R.L. Metz frappe avec sa tête
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- PascalB
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Re: R.L. Metz frappe avec sa tête
Merci pour l'article.
J'ai adoré le dernier paragraphe.
La seconde période aurait pu (dû) être le théâtre de la révolte de l’ASNL. Il n’en fut rien, même si les Meurthe-et-Mosellans ont poussé, un peu, en fin de partie. Mais à l’image de leur public, ils se sont révélés bien trop tièdes pour embraser quoi que ce soit. Au contraire d’une équipe messine sérieuse, accrocheuse et qui aurait pu mettre le feu au plastique nancéien par Thibaut Vion (52e ), Romain Rocchi (67e ), Yeni Ngbakoto (71e ) ou encore Rocchi, victime d’un attentat de Cuvillier dans la surface de réparation, après un slalom géant signé Sakho (76e ). Inexplicablement, M. Rainville, parfait par ailleurs, ne bronchait pas. Qu’importe. Les hommes d’Albert Cartier avaient déjà frappé avec leur tête. Ici, c’est Metz aussi…

J'ai adoré le dernier paragraphe.
La seconde période aurait pu (dû) être le théâtre de la révolte de l’ASNL. Il n’en fut rien, même si les Meurthe-et-Mosellans ont poussé, un peu, en fin de partie. Mais à l’image de leur public, ils se sont révélés bien trop tièdes pour embraser quoi que ce soit. Au contraire d’une équipe messine sérieuse, accrocheuse et qui aurait pu mettre le feu au plastique nancéien par Thibaut Vion (52e ), Romain Rocchi (67e ), Yeni Ngbakoto (71e ) ou encore Rocchi, victime d’un attentat de Cuvillier dans la surface de réparation, après un slalom géant signé Sakho (76e ). Inexplicablement, M. Rainville, parfait par ailleurs, ne bronchait pas. Qu’importe. Les hommes d’Albert Cartier avaient déjà frappé avec leur tête. Ici, c’est Metz aussi…

- get_up_kids
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Re: R.L. Metz frappe avec sa tête
Metz frappe avec sa tête
Au terme d’une rencontre aboutie, les Messins, longtemps en supériorité numérique, ont logiquement remporté (1-0) la bataille tactique et la seconde manche du derby.
Ce qui n’était qu’une statistique avant la rencontre s’est muée en une vérité implacable, hier, sur la pelouse synthétique de Marcel-Picot : Metz se sert mieux de sa tête que son voisin nancéien. Au sens propre comme au figuré.
D’abord, ils ont fait preuve d’une belle maîtrise de l’événement. Ensuite, Kévin Lejeune et Diafra Sakho ont matérialisé cette prise de tête sur le seul but de la rencontre. Le premier a ainsi délivré sa dixième passe décisive de la saison pendant que l’attaquant sénégalais affolait un peu plus les compteurs grâce à son quinzième but en championnat. Enfin, c’est dans les têtes d’Albert Cartier et de son staff qu’a germé le plan anti-Jeff Louis et plus largement une option tactique qui a fait des merveilles. « Tactiquement, Albert a gagné son match contre Pablo (Correa) », souriait d’ailleurs le président du FC Metz, Bernard Serin, juste après le coup de sifflet final.
Un coup parfait. Non seulement Sylvain Marchal et ses partenaires ont remporté, côté jardin, la seconde manche d’un derby qui avait fait couler beaucoup d’encre côté cour. Mais surtout, ils comptent, ce matin, une confortable avance de dix points sur le quatrième (Caen) et douze sur l’ASNL. Tout, ou presque, s’est donc joué sur un coup de dé. Ou plutôt sur une stratégie payante, travaillée dans la discrétion et l’intimité de la Plaine Saint-Symphorien en fin de semaine. Exit le traditionnel 4-4-2. Place à un 4-1-4-1 avec le retour aux affaires d’un certain Mayoro N’Doye chargé de la filature du perceur de coffre nancéien Jeff Louis. Résultat, ce dernier n’a jamais trouvé la bonne combinaison, s’est empêtré dans la toile tendue par le malin petit Sénégalais et a fini par s’y perdre. Deux fautes grossières et le milieu de terrain était invité à quitter le terrain (29e ). Et Metz pouvait retrouver son système favori pour s’offrir la tête du voisin. Pour la deuxième fois !
