus M. Ginestet. M. Fontenla a affirmé qu'il avait les fonds nécessaires pour payer les 3 millions d'euros demandés, mais sans avoir de preuves écrites. Il a donné sa parole, mais ça ne suffit pas : la DNCG veut des garanties », expose Herzog.
Philippe Ginestet ne dit pas autre chose et s'est lui aussi fendu d'un communiqué, dans lequel il dénonce « les déclarations de M. Fontenla tendant à présenter négativement la situation du club alors qu'elle est parfaitement saine » et qu'un « audit complet des comptes » avait été réalisé par le nouvel actionnaire majoritaire.
« Naturel qu'il doive
apporter des garanties
écrites »
Julien Fournier, le président du club a pour sa part tenté d'éteindre l'incendie, évoquant de son côté un simple « couac » lié à une mauvaise tournure de phrase dans le communiqué officiel. Sur le fond, Julien Fournier, présent lui aussi mardi à Paris, se montre même en accord avec les anciens dirigeants.
« Comme c'est le premier passage de M. Fontenla à la DNCG, il est naturel qu'il doive apporter des garanties écrites », souligne le nouveau patron du Racing. Avant d'ajouter, pour lever toute ambiguïté. « J'ai dit en arrivant ici que le club était sain financièrement et je me verrais mal attaquer aujourd'hui l'ancienne direction », précise Fournier.
Quant aux 3 millions d'euros évoqués par toutes les forces en présence, là aussi tout le monde semble s'accorder : Alain Fontenla était au courant de la situation.
« Il savait pertinemment qu'il devait verser cette somme sur le compte courant du Racing », énonce Fournier. Celui-ci précise que ce sera chose faite rapidement et espère même que « la situation s'éclaircira avant le 6 janvier ». « Les assurances peuvent être données avant », poursuit même le président, sans toutefois s'avancer à donner une date précise quant au versement effectif de cet argent.
Seul souci, et de taille, sans ces « assurances », pas de JPP à la Meinau. Car Jean-Pierre Papin, dont la venue semblait quasiment acquise en fin de semaine passée, s'éloigne de plus en plus de l'Alsace à mesure que les « contretemps » (dixit Fournier) s'amoncellent au-dessus du club.
« Si le brouillard ne
se dissipe pas, je
ne viendrai pas »
« Pour moi la situation n'a pas changé. Je suis toujours en phase avec Fournier, mais j'ai lu les journaux et je ne comprends pas ce qui se passe autour du Racing. J'ai l'impression que l'on fait tout pour couler le club », a indiqué hier matin le Ballon d'Or 1991.
Lui qui a suspendu sa venue aux conclusions de la DNCG - et à une autorisation ou non de recrutement - ne serait donc pas de retour sur le banc strasbourgeois avant le 6 janvier.
« Je n'ai pas changé de discours, je veux des garanties et je n'ai pas changé ma ligne conductrice. Si le brouillard ne se dissipe pas, je ne viendrai pas », a encore ajouté JPP.
Julien Fournier, lui, se veut plus optimiste. Et sous-entend qu'un accord pourrait être trouvé avec Papin avant cette date, une fois l'argent versé. « On est toujours en contact », conclue le président, qui se refuse à évoquer toute autre piste.
Barbara Schuster

Le président Julien Fournier espère que la situation du Racing s'éclaire avant le 6 janvier, date fixée par la DNCG pour réétudier les garanties financières d'Alain Fontenla, le nouvel actionnaire majoritaire. (Photo DNA - Laurent Réa)
Mardi soir, à l'issue de l'audition du Racing auprès de la DNCG (Direction nationale de contrôle et de gestion), personne n'avait souhaité s'exprimer. Un silence qui a vite donné naissance aux rumeurs les plus folles sur les raisons ayant poussé cet organisme à reporter au 6 janvier ses conclusions.
Seul un communiqué, laconique, avait été mis en ligne sur le site officiel du club en toute fin de soirée (lire DNA d'hier). Ce sont ces quelques lignes qui ont mis le feu aux poudres.
«Très mal rédigé»
Ce communiqué, retiré du site officiel hier matin, mettait en cause l'ancienne direction du RCS, et notamment la paire Herzog/Ginestet, soupçonnée de « négligences ».
« La façon dont le communiqué est tourné est lamentable. Il a été très mal rédigé et ce n'est pas un hasard s'il a été retiré », a lancé hier Jean-Luc Herzog, qui était aux côtés du nouvel actionnaire majoritaire, Alain Fontenla, mardi à Paris.
« La DNCG n'a rien à redire sur nos comptes, qui sont propres et identiques à ceux que nous avions déjà présentés et avaient été acceptés, début décembre, auprès de la même instance.
