[Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

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gauloiskiki
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar gauloiskiki » 02 sept. 2010, 17:52

champ d'or a écrit :Même si la DNCG n'a pas amené le RCS là où il est cette histoire est vraiment nulle : le club s'est arrangé pour faire partir 2 éléments (Othon et Bah), et au lieu de pouvoir compenser il se retrouve dans la muise. :-|

En gros, c'est mieux de payer deux gros salaires déjà engagés dans le buget, quitte à le plomber, que de s'en débarrasser contre des "petits" contrats.

C'est comme si on nous avait dit : "ah ben non vous avez un léger dépassement donc T.N'Diaye, Englebert et Sissoko ne joueront pas" alors qu'on a éjecté Borbi et Razak.

Ca respire quand même la vengeance froide cette histoire... :nul:
Comme je le disais plus haut, si le club a été d'abord relégué avant d'être repêché, c'est sûrement parce qu'il a donné des garanties futures et que le départ de deux Othon et Bah devait déjà faire plus ou moins parti du deal de départ ...

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IroOn
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar IroOn » 02 sept. 2010, 18:14

Strasbourg attendait plus de cash grace à Bah et Othon, c'est d'ailleurs pour cela qu'ils ont attendu la dernière minute pour se séparer d'eux.

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get_up_kids
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar get_up_kids » 02 sept. 2010, 19:40

Vu que la DNCG est composée d'expert-comptables, ou comptables, la seule explication que j'imagine (en dehors de tout aspect de vengeance à laquelle je ne crois pas), c'est que Strasbourg avait une MS autorisée de 1000.

Avant les départs d'Othon+ Bah, elle devait être de 1100.
Et après leur départ, elle est soit tombée à 1000 ou +, soit tombée à 998, et manque de bol aucun des 5 joueurs qu'espérat engager Strasbourg n'avait un contrat inférieur à 3, ce qui fait qu'avec l'homologation de n'importe lequel de ces contrats on dépassait la limite autorisée de 1000.

Dans tous les cas, je ne vois pas ce qu'il y a reprocher à la DNCG, qui d'ailleurs a fait de même avec Le Mans et Loriot.

La seule chose que l'on peut dire, c'est que les dirigeants de Strasbourg ont mal joué le coup, en vendant Othon et Bah, et en espérant la clémence de la DNCG, car s'ils avaient gardé Othon+Bah, la DNCG n'aurait surement rien pu faire, bien que la masse salariale était supérieure à 1000 (et même si les 5 nouveaux n'auraient pas été homologués, ils auraient au moins eu 2 joueurs pro en plus)

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Dark 5.7
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar Dark 5.7 » 02 sept. 2010, 20:19

j'ai pas suivi toute l'histoire, mais la DNCG ne pouvait pas rendre son verdict avant le 31? au moins certains des 6 auraient peut-être trouvé un club...

je me demande franchement si ça ne va pas aboutir à une bisbille entre l'UNFP et la DNCG...

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gauloiskiki
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar gauloiskiki » 02 sept. 2010, 22:37

Dark 5.7 a écrit :j'ai pas suivi toute l'histoire, mais la DNCG ne pouvait pas rendre son verdict avant le 31? au moins certains des 6 auraient peut-être trouvé un club...

je me demande franchement si ça ne va pas aboutir à une bisbille entre l'UNFP et la DNCG...
Othon et Bah sont partis le 31, comment veux-tu que la DNCG ne se prononce avant ?

Séb

DNA du 03/09/2010 : Leçon d'optimisme

Messagepar Séb » 03 sept. 2010, 08:42

Leçon d'optimisme

Jean-Claude Plessis a tenu hier à clarifier la situation après la décision défavorable rendue par la DNCG mercredi. Le président du Racing a indiqué qu'il y avait encore un dernier espoir de voir Marcio, Betsch, Abadie et Ahéyou intégrer l'effectif sous 48 h. Explications.