Car malgré une entame de match plutôt dynamique, l’ASNL a vite perdu le fil de la rencontre. Certes, Jeannot auraient pu profiter d’une mauvaise inspiration de Kashi, auteur par ailleurs d’une nouvelle excellente prestation, mais Sylvain Marchal veillait au grain (13e ), alors que Johann Carrasso ne se laissait par surprendre par le joli numéro de Walter (39e ).
Un penalty oublié
Les Messins, qui auraient pu ouvrir le score dès la cinquième minute sur une tête mal maîtrisée de Cuffaut, géraient parfaitement leur affaire. Profitant du moindre espace et rapidement en supériorité numérique, les Grenats s’approchaient dangereusement du but de Nardi à l’image de ce beau mouvement entre Romain Rocchi et Yeni Ngbakoto avec Diafra Sakho à la conclusion. Le gardien nancéien retardait l’échéance (33e ) avant de voir passer la demi-volée du Sénégalais juste au-dessus de sa transversale (42e ). C’est, en revanche, juste en dessous que Sakho plaçait sa tête après avoir lui-même initié un contre ravageur à la suite d’un corner nancéien (1-0, 45e + 2).
La seconde période aurait pu (dû) être le théâtre de la révolte de l’ASNL. Il n’en fut rien, même si les Meurthe-et-Mosellans ont poussé, un peu, en fin de partie. Mais à l’image de leur public, ils se sont révélés bien trop tièdes pour embraser quoi que ce soit. Au contraire d’une équipe messine sérieuse, accrocheuse et qui aurait pu mettre le feu au plastique nancéien par Thibaut Vion (52e ), Romain Rocchi (67e ), Yeni Ngbakoto (71e ) ou encore Rocchi, victime d’un attentat de Cuvillier dans la surface de réparation, après un slalom géant signé Sakho (76e ). Inexplicablement, M. Rainville, parfait par ailleurs, ne bronchait pas. Qu’importe. Les hommes d’Albert Cartier avaient déjà frappé avec leur tête. Ici, c’est Metz aussi…
Jean-Sébastien GALLOIS.
Au terme d’une rencontre aboutie, les Messins, longtemps en supériorité numérique, ont logiquement remporté (1-0) la bataille tactique et la seconde manche du derby.
Ce qui n’était qu’une statistique avant la rencontre s’est muée en une vérité implacable, hier, sur la pelouse synthétique de Marcel-Picot : Metz se sert mieux de sa tête que son voisin nancéien. Au sens propre comme au figuré.
D’abord, ils ont fait preuve d’une belle maîtrise de l’événement. Ensuite, Kévin Lejeune et Diafra Sakho ont matérialisé cette prise de tête sur le seul but de la rencontre. Le premier a ainsi délivré sa dixième passe décisive de la saison pendant que l’attaquant sénégalais affolait un peu plus les compteurs grâce à son quinzième but en championnat. Enfin, c’est dans les têtes d’Albert Cartier et de son staff qu’a germé le plan anti-Jeff Louis et plus largement une option tactique qui a fait des merveilles. « Tactiquement, Albert a gagné son match contre Pablo (Correa) », souriait d’ailleurs le président du FC Metz, Bernard Serin, juste après le coup de sifflet final.