La seule différence, c'est que désormais le garant du club est M. Fontenla et non plus M. Ginestet. M. Fontenla a affirmé qu'il avait les fonds nécessaires pour payer les 3 millions d'euros demandés, mais sans avoir de preuves écrites. Il a donné sa parole, mais ça ne suffit pas : la DNCG veut des garanties », expose Herzog.
Philippe Ginestet ne dit pas autre chose et s'est lui aussi fendu d'un communiqué, dans lequel il dénonce « les déclarations de M. Fontenla tendant à présenter négativement la situation du club alors qu'elle est parfaitement saine » et qu'un « audit complet des comptes » avait été réalisé par le nouvel actionnaire majoritaire.
« Naturel qu'il doive
apporter des garanties
écrites »
Julien Fournier, le président du club a pour sa part tenté d'éteindre l'incendie, évoquant de son côté un simple « couac » lié à une mauvaise tournure de phrase dans le communiqué officiel. Sur le fond, Julien Fournier, présent lui aussi mardi à Paris, se montre même en accord avec les anciens dirigeants.
« Comme c'est le premier passage de M. Fontenla à la DNCG, il est naturel qu'il doive apporter des garanties écrites », souligne le nouveau patron du Racing. Avant d'ajouter, pour lever toute ambiguïté. « J'ai dit en arrivant ici que le club était sain financièrement et je me verrais mal attaquer aujourd'hui l'ancienne direction », précise Fournier.
Quant aux 3 millions d'euros évoqués par toutes les forces en présence, là aussi tout le monde semble s'accorder : Alain Fontenla était au courant de la situation.
« Il savait pertinemment qu'il devait verser cette somme sur le compte courant du Racing », énonce Fournier. Celui-ci précise que ce sera chose faite rapidement et espère même que « la situation s'éclaircira avant le 6 janvier ». « Les assurances peuvent être données avant », poursuit même le président, sans toutefois s'avancer à donner une date précise quant au versement effectif de cet argent.
Seul souci, et de taille, sans ces « assurances », pas de JPP à la Meinau. Car Jean-Pierre Papin, dont la venue semblait quasiment acquise en fin de semaine passée, s'éloigne de plus en plus de l'Alsace à mesure que les « contretemps » (dixit Fournier) s'amoncellent au-dessus du club.
« Si le brouillard ne
se dissipe pas, je
ne viendrai pas »
« Pour moi la situation n'a pas changé. Je suis toujours en phase avec Fournier, mais j'ai lu les journaux et je ne comprends pas ce qui se passe autour du Racing. J'ai l'impression que l'on fait tout pour couler le club », a indiqué hier matin le Ballon d'Or 1991.
Lui qui a suspendu sa venue aux conclusions de la DNCG - et à une autorisation ou non de recrutement - ne serait donc pas de retour sur le banc strasbourgeois avant le 6 janvier.
« Je n'ai pas changé de discours, je veux des garanties et je n'ai pas changé ma ligne conductrice. Si le brouillard ne se dissipe pas, je ne viendrai pas », a encore ajouté JPP.
Julien Fournier, lui, se veut plus optimiste. Et sous-entend qu'un accord pourrait être trouvé avec Papin avant cette date, une fois l'argent versé. « On est toujours en contact », conclue le président, qui se refuse à évoquer toute autre piste.
Barbara Schuster
Pascal Janin toujours là !
Pas de surprise hier après-midi, sur les terrains d'entraînement de la Meinau. Dans un froid glacial, c'est bel et bien Pascal Janin qui a dirigé la seule séance au programme. Et qui va, sauf énième rebondissement, diriger l'équipe strasbourgeoise jusqu'à la trêve.

Pascal Janin - ici lors du match face à Thionville - prolonge son séjour sur le banc alsacien. Il coachera son équipe pour la venue de Guingamp, puis pour le déplacement au Havre. (Photo DNA - Laurent Réa)
« Ce n'était pas prévu que ce soit moi qui dirige l'équipe aujourd'hui (ndlr hier), mais les choses sont ainsi faites... », lance Pascal Janin, un brin fataliste, à l'issue de la séance d'entraînement d'hier.
Depuis une semaine, son départ est entériné. Mais Janin, qui a fait ses adieux à ses joueurs, dimanche, après la victoire en Coupe de France face à Thionville (3-0), est toujours là.
Ce n'est pas simple
Sur le pré, le coach - licencié, puis rappelé -, a assuré l'essentiel. « C'est difficile de rendre le groupe attentif, mais les joueurs ont joué le jeu, même si depuis cinq jours, ils pensaient qu'un autre serait là », explique l'entraîneur, qui a été confirmé à son poste à midi... pour la séance de 16h.
« Ce n'est pas simple, ni pour moi, ni pour les joueurs, mais j'essaie de penser au RCS avant tout. Julien Fournier m'a demandé de continuer. J'ai accepté jusqu'à la trêve, je ne voulais pas quitter le navire dans la difficulté », expose l'entraîneur moustachu.
