[Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

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olis57
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar olis57 » 12 mars 2010, 21:22

gauloiskiki a écrit :
Strasbourg qui est en ce moment mené à Vannes 1-0.
Et se retrouve pour le moment à 3 pts du premier relégable

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Toni Truand
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Toni Truand » 13 mars 2010, 00:00

gauloiskiki a écrit :Plessis, l'ancien président de Sochaux qui devient président de Strasbourg.

Strasbourg qui est en ce moment mené à Vannes 1-0.
Quel c*on c'était celui-là! :marteau:

Séb

DNA du 19/03/2010 : Chasser les nuages

Messagepar Séb » 19 mars 2010, 08:14

Le Racing reçoit un sacré invité pour se relancer. Avec le Stade brestois, la bande à Janin accueille le meilleur voyageur de la L 2, tout près de s'assurer un retour parmi l'élite. Même en difficulté, notamment en attaque, elle n'en est pas moins dans l'obligation de réussir une tâche compliquée.

Image
Le Racing ne marque pas assez. Basile De Carvalho est prié de débloquer son compteur pour lui permettre de se rapprocher d'une forme de sérénité. (Photo DNA - Laurent Réa)

Le Stade brestois en L 1, c'est l'occasion de faire refleurir des images vintage et de se rappeler quelques évidences. Les margoulins ou les Pieds Nickelés, dans le foot, ça ne date pas d'hier, ni même du 4 décembre dernier.

« Il faudrait une grosse
catastrophe pour que Brest
ne monte pas »


A la fin des années 80 et au début des années 90, le président du club finistérien, François Yvinec, avait été le héros d'une sacrée aventure. Il avait réuni un effectif rutilant du côté de Francis Le-Blé. C'est une époque où un outsider du championnat de France pouvait compter dans son effectif un champion du monde, le défenseur argentin José Luis Brown, ou l'une des super-stars du foot mondial, Julio César.
Dans la veine d'un Claude Bez à Bordeaux ou de Bernard Tapie à Marseille, le dirigeant de l'époque s'était engagé dans une fuite en avant budgétaire qui allait mal finir. Mais avant, le n°1 du Stade avait récupéré, au fin fond du Paraguay, Roberto Cabanas, un attaquant d'une trempe incontestable.
Quand on se souvient que Ginola, Le Guen, Guérin, Lama, Martins, soit autant d'internationaux en devenir, accompagnaient ces cracks incontestables, on se dit que les temps ont bien changé. Reléguée administrativement en 1991, l'équipe brestoise est en passe de retrouver l'élite en s'appuyant sur un effectif autrement moins clinquant.
Il y a la révélation Roux en attaque. Il y a une grosse solidarité pour le reste, il y a la plus belle capacité à voyager constatée dans le championnat (5 victoires pour 6 nuls et seulement 2 défaites) et il y a un bilan fameux qui devrait correspondre à un grand bonheur dans le Finistère. Cela ne fait pas l'ombre d'un doute dans l'esprit de Pascal Janin, en tout cas.
« Il faudrait une grosse catastrophe pour que Brest ne monte pas, juge l'entraîneur qui a passé cinq ans au Stade brestois avant d'y être limogé en octobre 2008. Ils vont réussir à grappiller les points. Mais on n'est pas prêt à leur en donner. »

Le Racing souffre sur
ses bases avant


Cela semble un minimum. Car plutôt cohérent sur le terrain, le Racing n'en semble pas moins comme gagné par une léthargie comptable. Il ne perd guère depuis le Nouvel an - une défaite en neuf matches de championnat - , mais il ne gagne pas depuis plus d'un mois, s'assurant une maigre récolte de trois points en quatre matches.
L'origine de ses maux est toute trouvée. « On n'a pas su exploiter toutes les actions, relève le technicien en passe de croiser un 5e président dans sa saison (lire ci-dessous). Il y a eu l'absence de Fauvergue et de Gueye, mais ce n'est qu'une partie de l'inefficacité. Dans une saison, il faut savoir se passer de l'un ou l'autre. » Si Ledy (à Vannes), Pelé (face à Angers) ou Zenke (face à Clermont) ont trouvé l'ouverture, le Racing dans son ensemble souffre sur ses bases avant.
Les retours de Gueye et Gargorov et la possibilité pour Khiter d'enchaîner une deuxième sortie peuvent contribuer à alimenter l'inspiration offensive alsacienne. Après un nul arraché à Vannes (1-1), le retour à du classique est programmé avec le 4-4-2 déployé au coup d'envoi.
C'est l'option retenue pour guetter la brise en mesure de pousser le Racing vers des rivages moins angoissants. C'est la pose privilégiée pour guetter le printemps enfin décidé à pointer le bout du nez. En quête d'une éclaircie, le Racing doit repousser les nuages annoncés en provenance de Brest.

