L'épiphore lalilaliesque du fameux poète messin Verlaine, euh pardon Yann's est bien plus sympathique et recherchée, au finalbelobog a écrit : Bon alors dans le style
Epiphore (substantif féminin), du grec epi (« en plus ») et pherein (« porter, répéter, ajouter ») : figure de style consistant en la répétition, à la fin de deux ou de plusieurs groupes de phrases ou de vers qui se succèdent, d'un même mot ou d'un même groupe de mots. Figure appartenant à la classe des répétitions, elle est l'équivalent symétrique de l'anaphore. Elle rythme la phrase, souligne un mot, une obsession, ou provoque un effet rythmique, d'où son utilisation fréquente en chanson.
Exemple (qui tend à prouver que le poète qui suit est surcoté et qu'il était juste fin nul en rimes)
« Longue comme des fils sans fin, la longue pluie
Interminablement, à travers le jour gris,
Ligne les carreaux verts avec ses longs fils gris,
Infiniment, la pluie,
La longue pluie,
La pluie. »
— Emile Verhaeren, La pluie (Les villages illusoires)
" Et ça fait clic
clic clic
bang bang
bang"