Je reste persuadé que la coupe est une bonne chose pour Metz,elle qu'elle a pas un effet trop "néfaste" sur l'équipe,bien au contraire.
En plus outre la qualif il y 500 000e a gagné quand même,c'est pas rien!
Et aussi ,comme beaucoup le souligne ,le FC Metz à un effectif fournis quantitativement donc on peut jouer sur les 2 tableaux;par exemple ,sont sur de ne pas jouer aujourd'hui et de jouer à Vannes
Delle,Guerriero,N'gbakoto(si remis),N'diaye(si remis),Bregerie,Duhamel(si rentre pas )et Tamboura(si rentre pas),soit une bonne moitié de l'equipe A.
Sinon vu les joueurs convoqué pour être titulaire il devrait y avoir cela:
________________M'fa_________________
Mutsch____Koulibaly__Frechaut____Bussman
__________Fallou_____Fleurival___________
Traoré__________Englebert :'( ____Odegaard
_______________Sakho__________________
R.L. 01/02: A l'ouest, l'Eden ?
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Re: R.L. 01/02: A l'ouest, l'Eden ?
L'année dernière grand chelem........ De défaites en Bretagne (vannes Brest guingamp), rien ne permet de penser que le résultat sera différent cette semaine.
- get_up_kids
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Re: R.L. 01/02: A l'ouest, l'Eden ?
Oui, hier à Moulins-lès-Metz!Norton a écrit :Nous avons à Metz des terrains synthétiques, j'ose espérer que les grenats aient fait au moins une séance dessus depuis le retour de Troyes ?...
- drac
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Re: R.L. 01/02: A l'ouest, l'Eden ?
Pour quoi faire, puisque l'on ne réinvestit pas dans l'équipe.partonus le messin a écrit :Je reste persuadé que la coupe est une bonne chose pour Metz,elle qu'elle a pas un effet trop "néfaste" sur l'équipe,bien au contraire.
En plus outre la qualif il y 500 000e a gagné quand même,c'est pas rien!
Et aussi ,comme beaucoup le souligne ,le FC Metz à un effectif fournis quantitativement donc on peut jouer sur les 2 tableaux;par exemple ,sont sur de ne pas jouer aujourd'hui et de jouer à Vannes
Delle,Guerriero,N'gbakoto(si remis),N'diaye(si remis),Bregerie,Duhamel(si rentre pas )et Tamboura(si rentre pas),soit une bonne moitié de l'equipe A.
Sinon vu les joueurs convoqué pour être titulaire il devrait y avoir cela:
________________M'fa_________________
Mutsch____Koulibaly__Frechaut____Bussman
__________Fallou_____Fleurival___________
Traoré__________Englebert :'( ____Odegaard
_______________Sakho__________________
Cela ne sera reversé que dans l'"administratif".
- aliosha
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Re: R.L. 01/02: A l'ouest, l'Eden ?
La compo du RL :
------------------M'Fa----------------------------
C.Gueye----------Frechaut--Diagne-------Bussmann
---------------Fleurival---Englebert----------------
Mutsch----------------------------------Ødegaard-
-----------------Traoré----------------------------
---------------Sakho------------------------------
------------------M'Fa----------------------------
C.Gueye----------Frechaut--Diagne-------Bussmann
---------------Fleurival---Englebert----------------
Mutsch----------------------------------Ødegaard-
-----------------Traoré----------------------------
---------------Sakho------------------------------
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Re: R.L. 01/02: A l'ouest, l'Eden ?
en mai 1984, Metz avait remporté sa première Coupe de France après avoir éprouvé les pires difficultés, en parallèle, en championnat.
A la trêve de cette saison-là, les Grenats figuraient, en effet, au dix-neuvième rang du classement de Première division. Ils avaient fini par s’en sortir pour prolonger leur bail parmi l’élite. L’anecdote sonnera peut-être creux à l’issue de la soirée qui s’annonce, mais en attendant, elle invite à ne pas négliger ce rendez-vous face à Lorient…
Fallait oser la comparaison entre les 2 équipes, celle de 84 et de d'aujourd'hui !
Déjà, statistiquement, c'est au mieux incorrect, puisque Metz était en D1 en 84, que la CDF de l'époque se jouait plus tard dans la saison, en match aller et retour qui plus est, que Metz a du attendre les 1/4 pour jouer un adversaire du même niveau (Laval).
Au niveau de l'effectif actuel, je me demande qui va jouer le rôle de Kurbos, qui sont les nouveaux Hinsch, Rohr, Bracigliano, Sonor, Morgante, alors jeunes joueurs formés au club, et puis Brégerie = Zappia ?, sans parler de la comparaison entre les entraineurs, non, arrêtons de nous faire du mal, jouons ce match et basta.
Simplement, si on pouvait faire comme l'équipe de 84, ce serait pas mal de gagner nos 3 derniers matchs de championnat, comme ils l'ont fait pour se sauver au printemps 84, avec un 7/3 contre Nimes (déjà condamné) et les 6 buts de Kurbos, c'était vraiment une autre époque...