François Namur

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Toni Truand
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Toni Truand » 19 mars 2010, 12:11

Une fois n'est pas coutume, allez le Racing! :bieres:

Séb

Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Séb » 19 mars 2010, 13:48

Le futur président a déboulé hier à la Meinau. Jean-Claude Plessis n'a pas la langue dans sa poche. Sa première sortie au Racing l'a confirmé.

Il a beau ne pas être encore officiellement le n°1 du club, Jean-Claude Plessis déborde d'énergie à l'idée de débuter dans son nouveau boulot de « dans cinq jours », pour reprendre une expression chère aux Guignols de Canal +.
Ce soir, l'ex-président sochalien assistera déjà à la rencontre contre Brest, avant de succéder à Luc Dayan le 24 mars, jour de l'assemblée générale du club.

« Actionnaire à 5 % »

Dans la foulée, il passera « deux ou trois jours à Londres auprès des deux actionnaires (ndlr : Jafar Hilali et Alain Fontenla) » avant d'être à pied d'oeuvre lundi en huit. Jean-Claude Plessis ne porte pas moins un regard attentif sur ce qui se passe du côté de la Meinau.
S'il a adressé un message d'encouragement aux joueurs, hier après-midi, les conditions de son arrivée interpellent évidemment, au regard de la situation cahoteuse du club.
« J'ai signé un contrat à durée indéterminée, je suis un président salarié mais je vais toucher en un ou deux ans ce que Luc Dayan a récolté en quatre mois et je serai actionnaire du club à 5 %, pour que je sois identifié Racing. »
La suite, il ne l'annonce pas rose. Le budget envisagé pour la saison prochaine sera « de l'ordre de 12 à 13 millions d'euros ». L'idée, « c'est de remonter dans un ou deux ans », mais « ça va être dur, on va transpirer et on va entendre les supporteurs râler ».
A long terme, « les propriétaires, qui sont arrivés à la cosaque, ne sont pas là pour mettre du fric, mais veulent que ce club soit parmi les tous meilleurs pour l'Euro 2016. On va y aller progressivement. Il y a tout de même de l'espérance liée à ce club. »

L'ère du bon sens ?

Il reste les considérations d'actionnaires, qui laissent toujours craindre le pire. A propos de la lettre d'excuse adressée par Fontenla au maire de Strasbourg (lire notre édition de mercredi), l'homme de 66 ans à la santé de fer, d'après ses médecins, fait cette remarque : « Je n'aurais pas procédé de cette manière. Je ne l'aurais pas envoyé à tout le monde par fax. C'est comme si, en même temps qu'à la personne concernée, vous envoyez la lettre de rupture aux beaux-parents. »
Plessis ouvre peut-être l'ère du bon sens, sur un mode direct et cru. Ça ne devrait pas se faire sans agiter le landernau du ballon rond, entre Londres et Strasbourg.


Fr.N.

Séb

DNA du 03/04/2010 : « Devant le fait accompli »

Messagepar Séb » 03 avr. 2010, 09:50

Il ne s'est pas exprimé depuis qu'il a vendu le club, début décembre, ce qui a contribué à ouvrir une ère fort cahoteuse au Racing. Philippe Ginestet revient pour défendre son bilan, admettre ses torts et exprimer ses craintes devant l'évolution d'un club à ses yeux en danger.

Image
Philippe Ginestet a été estomaqué par la revente du Racing, quelques jours après qu'il a lui-même revendu le club au projet porté par Julien Fournier et soutenu par Roman Loban. (Photo DNA - Laurent Réa)

- Vous n'avez pas pris la parole, alors que le club traverse une période extrêmement compliquée depuis que vous l'avez vendu. Pourquoi avoir opté pour cette posture ?

- Je ne souhaitais pas nuire à toutes les discussions en cours. Et ajouter ma voix dans les commentaires, c'était surtout l'assurance de nourrir la cacophonie.

- Il reste qu'on vous fait le procès d'avoir vendu à des hommes peu recommandables. Éprouvez-vous des regrets par rapport à cette vente ?

- On m'accuse d'avoir vendu rapidement notamment, mais je rappelle que pendant plus de six mois, le club était à vendre officiellement. Ensuite, l'avocat Bernard Alexandre a été contacté par Ralph Isenegger qui a présenté un projet dirigé par Roman Loban et Julien Fournier. C'est ce dernier qui m'a convaincu. L'acte de vente stipulait qu'il devenait président. Au regard du parcours qu'il a eu à Marseille, il m'a inspiré confiance.
Je n'ai découvert que par la suite l'arrivée d'un nouvel actionnaire, Alain Fontenla. J'ai été estomaqué de la revente du club intervenue très rapidement. Je me suis aussi retrouvé devant le fait accompli.