Un coup parfait. Non seulement Sylvain Marchal et ses partenaires ont remporté, côté jardin, la seconde manche d’un derby qui avait fait couler beaucoup d’encre côté cour. Mais surtout, ils comptent, ce matin, une confortable avance de dix points sur le quatrième (Caen) et douze sur l’ASNL. Tout, ou presque, s’est donc joué sur un coup de dé. Ou plutôt sur une stratégie payante, travaillée dans la discrétion et l’intimité de la Plaine Saint-Symphorien en fin de semaine. Exit le traditionnel 4-4-2. Place à un 4-1-4-1 avec le retour aux affaires d’un certain Mayoro N’Doye chargé de la filature du perceur de coffre nancéien Jeff Louis. Résultat, ce dernier n’a jamais trouvé la bonne combinaison, s’est empêtré dans la toile tendue par le malin petit Sénégalais et a fini par s’y perdre. Deux fautes grossières et le milieu de terrain était invité à quitter le terrain (29e ). Et Metz pouvait retrouver son système favori pour s’offrir la tête du voisin. Pour la deuxième fois !
Car malgré une entame de match plutôt dynamique, l’ASNL a vite perdu le fil de la rencontre. Certes, Jeannot auraient pu profiter d’une mauvaise inspiration de Kashi, auteur par ailleurs d’une nouvelle excellente prestation, mais Sylvain Marchal veillait au grain (13e ), alors que Johann Carrasso ne se laissait par surprendre par le joli numéro de Walter (39e ).
Un penalty oublié
Les Messins, qui auraient pu ouvrir le score dès la cinquième minute sur une tête mal maîtrisée de Cuffaut, géraient parfaitement leur affaire. Profitant du moindre espace et rapidement en supériorité numérique, les Grenats s’approchaient dangereusement du but de Nardi à l’image de ce beau mouvement entre Romain Rocchi et Yeni Ngbakoto avec Diafra Sakho à la conclusion. Le gardien nancéien retardait l’échéance (33e ) avant de voir passer la demi-volée du Sénégalais juste au-dessus de sa transversale (42e ). C’est, en revanche, juste en dessous que Sakho plaçait sa tête après avoir lui-même initié un contre ravageur à la suite d’un corner nancéien (1-0, 45e + 2).
La seconde période aurait pu (dû) être le théâtre de la révolte de l’ASNL. Il n’en fut rien, même si les Meurthe-et-Mosellans ont poussé, un peu, en fin de partie. Mais à l’image de leur public, ils se sont révélés bien trop tièdes pour embraser quoi que ce soit. Au contraire d’une équipe messine sérieuse, accrocheuse et qui aurait pu mettre le feu au plastique nancéien par Thibaut Vion (52e ), Romain Rocchi (67e ), Yeni Ngbakoto (71e ) ou encore Rocchi, victime d’un attentat de Cuvillier dans la surface de réparation, après un slalom géant signé Sakho (76e ). Inexplicablement, M. Rainville, parfait par ailleurs, ne bronchait pas. Qu’importe. Les hommes d’Albert Cartier avaient déjà frappé avec leur tête. Ici, c’est Metz aussi…
Jean-Sébastien GALLOIS.
- polskapolska
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Re: R.L. Metz frappe avec sa tête
Et dire qu'au coup d'envoi, j'ai osé avoir un doute sur ce schéma tactique, lui trouvant un manque d'ambition offensive...get_up_kids a écrit :Place à un 4-1-4-1 avec le retour aux affaires d’un certain Mayoro N’Doye chargé de la filature du perceur de coffre nancéien Jeff Louis.
Puni, au coin!

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Re: R.L. Metz frappe avec sa tête
A froid je me dis quand meme que l'arbitre a fait des grosses erreurs , entre le pénalty et le rouge oublié sur Rocchi qui aurait pu nous etre fatal si on s'était pris un but à la C** , Cuvilier qui devait se faire expulser et Jeannot aussi parce-que ses simulations il y a un moment il y en a ras-le-bol ( et j'oublie un corner inexistant a quelques minutes de la fin qui auraient pu nous faire mal ).
Quand je pense que c'est cet arbitre qui nous a expulsé Bussmann + pénalty contre Créteil...
On est super content parce-qu'on a gagné mais si les Nancéins auraient égaliser on en aurait encore beaucoup parlé et quand je pense que ces pleureuses du 54 se plaignent de l'arbitrage...