Et ne pas quitter le navire, même s'il tangue fortement, signifie avant tout que Pascal Janin se concentre sur la venue de Guingamp (12e), qui déboule à la Meinau demain soir dans le cadre de la 18e journée de L 2.
Un match que beaucoup ont eu tendance à oublier cette semaine, mais qui revêt tout de même son importance dans l'optique du maintien en Ligue 2.
Surtout que trouver un onze efficace n'est pas une mince affaire pour Janin, compte tenu des absences conjuguées de Bellaïd et Fauvergue (suspendus), auxquelles s'ajoute la grosse incertitude pesant sur Emil Gargorov, touché au talon.
Autre souci et pas des moindres : réussir à préparer mentalement des joueurs qui ne savent pas de quoi sera fait leur proche avenir. « Il faut se focaliser sur le terrain. Les joueurs doivent avant tout se concentrer pour faire un bon match vendredi », souligne l'entraîneur.
Des propos qui font écho à ceux prononcés par Habib Bellaïd, le bonnet vissé sur la tête. « On n'est pas plus avancé que vous, lance le défenseur central aux nombreux journalistes présents, on parle des soucis du club entre nous, parce que c'est aussi notre avenir, mais ce n'est pas non plus le sujet principal dans le vestiaire.
Nous, les joueurs, on parle surtout de nos problèmes sur le terrain. Après, on a subi une accumulation de choses et j'espère que ça sera fini en janvier, qu'on puisse repartir sur de bonnes bases ».
« Au jour le jour »
En attendant une trêve bienvenue, Pascal Janin navigue à vue au milieu d'une situation « invraisemblable » (dixit Bellaïd). « Je vais déjà négocier Guingamp et après on verra. Je vis au jour le jour et je ne fais pas de plans, même à moyen terme », raconte le coach.
Malgré la courtoisie et la correction qui le caractérisent, Janin commence à se lasser de ces incessants revirements. « Je ne peux pas dire que j'accepte volontiers cette situation, raconte-t-il, si je suis si mauvais au point qu'on me change, pourquoi personne, ou presque, ne veut s'occuper de cet effectif ? Pourquoi personne ne veut prendre cet effectif en l'état ? »
« Et puis, je trouve cela injuste qu'on accorde à quelqu'un d'autre ce que j'ai demandé », précise l'entraîneur Ciel et Blanc en évoquant les renforts.
Depuis le match à Metz, le coach avait en effet officiellement émis le souhait qu'un joueur offensif vienne compléter l'effectif. Ce « joker » n'est jamais venu. Julien Fournier a par contre accepté que Jean-Pierre Papin fasse de ces renforts un préalable à sa venue... Forcément, la pilule passe mal.
Mais même si ce point blesse Pascal Janin, il n'en fait pas non plus un motif de départ précipité. « Les conditions ne sont pas faciles, mais partir, ça aurait été renier mes valeurs. Cela aurait été la solution de facilité », poursuit encore l'entraîneur, qui aime toujours son métier « malgré ces circonstances particulières ».
A tout prendre, Pascal Janin fait même encore preuve d'un certain humour. « C'est une situation assez rare quand même non ? Et il faut que ça tombe sur moi... », tranche avec le sourire celui dont Julien Fournier a souligné hier, avec raison, « l'immense professionnalisme ».
Un professionnalisme dont certains, au sein du club, devraient peut être s'inspirer en ces temps troublés...
Ba. Sch.

Pascal Janin - ici lors du match face à Thionville - prolonge son séjour sur le banc alsacien. Il coachera son équipe pour la venue de Guingamp, puis pour le déplacement au Havre. (Photo DNA - Laurent Réa)
« Ce n'était pas prévu que ce soit moi qui dirige l'équipe aujourd'hui (ndlr hier), mais les choses sont ainsi faites... », lance Pascal Janin, un brin fataliste, à l'issue de la séance d'entraînement d'hier.
Depuis une semaine, son départ est entériné. Mais Janin, qui a fait ses adieux à ses joueurs, dimanche, après la victoire en Coupe de France face à Thionville (3-0), est toujours là.
Ce n'est pas simple
Sur le pré, le coach - licencié, puis rappelé -, a assuré l'essentiel. « C'est difficile de rendre le groupe attentif, mais les joueurs ont joué le jeu, même si depuis cinq jours, ils pensaient qu'un autre serait là », explique l'entraîneur, qui a été confirmé à son poste à midi... pour la séance de 16h.
« Ce n'est pas simple, ni pour moi, ni pour les joueurs, mais j'essaie de penser au RCS avant tout. Julien Fournier m'a demandé de continuer. J'ai accepté jusqu'à la trêve, je ne voulais pas quitter le navire dans la difficulté », expose l'entraîneur moustachu.