« Avec le budget annoncé,
on est contraint de
démanteler la structure »


Je regrette l'agitation qui marque le club depuis, alors que j'ai privilégié une certaine stabilité au niveau de la direction, pendant quatre ans. Et j'éprouve aussi des regrets par rapport à la situation sportive. Malgré le début de saison catastrophique, le Racing n'est finalement qu'à onze points du podium.

- En voulez-vous à ceux qui vous font incomber la situation actuelle ?

- Ce qui m'interpelle, c'est pourquoi les « investisseurs locaux » n'ont pas pris contact avec moi pour acheter le club il y a six mois. Ensuite, je veux bien prendre la responsabilité d'avoir un peu bousculé l'ordre établi, d'avoir assuré des exercices bénéficiaires pour le club, d'avoir nourri la confiance de la DNCG pendant quatre ans et d'avoir échoué d'un point dans l'opération remontée la saison passée. Mais les trente ans d'instabilité, franchement, je n'y peux rien.

- Il n'empêche que le Racing est en danger, quatre mois après que vous l'ayez vendu. Etes-vous inquiet ?

- Il faut d'abord tirer un coup de chapeau au groupe sportif. Il s'est montré uni et soudé dans la tempête. Ensuite, Jean-Claude Plessis connaît parfaitement le boulot de président. Mais à mes yeux, abaisser le budget à 12 millions d'euros, cela me paraît presque impossible. Il faut un investissement, c'est indispensable. Entre le centre de formation et l'entretien du stade, on part sur une dépense de 4 millions d'euros. Il n'y aurait que huit millions d'euros à consacrer à l'effectif pro. Le Racing s'appuie sur une structure de L 1. Avec le budget annoncé, on est contraint de démanteler la structure.

« On peut s'interroger sur
l'absence d'équipe
de haut niveau à Strasbourg»


- Le Racing serait-il dans une impasse, entre un héritage trop lourd à porter et un présent sans perspective ?

- Le premier constat, c'est qu'il y a beaucoup de gens qui veulent exister à travers le Racing et tirer parti de son image. Et qu'apportent-ils ? Au total, pendant cinq ans, j'ai personnellement dépensé 3,8 millions d'euros pour assurer son train de vie au club. Dans un autre domaine, alors qu'un grand club contribue à l'image d'une ville, les collectivités locales ont décidé d'augmenter de 1000 % en 2001, le coût d'exploitation du stade. On est passé d'un loyer annuel de 150 000 euros, à un coût d'1,6 millions d'euros par an.
On peut d'ailleurs s'interroger sur l'absence d'équipe de haut niveau dans un sport majeur au sein de l'agglomération strasbourgeoise. Autour du Racing, il y a un vrai potentiel, mais des moyens insuffisants. L'environnement doit apporter plus à son club. En ce sens, le stade reste un désavantage.

- L'échec de l'EuroStadium et le constat de moyens exangues constituent-ils donc vos principaux échecs ?

- Je le répète, chaque exercice a été bénéficiaire. Et l'intérêt de Hammerson pour un investissement à Strasbourg de plusieurs centaines de millions d'euros a contribué au versement d'1,5 millions au Racing. Il faut savoir ne pas se défiler au premier résultat défavorable pour s'en sortir. Pour ma part, j'avais notamment injecté trois millions d'euros, en octobre 2004, alors que le club était dernier. Il en avait été de même en décembre 2005. Le sort nous a été défavorable lors des deux dernières saisons. Cela a tenu à peu de choses. J'ai voulu arrêter après la défaite de Montpellier (ndlr : 2-1, lors de la dernière journée, ce qui a empêché le Racing de remonter). Pour la saison actuelle, je me suis contenté de revenir, pour promouvoir Janin, ce que je ne regrette pas.
Mais après, il y a effectivement ce constat contrariant. Le modèle du foot français prévoit 150 millions d'euros de déficit pour les clubs pros cette saison. Il n'assure l'équilibre qu'à la faveur de la revente de joueurs à l'étranger. Or, au regard de la crise, il est à peu près acquis qu'on n'y arrivera pas cette année.

Propos recueillis
François Namur

Séb

Bah et Pichot ok

Messagepar Séb » 03 avr. 2010, 09:51

Le milieu de terrain et le latéral droit devraient être aptes pour le derby de lundi.
Ils ont été ménagés, l'un et l'autre, cette semaine. Mais Mamadou Bah et Stéphane Pichot ont retrouvé leurs partenaires, hier. Autant dire que le milieu de terrain et le défenseur sont candidats au groupe et même au onze de départ face à Metz, lundi. La seule contrariété a concerné Seïd Khiter. Ce dernier a interrompu la séance en raison d'une pointe à la cuisse.

