Du moment que l'on sait que la maladie a des conséquences très variables en fonction de la catégorie d'âge à laquelle appartient le patient, on peut très bien réaliser une étude sur une partie ciblée de la population (par exemple, les plus de 60 ans).Dr.Oetker a écrit : C’est bien l’intérêt d’une étude clinique. Échantillonner les patients pour que ça soit le plus représentatif possible et étaler les essais dans le temps pour affiner les statistiques, le tout en suivant un protocole bien défini.
Une méthode scientifique quoi.
Le taux de mortalité du coronavirus étant très faible sur l'ensemble de la population, ce type d'étude sur un nombre limité de patient n'a pas beaucoup de sens. Il aurait mieux valu cibler (mais ce n'était probablement pas possible).
Dans l'étude, on est sur un taux de mortalité de 1,25 %. Si le patient encore en réanimation venait malheureusement à décéder, on serait à 2,5 % de mortalité. Ca reste très proche des chiffres actuels (sans ce traitement).