Et ne pas quitter le navire, même s'il tangue fortement, signifie avant tout que Pascal Janin se concentre sur la venue de Guingamp (12e), qui déboule à la Meinau demain soir dans le cadre de la 18e journée de L 2.
Un match que beaucoup ont eu tendance à oublier cette semaine, mais qui revêt tout de même son importance dans l'optique du maintien en Ligue 2.
Surtout que trouver un onze efficace n'est pas une mince affaire pour Janin, compte tenu des absences conjuguées de Bellaïd et Fauvergue (suspendus), auxquelles s'ajoute la grosse incertitude pesant sur Emil Gargorov, touché au talon.
Autre souci et pas des moindres : réussir à préparer mentalement des joueurs qui ne savent pas de quoi sera fait leur proche avenir. « Il faut se focaliser sur le terrain. Les joueurs doivent avant tout se concentrer pour faire un bon match vendredi », souligne l'entraîneur.
Des propos qui font écho à ceux prononcés par Habib Bellaïd, le bonnet vissé sur la tête. « On n'est pas plus avancé que vous, lance le défenseur central aux nombreux journalistes présents, on parle des soucis du club entre nous, parce que c'est aussi notre avenir, mais ce n'est pas non plus le sujet principal dans le vestiaire.
Nous, les joueurs, on parle surtout de nos problèmes sur le terrain. Après, on a subi une accumulation de choses et j'espère que ça sera fini en janvier, qu'on puisse repartir sur de bonnes bases ».
« Au jour le jour »
En attendant une trêve bienvenue, Pascal Janin navigue à vue au milieu d'une situation « invraisemblable » (dixit Bellaïd). « Je vais déjà négocier Guingamp et après on verra. Je vis au jour le jour et je ne fais pas de plans, même à moyen terme », raconte le coach.
Malgré la courtoisie et la correction qui le caractérisent, Janin commence à se lasser de ces incessants revirements. « Je ne peux pas dire que j'accepte volontiers cette situation, raconte-t-il, si je suis si mauvais au point qu'on me change, pourquoi personne, ou presque, ne veut s'occuper de cet effectif ? Pourquoi personne ne veut prendre cet effectif en l'état ? »
« Et puis, je trouve cela injuste qu'on accorde à quelqu'un d'autre ce que j'ai demandé », précise l'entraîneur Ciel et Blanc en évoquant les renforts.
Depuis le match à Metz, le coach avait en effet officiellement émis le souhait qu'un joueur offensif vienne compléter l'effectif. Ce « joker » n'est jamais venu. Julien Fournier a par contre accepté que Jean-Pierre Papin fasse de ces renforts un préalable à sa venue... Forcément, la pilule passe mal.
Mais même si ce point blesse Pascal Janin, il n'en fait pas non plus un motif de départ précipité. « Les conditions ne sont pas faciles, mais partir, ça aurait été renier mes valeurs. Cela aurait été la solution de facilité », poursuit encore l'entraîneur, qui aime toujours son métier « malgré ces circonstances particulières ».
A tout prendre, Pascal Janin fait même encore preuve d'un certain humour. « C'est une situation assez rare quand même non ? Et il faut que ça tombe sur moi... », tranche avec le sourire celui dont Julien Fournier a souligné hier, avec raison, « l'immense professionnalisme ».
Un professionnalisme dont certains, au sein du club, devraient peut être s'inspirer en ces temps troublés...
Ba. Sch.
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg
Fontenla se casse !!! Voir football365.
En tout cas demain a la Meinau ca va etre chaud.
Tous en gilet jaune.
En direct sur eursport a partir de 20h15.
En tout cas demain a la Meinau ca va etre chaud.
Tous en gilet jaune.
En direct sur eursport a partir de 20h15.

- Bosoleclown
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg
Ouaip
D'après Sports.fr
D'après Sports.fr
En tout cas +1 avec GUK et IrOon : soutien aux supporters strasbourgeois, qui aiment leur club et qui malheureusement ne peuvent que subir les événements. Je le répète si on n'avait pas eu un Carlo Molinari soucieux de préserver le club, on pourrait très bien être à leur place...Le RC Strasbourg est à nouveau à vendre!
Le RC Strasbourg est à nouveau à vendre!Décidément, c'est le flou total à la tête du RC Strasbourg. Un temps annoncé comme acquis par un businessman estonien, le club alsacien avait été finalement repris, la semaine dernière, par Alain Fontenla, un homme d'affaires français, qui a installé Julien Fournier à la présidence en attendant Jean-Pierre Papin en tant qu'entraîneur. Seulement le nouvel actionnaire majoritaire du RCS a décidé de se retirer, jeudi. Alain Fontenla, qui regrette l'accueil des supporters, de la presse et des actionnaires minoritaires, a envoyé un communiqué à L'Alsace pour expliquer que les parts du club étaient de nouveau à vendre.
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