Séb

A la croisée des chemins

Messagepar Séb » 03 avr. 2010, 09:53

Le FC Metz est en lutte pour la montée, quand le Racing doit arracher ses derniers points pour son maintien. Du côté de Saint-Symphorien, Bernard Serin, le successeur du légendaire Carlo Molinari, veut retrouver l'élite pour abandonner le voisin alsacien, le temps d'une saison au moins.

Bernard Serin est à la tête du FC Metz depuis quelques mois. Vu d'ici, cela a de quoi faire sourire quand cinq présidents ont défilé en moins d'une saison. Là, ce n'est que le 8e de l'histoire du club grenat. Dans la liste, son devancier s'est organisé un long règne en deux temps.
« Carlo Molinari est demeuré 40 ans président, explique l'« héritier ». Cela facilite les choses. Il demeure vice-président, il y a une complicité entre nous et je peux bénéficier de son expérience. Mais d'un autre côté, partout en déplacement, je ne suis pas identifié comme le président de Metz. Carlo est président à vie. » Devenu calife à la place du calife en douceur, le chef d'entreprise, à la tête de 1 500 salariés, n'en exprime pas moins une fidélité affirmée pour l'écurie mosellane.

« Un club, ce n'est pas une
entreprise comme les autres »


Et s'il a tapé du ballon à Florange dans sa jeunesse, s'il a croisé Piasecki sur les terrains de la DH lorraine, Bernard Serin connaît aussi les enjeux du foot pro. Le FC Metz ne vit pas la meilleure période de son histoire, marquée par une présence de 35 ans ininterrompue parmi l'élite de 1967 à 2002, mais son numéro un se refuse à abdiquer.
« Un club, économiquement, c'est une PME, mais avec un retentissement, des connexions et une exposition qui font que ce n'est pas une entreprise comme les autres, indique le dirigeant lorrain qui martèle clairement son objectif : le FC Metz doit monter. » Comme son voisin strasbourgeois, le club au Graouly a « un train de vie de L 1. » « Retripler au deuxième échelon national, après avoir redoublé, cela veut dire rentrer dans le rang, poursuit Bernard Serin. Les contrats signés à l'échelon au-dessus arrivent à échéance, mais il y a l'aide à la relégation des droits télé qui disparaît (ndlr : deux millions d'euros la première, un la deuxième). » Et il y a aussi un engouement qui s'essouffle.
« Notre plus grosse affluence, c'est le match aller de Strasbourg, avec 13 500 spectateurs, soit 50 % de la capacité du stade, constate la figure de proue des Grenats. Or le FC Metz a une zone d'influence sur un bassin d'un million et demi d'habitants, qui comprend les 400 000 Luxembourgeois dont on connaît le PNB ». La question du confort au stade se pose sur les bords de la Moselle comme de l'Ill.
Mais le présent permet d'être un peu plus serein. La marge de la bande à Pouliquen est étroite. La montée reste dans le viseur. « Avec 16 points en huit matches, on devrait monter, constate le président. Mais il y a des défaillances individuelles ces dernières semaines. On est sur une série de trois nuls et une défaite. » Aussi, le Vendredi Saint a-t-il correspondu à la visite présidentielle sur le bord du terrain d'entraînement.

«Le match de deux clubs
qui ont quasiment le record
de matches en L1»


« Il faut que les joueurs se sentent soutenus, indique Serin qui pourrait donner la leçon à quelques influences londoniennes. On aborde un match compliqué, comme les sept qui suivent. C'est le match de deux clubs qui ont quasiment le record de matches en L1. C'est deux villes et deux régions qui méritent l'élite ». A Metz, les conséquences de la non-montée de la saison dernière se sont, pour l'heure, révélées bien moins néfastes qu'à Strasbourg. S'il est président depuis quelques mois, Bernard Serin, via Sollac dont il a été directeur général et qu'il a engagé dans le club en 1984, incarne une forme de stabilité. Lundi, c'est aussi deux conceptions d'un club de foot qui s'affronteront.

Fr.N.

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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar get_up_kids » 03 avr. 2010, 17:41

Tiens pour une fois un article alsacien sans condescendance ni complexe de supériorité...
Peut-être que cette saison cahotique en L2 leur aura au moins servi à cela: ne pas se voir plus plus beaux qu'ils ne le sont!

chris67
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar chris67 » 04 avr. 2010, 00:05

:pendu:































































t'es un bon toi
:bravo:


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