L'arbitre peut faire des erreurs mais l'attentat sur Rocchi dans la surface et qu'il ait pas exclu Cuvilier... Et je n'oublie pas Régis Brouard qui a fait son cinéma en rentrant sur le terrain la semaine dernière...
Et quand ce sont nos joueurs comme Diafra dans certains matchs qui manifestent leur mécontentement c'est jaune direct.
Bref , cet arbitre a tout fait pour donner une chance à Nancy de revenir au score et encore heureux qu'il a expulsé Jeff Louis au bout de son 4ème attentat sur notre valeureux Mayoro Ndoye qui pour moi est l'un des hommes clés du match.
Quand je pense que c'est cet arbitre qui nous a expulsé Bussmann + pénalty contre Créteil...
On est super content parce-qu'on a gagné mais si les Nancéins auraient égaliser on en aurait encore beaucoup parlé et quand je pense que ces pleureuses du 54 se plaignent de l'arbitrage...
L'arbitre peut faire des erreurs mais l'attentat sur Rocchi dans la surface et qu'il ait pas exclu Cuvilier... Et je n'oublie pas Régis Brouard qui a fait son cinéma en rentrant sur le terrain la semaine dernière...
Et quand ce sont nos joueurs comme Diafra dans certains matchs qui manifestent leur mécontentement c'est jaune direct.
Bref , cet arbitre a tout fait pour donner une chance à Nancy de revenir au score et encore heureux qu'il a expulsé Jeff Louis au bout de son 4ème attentat sur notre valeureux Mayoro Ndoye qui pour moi est l'un des hommes clés du match.
- Bel Jéthucine
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Re: R.L. Metz frappe avec sa tête
Je viens seulement de voir la faute sur Rocchi dans la surface. :nul:
C'est un véritable attentat, et heureusement que c'était sur synthétique : le pied a glissé ; sur un terrain gras, avec de bons crampons qui restent dans le sol, la cheville de Rocchi aurait pu être pétée.
C'est un véritable attentat, et heureusement que c'était sur synthétique : le pied a glissé ; sur un terrain gras, avec de bons crampons qui restent dans le sol, la cheville de Rocchi aurait pu être pétée.
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Re: R.L. Metz frappe avec sa tête
Pas trop d'accord avec toi sur l'arbitre qui je trouve a bien maîtrisé les débats. Ok, il a oublié un pénalty mais on avait pas besoin de ça pour gagner.
- gg67
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Re: R.L. Metz frappe avec sa tête
tout pareil moi j'avais senti ce milieu à 3 en partant le matin à Nancy mais tu as raison il a ses limites offensivement Diaf etait un peu seul les 30 premieres minutes ,on manquait de présence offensive et dès la sortie de JL il fallait revenir à 2 attaquants.Bien vu ACpolskapolska a écrit :Et dire qu'au coup d'envoi, j'ai osé avoir un doute sur ce schéma tactique, lui trouvant un manque d'ambition offensive...get_up_kids a écrit :Place à un 4-1-4-1 avec le retour aux affaires d’un certain Mayoro N’Doye chargé de la filature du perceur de coffre nancéien Jeff Louis.
Puni, au coin!
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Re: R.L. Metz frappe avec sa tête
Il n'a pas oublié que le péno , il a oublié d'expulser Cuvilier et Jeannot ( gros tacle en début de partie + simulations ) et son juge de touche qui offre un corner à Nancy.phil57 a écrit :Pas trop d'accord avec toi sur l'arbitre qui je trouve a bien maîtrisé les débats. Ok, il a oublié un pénalty mais on avait pas besoin de ça pour gagner.
Mais le match n'a pas degénerer il est vrai mais les nancéins pouvaient se permettre tout et n'importe quoi.
- Gadjo45
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Re: R.L. Metz frappe avec sa tête
Il faut être vraiment un nançois de mauvaise fois qui n'a pas vu l'ensemble des ralentis pour dire que l'arbitrage était pro messin.
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