Image
Chiffres à l'appui, Jean-Claude Plessis - ici aux côtés de Jean-Luc Witzel, le directeur sportif - espère obtenir gain de cause sous 48 h auprès de la LFP, pour qualifier les joueurs encore en attente. (Photo DNA - Laurent Réa)

Quand il n'y a plus d'espoir, reste... un dernier espoir. Tel est, in fine, le message délivré hier matin par Jean-Claude Plessis, après « la claque » prise mercredi.
En appel, la DNCG avait en effet décidé de ne qualifier aucun des joueurs strasbourgeois en attente d'homologation (*), malgré les départs de Mamadou Bah et Quentin Othon le dernier jour de mercato d'été

« La DNCG était complètement rigide »

« C'était une mauvaise surprise, expose le président, je pensais vraiment qu'on allait passer. Mais mardi, la DNCG était complètement rigide. On s'est battu comme des fous pour faire partir Bah et Othon et à la place, je n'ai aucun joueur qualifié. On s'est fait avoir, c'est injuste », a répété à plusieurs reprises un Jean-Claude Plessis « en colère ».
Et le président de se lancer dans une explication chiffrée pour étayer sa bonne foi. « La masse salariale est passée de 5,169 millions à 1,703 millions, ce qui prouve que nous avons fait de gros efforts financiers. Les salaires de Bah et Othon représentaient une somme de 260 000 € pour une saison. Ceux de Abadie, Marcio et Betsch, ce serait 130 000 € en tout », ajoute encore le président.
Du coup, ce dernier ne comprend pas pourquoi la DNCG a persisté dans son refus d'homologuer des joueurs dont les salaires « sont d'environ 3 000 € par mois ».
Pour lui, le gendarme financier de la Ligue de football n'a pas pris en compte, dans ses calculs, les départs intervenus lors du dernier jour du mercato. « Pourtant, Jean-Luc Witzel (le directeur sportif, ndlr) a fait un travail incroyable » pour trouver des portes de sortie aux gros salaires, a aussi tenu à rappeler Jean-Claude Plessis.
Ceci une fois posé, les dirigeants du Racing ont indiqué quelles démarches étaient désormais envisagées pour faire avancer cette situation ubuesque.
« Je me donne encore 48 h pour convaincre la LFP de qualifier mes joueurs. J'espère avoir une réponse positive pour un ou deux d'entre-eux. Une bonne surprise nous attend peut-être, car le départ d'Othon est l'élément nouveau qui peut les faire changer d'avis », souligne encore le président.
Si Anicet Eyenga est laissé libre - il n'a pas réellement convaincu Laurent Fournier -, tout comme Bill Tchato - qui n'avait pas encore signé -, Jean-Claude Plessis espère encore régulariser la situation de Jérémie Abadie, Jocelyn Ahéyou, Marcio et Yohan Betsch. Et si ce n'est pas le cas, « on ira au CNOSF, au moins pour le principe », ajoute le président.
Jean-Claude Plessis a aussi tenu à rappeler que, joueurs qualifiés ou non, « les objectifs du club restent les mêmes ».

«Arrêter d'être pessimiste»

« On veut être dans les cinq premiers à la trêve et on va y arriver, même si c'est avec des jeunes joueurs du centre », a martelé le président.
« Jouer la carte de la formation » et faire preuve de « solidarité », telles sont donc les deux solutions de secours, au cas où le dernier recours lancé par le Racing se transformerait en nouvelle déconvenue. « Il faut arrêter d'être pessimiste et de faire du catastrophisme, argue même Jean-Claude Plessis, le Racing ne s'en sort pas si mal ».
On aimerait le croire. Mais sur ce dernier point, le seul juge de paix sera le terrain. Et sur le pré, la bonne volonté affichée dans les bureaux risque de ne pas servir à grand-chose pour transformer un Racing diminué en une équipe apte à jouer la montée.

Barbara Schuster
(*) Yohan Betsch, Marcio, Jérémie Abadie, Jocelyn Ahéyou, Bill Tchato et Anicet Eyenga.

Séb

L'Alsace du 03/09/2010 : Plessis va tenter le tout pour le

Messagepar Séb » 03 sept. 2010, 08:46

Plessis va tenter le tout pour le tout auprès de la Ligue

Jean-Claude Plessis, président du Racing Club de Strasbourg, a annoncé ce matin en conférence de presse qu'il allait repartir à la charge auprès de la Ligue de football professionnel pour tenter de faire valider sous 48h un, deux, voire trois contrats des joueurs qui se retrouvent au chômage après la décision de la DNCG (*) d'appel de la Fédération française de football de ne pas les qualifier (notre édition du jour).