Re: R.L. 01/02: A l'ouest, l'Eden ?
Vu les tronches, je pensais que sur cette photo ils avaient plutôt les yeux fixés sur le classement de L2lepop a écrit :
Les Messins ont les yeux fixés sur la Bretagne, où ils entament aujourd’hui une semaine capitale... Photo Pascal BROCARD


Re: R.L. 01/02: A l'ouest, l'Eden ?
des pieds carrés sur synthétique ne deviendront pas des techniciens hors pairs ... s'il faut jouer plus vite et plus juste ... on risque de se prendre une belle piluleget_up_kids a écrit :Oui, hier à Moulins-lès-Metz!Norton a écrit :Nous avons à Metz des terrains synthétiques, j'ose espérer que les grenats aient fait au moins une séance dessus depuis le retour de Troyes ?...

Re: R.L. 01/02: A l'ouest, l'Eden ?
RL : Christian Gourcuff : « Je suis un privilégié »

Professeur de mathématiques, théoricien à ses heures et adepte d’un jeu simple, Christian Gourcuff est un personnage singulier. L’entraîneur de Lorient livre son ambition en Coupe de France à l’heure de recevoir Metz.
Êtes-vous conscient que Lorient représente une espèce en voie de disparition dans cette Coupe de France ? « Il est vrai que pas mal de gros sont tombés. Cela démontre que des équipes de L1 ne sont pas à l’abri. En seizièmes, nous avons d’ailleurs éprouvé beaucoup de difficultés à nous en sortir face à un club de CFA 2. »
• Evoluer à domicile, face à un club en difficulté en Ligue 2, doit tout de même vous rassurer ? « Disons que le fait de jouer à la maison constitue un plus. J’ai aussi conscience que la priorité de Metz demeure le championnat et donc plutôt le déplacement samedi à Vannes. La chose positive, c’est que nous abordons cette rencontre dans de bonnes dispositions après notre succès en championnat contre Brest. Cela nous libère d’un poids. »
• Compte tenu des équipes encore en lice, Lorient se serait-il découvert une ambition ? « A la base, la Coupe de France n’était pas un de nos objectifs prioritaires. Mais plus on avance, plus on se dit qu’il y a quelque chose à jouer. Et puis pour notre public, cette compétition se révèle plus exaltante que la perspective du seul maintien en L1. Cela pimente une saison et réveille de bons souvenirs, ceux de l’épopée en 2001. »
• A l’image d’un Guy Roux à Auxerre, votre nom semble définitivement associé à Lorient. Comment expliquez-vous ce rapport de confiance ? « C’est une longue histoire commune qui a forgé ce lien. Elle s’est faite en trois étapes : de 1982 à 1986, nous sommes passés de DH à la 2e division ; ensuite de 1991 à 2001, c’est là qu’est intervenue la véritable professionnalisation du club. Et depuis 2003, nous avons encore franchi un palier, que ce soit structurel avec un stade enfin fini et la perspective de disposer, l’année prochaine, d’un centre d’entraînement moderne. »
• Votre équipe est réputée pour produire du "beau jeu", presque une rareté en Ligue 1. Comment vous y prenez-vous ? « C’est notre façon de concevoir le football. Ici, il y a une méthodologie. Tous les éducateurs du club sont d’anciens joueurs et la respectent. »
« Kévin Gameiro reste »
• Sur quoi repose cette méthodologie ? « Sur les notions de mouvement et de collectif. Notre organisation en 4-4-2 est immuable : à la fois rationnelle et souple, elle ne bride pas les joueurs. Cela peut paraître atypique dans le milieu, mais pour nous, le duel n’existe pas, on le refuse. Nous sommes perpétuellement à la recherche d’un collectif qui s’épanouit par le jeu de passes. Pour moi, le football est avant tout un sport d’évitement. »
• Pensez-vous pouvoir exporter cette vision dans un autre club ? « C’est très difficile. Lorsque Rennes était venu me chercher en 2001 avec un contrat de 5 ans, c’était dans cette optique. Seulement ce genre de projet bouscule les habitudes d’un club. Les dirigeants sont pressés de réussir, ils n’ont pas forcément de convictions fortes au niveau de la sensibilité du jeu. »
• Finalement, quitter Lorient ne serait pas une bonne idée ? « Contrairement à ce qui se voit ailleurs, je bénéficie d’un staff technique très stable. Alors que dans le même temps, j’ai vu défiler nombre de dirigeants dans ce club. A Lorient, je suis un privilégié, je bénéficie d’un statut unique en France et je m’en réjouis. Et puis on ne peut pas être performant quand on pense à aller voir ailleurs. »
• Puisque vous abordez le sujet, la gestion du cas Gameiro a-t-elle déstabilisé votre équipe ? « Un brin, oui. Mais c’était plus compliqué en juin que durant ce mercato de janvier. Lorsqu’un joueur reçoit des sollicitations, c’est normal qu’il se pose des questions. »
• Le marché touche à sa fin : avez-vous la certitude que votre international restera à Lorient ? « Oui, j’en ai la conviction. Rejoindre un nouveau club en janvier n’est pas simple. Son avenir en équipe de France passe par de la stabilité. En juin, il aura encore plus de propositions. »
• C’est une belle victoire pour vous ? « C’est une décision sage pour les deux parties. Même si nous passons à côté d’une manne financière non négligeable pour un club comme le nôtre, l’intérêt commun est de répondre aux exigences du joueur l’été prochain… »
Professeur de mathématiques, théoricien à ses heures et adepte d’un jeu simple, Christian Gourcuff est un personnage singulier. L’entraîneur de Lorient livre son ambition en Coupe de France à l’heure de recevoir Metz.
