Tout d'abord, bonjour et bienvenue à toi parmi nous.Gretsch a écrit :Bonjour...
Ce topic est celui qui m'aura décidé à m'inscrire, enchanté tout le monde.
Je suis moi même très déçu lorsqu'un jeune joueur, prometteur, quitte le FC Metz, pour un rêve de gloire que seul 1 sur 10 touchera du doigt.
Cependant, que pensez vous des dizaines de jeunes africains (majoritairement) que notre club, comme les autres en Europe, brassent par dizaines à 15, 16 ou 17 ans sur les mêmes arguments que ceux que vous reprochez ici a Porto ?
Nous sommes bien contents, dans notre club, dans notre ligue 2, dans la ligue 1 et en Europe de recourir au même système que celui mis en cause ici : plus d'argent, espoir de carrière, rêve de gloire, agents pas toujours clean, jeunes brassés pour une réussite de 1 sur 10... etc. Avec pour conséquence en Afrique des clubs formateurs qui ne grandiront jamais à l'échelle mondiale, des championnats médiocres au regard des talents formés....
c'est ainsi, point. Ayez juste la lucidité de voir que nous reprochons à Porto d'appliquer un système que nous pratiquons nous même à notre profit envers plus faible....
J'espère que ta contribution ne se limitera pas à ce sujet.
Pour le reste, il me semble qu'on avait déja parler de cet état de fait, soit dans les 1ères pages du sujet, soit dans l'autre sujet consacré à Thibaut Vion.
Personnellement je ne suis pas d'accord avec toi, dans la mesure où le FC Metz va chercher en Afrique des jeunes pas formés, pour les former à Metz, en leur offrant en plus de la formation, une bonne scolarité, alors que le FC Porto, "vole" un jeune joueur formé à Metz pendant de longues années.
De plus, il me semble que le FC Metz a quelques partenariats en Afrique pour le développement du football, et fournit régulièrement des équipements aux clubs africains.
Il me semble donc qu'il y a une différence entre un club qui va chercher en Afrique des jeunes joueurs pour les former à un métier, et le FC Porto qui prend à un club formateur, quasiment sans contrepartie, ses meilleurs jeunes déja formés.