Image
Le président du Racing Jean-Claude Plessis (à droite) en conférence de presse ce matin à la Meinau, en compagne du directeur sportif Jean-Luc Witzel (au second plan). Photo Dominique Gutekunst

Le patron du RCS a expliqué sa démarche en précisant que la commission de la FFF n'avait pris en compte que le transfert de Mamadou Bah à Stuttgart, mais pas le prêt tardif mardi de Quentin Othon à Châteauroux. Une différence mensuelle de 10000 euros dans la masse salariale du club qui laisse de l'espoir à Plessis, même s'il ne "promet rien" quant à l'issue favorable de son recours.

J.-C. Plessis a indiqué qu'il ne saisirait le CNOSF (Comité national olympique et sportif français) que si ce recours n'aboutit pas à la qualification d'un voire plusieurs de ses joueurs en souffrance.

Le club alsacien a profité de cette conférence de presse ce matin pour annoncer qu'il ne comptait plus sur Anicet Eyenga, comme évoqué dans notre édition de ce jour.

Excepté ce dernier, les joueurs non qualifiés (Abadie, Marcio, Ahoueya, Betsch) vont continuer à s'entraîner avec le groupe strasbourgeois sous la houlette de l'entraîneur Laurent Fournier, mais ils sont libres de s'engager avec un autre club.

Le défenseur latéral gauche camerounais, Eric Nyatchou Ndema, qui a signé un contrat stagiaire, a quant à lui vu sa situation homologuée.


F.R. (avec S.G.)

(*) Direction national de contrôle de gestion

Séb

Une qualif à la place des qualifs ?

Messagepar Séb » 03 sept. 2010, 08:48

Une qualif à la place des qualifs ?

Après le refus de la DNCG d’appel (1) de la Fédération de qualifier quatre de ses joueurs, le Racing s’est retourné hier vers la Ligue de Football Professionnel pour tenter de faire homologuer certains contrats. Celui du Brésilien Marcio doit être examiné dès aujourd’hui.

Image
Jean-Claude Plessis a défendu hier son travail et celui du directeur sportif Jean-Luc Witzel, précisant que la masse salariale a ainsi été réduite de 5,169 millions d’euros à 1,53 million. Photo D. Gutekunst

Jean-Claude Plessis est apparu hier à 11 h 30 à la Meinau les traits tirés. Les pépins de santé auxquels il est confronté depuis bientôt un mois y sont sans doute pour quelque chose. Mais pas seulement. Depuis son arrivée fin mars, le président du Racing estime « avoir pris des coups, beaucoup ». Le dernier, la DNCG d’appel de la Fédération Française de Football le lui a administré dans l’arrière-train mercredi en refusant de valider les quatre contrats pros qu’il lui avait soumis pour homologation (Yohan Betsch, Jérémy Abadie, Marcio et Jocelin Ahoueya).

Depuis, Plessis et le RCS cherchent à comprendre. Un brin fâché d’être considéré comme « benêt et naïf », l’ancien président sochalien avoue malgré tout s’être trompé. « J’ai été surpris par la décision de la DNCG. Je la juge inique. En sortant de l’audition mardi, j’ai dit à ses membres : j’ai l’impression d’avoir plaidé la grâce d’un condamné à mort, mais j’ai aussi celle que vous ne m’avez pas écouté. »

« La plus grosse claque de ma carrière »


Abattu mercredi après-midi après le verdict défavorable, il est toutefois déjà reparti au combat et a renoué le contact avec la Ligue de Football Professionnel. Il défend aussi avec fermeté son travail de l’été et celui de son directeur sportif Jean-Luc Witzel. « Je le félicite. Il a réussi à placer, alors que ce n’était pas évident compte tenu de leurs salaires, Rodrigo à Sion, Marcos à Troyes, Dja Djedje et Fanchone à Arles, sans parler du transfert de Magaye Gueye à Everton. Il a aussi discuté le départ de Bah à Stuttgart. Notre masse salariale joueurs est ainsi passée de 5,169 millions à 1,703 million. Et même à 1,530 pour les joueurs homologués. Nous avions présenté un budget avec une masse salariale de 1,650 million. Le dépassement n’est pas très important, mais l’effort, lui, est considérable. Le paradoxe, c’est qu’avec le refus de qualification de nos joueurs et le départ de Mamadou Bah et Quentin Othon (dont le prêt à Châteauroux n’était pas officiel lors de l’audition et n’a pas été pris en compte) , nous nous retrouvons en-dessous de notre budget et du plafond autorisé. »