Êtes-vous conscient que Lorient représente une espèce en voie de disparition dans cette Coupe de France ? « Il est vrai que pas mal de gros sont tombés. Cela démontre que des équipes de L1 ne sont pas à l’abri. En seizièmes, nous avons d’ailleurs éprouvé beaucoup de difficultés à nous en sortir face à un club de CFA 2. »
• Evoluer à domicile, face à un club en difficulté en Ligue 2, doit tout de même vous rassurer ? « Disons que le fait de jouer à la maison constitue un plus. J’ai aussi conscience que la priorité de Metz demeure le championnat et donc plutôt le déplacement samedi à Vannes. La chose positive, c’est que nous abordons cette rencontre dans de bonnes dispositions après notre succès en championnat contre Brest. Cela nous libère d’un poids. »
• Compte tenu des équipes encore en lice, Lorient se serait-il découvert une ambition ? « A la base, la Coupe de France n’était pas un de nos objectifs prioritaires. Mais plus on avance, plus on se dit qu’il y a quelque chose à jouer. Et puis pour notre public, cette compétition se révèle plus exaltante que la perspective du seul maintien en L1. Cela pimente une saison et réveille de bons souvenirs, ceux de l’épopée en 2001. »
• A l’image d’un Guy Roux à Auxerre, votre nom semble définitivement associé à Lorient. Comment expliquez-vous ce rapport de confiance ? « C’est une longue histoire commune qui a forgé ce lien. Elle s’est faite en trois étapes : de 1982 à 1986, nous sommes passés de DH à la 2e division ; ensuite de 1991 à 2001, c’est là qu’est intervenue la véritable professionnalisation du club. Et depuis 2003, nous avons encore franchi un palier, que ce soit structurel avec un stade enfin fini et la perspective de disposer, l’année prochaine, d’un centre d’entraînement moderne. »
• Votre équipe est réputée pour produire du "beau jeu", presque une rareté en Ligue 1. Comment vous y prenez-vous ? « C’est notre façon de concevoir le football. Ici, il y a une méthodologie. Tous les éducateurs du club sont d’anciens joueurs et la respectent. »
« Kévin Gameiro reste »
• Sur quoi repose cette méthodologie ? « Sur les notions de mouvement et de collectif. Notre organisation en 4-4-2 est immuable : à la fois rationnelle et souple, elle ne bride pas les joueurs. Cela peut paraître atypique dans le milieu, mais pour nous, le duel n’existe pas, on le refuse. Nous sommes perpétuellement à la recherche d’un collectif qui s’épanouit par le jeu de passes. Pour moi, le football est avant tout un sport d’évitement. »
• Pensez-vous pouvoir exporter cette vision dans un autre club ? « C’est très difficile. Lorsque Rennes était venu me chercher en 2001 avec un contrat de 5 ans, c’était dans cette optique. Seulement ce genre de projet bouscule les habitudes d’un club. Les dirigeants sont pressés de réussir, ils n’ont pas forcément de convictions fortes au niveau de la sensibilité du jeu. »
• Finalement, quitter Lorient ne serait pas une bonne idée ? « Contrairement à ce qui se voit ailleurs, je bénéficie d’un staff technique très stable. Alors que dans le même temps, j’ai vu défiler nombre de dirigeants dans ce club. A Lorient, je suis un privilégié, je bénéficie d’un statut unique en France et je m’en réjouis. Et puis on ne peut pas être performant quand on pense à aller voir ailleurs. »
• Puisque vous abordez le sujet, la gestion du cas Gameiro a-t-elle déstabilisé votre équipe ? « Un brin, oui. Mais c’était plus compliqué en juin que durant ce mercato de janvier. Lorsqu’un joueur reçoit des sollicitations, c’est normal qu’il se pose des questions. »
• Le marché touche à sa fin : avez-vous la certitude que votre international restera à Lorient ? « Oui, j’en ai la conviction. Rejoindre un nouveau club en janvier n’est pas simple. Son avenir en équipe de France passe par de la stabilité. En juin, il aura encore plus de propositions. »
• C’est une belle victoire pour vous ? « C’est une décision sage pour les deux parties. Même si nous passons à côté d’une manne financière non négligeable pour un club comme le nôtre, l’intérêt commun est de répondre aux exigences du joueur l’été prochain… »
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Re: R.L. 01/02: A l'ouest, l'Eden ?
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