En réalité, le dépassement s’élève à 150 000 euros. Il intègre les salaires - confortables - que le club a versés aux joueurs partis en juillet et août (92 000 euros). « Nous payons surtout pour le retard avec lequel nous nous sommes séparés de certains », admet Plessis. « Car pour le reste, le salaire moyen de nos seize pros est de 4094 euros, alors que quatre, aux émoluments largement supérieurs, représentent à eux seuls 50 % de la masse salariale. »

Dès hier midi en conférence de presse, le président annonçait cependant son espoir « d’homologuer un ou deux joueurs sous 48 heures », avant d’ajouter avec une prudence de chat échaudé : « Je ne promets rien, parce que j’en ai marre de promettre. J’ai l’habitude de regarder les joueurs dans les yeux sans sourciller. Mais là, je passe devant eux tête basse. Je n’en dors pas. C’est la plus grosse claque jamais reçue dans ma carrière. »

Avant d’aller devant le CNOSF (2) qu’il solliciterait pour une mission de conciliation ( « j’irai sans doute par principe pour montrer aux joueurs que nous faisons le maximum »), le président Plessis espère que ses démarches auprès de la LFP ne resteront pas vaines. Hier, le bruit a couru qu’un ou deux Racingmen pourraient être très vite qualifiés. Les noms de Marcio et Jérémy Abadie ont même circulé. « Nous attendons une réponse pour ce vendredi », ne nie pas J.-C. Plessis, « mais je n’en dirai pas plus pour ne pas donner de faux espoirs aux joueurs. »

Selon nos informations, seul le cas de Marcio sera examiné aujourd’hui. Ceux d’Abadie, Marcio et Betsch pourraient être traités ultérieurement. Après leurs désillusions de ces dernières heures, les joueurs se garderont de toute façon de nourrir les faux espoirs que veut leur épargner leur président.

Stéphane Godin
(1) Direction nationale du contrôle de gestion.
(2) Comité national olympique et sportif français.

Séb

le groupe de 16 joueurs pour le déplacement à Bastia samedi

Messagepar Séb » 03 sept. 2010, 08:50

le groupe de 16 joueurs pour le déplacement à Bastia samedi

Malgré l'actualité une nouvelle fois mouvementée du Racing en dehors du terrain, il y a tout de même un match de championnat ce samedi à 20h à Bastia pour le compte de la 5e journée de National.

Un match pour lequel l'entraîneur strasbourgeois Laurent Fournier a retenu un groupe de 16 joueurs qu'il a dévoilé aujourd'hui.

Le coach alsacien devra se passer des services de l'Altkirchois David Ledy, opéré de la main gauche cette semaine et remplacé par Victor Correia qui réapparait dans le groupe. Laurent Fournier a également fait appel à deux jeunes du centre de formation, Cyriaque Rivieyran et Brian Amofa.

F.R.

BASTIA - RACING, un match à vivre en direct samedi à 20h sur notre site internet en cliquant ICI.

Le groupe strasbourgeois : 1. Régis Gurtner (g), 16. Vauvenargues Kéhi (g), 18. Stéphane Pichot, 33. Cyriaque Rivieyran, 5. Francisco Donzelot, 6. Milovan Sikimic, 2. Julien Outrebon, 24. Tristan MBongo, 26. Loïc Damour, 7. Benjamin Genghini, 8. Alexis Peuget, 31. Brian Amofa, 14. Ali Mathlouthi, 11. Victor Correia, 22. Billy Ketkeophomphone, 9. Samir Hadji. Entraineur : Laurent Fournier

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champ d'or
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Re: [Fil rouge]Racing Club de Strasbourg

Messagepar champ d'or » 03 sept. 2010, 14:30

C'est marrant, sur les 3 photos on voit Plessis en situation active pendat que Witzel a l'air blasé. :-P

Faut avoir les nerfs solides pour bosser au RCS depuis 1 an !

Et rien ne sert d'urger le dossier de Yohan Betsch car à moins de se trouver un genou de rechange il ne jouera pas avant 2011.


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