sebastien57950 a écrit :
Glouglou a écrit :
La finale étant le 25, possible que Luis Enrique laisse également quelques stars au repos ce weekend. Metz joue gros et mettra de l'impact quand Paris doit impérativement préserver ses forces vives. Et puis, s'il veut mobiliser tout son groupe, il doit absolument faire tourner. Imaginez, ça se trouve, Metz va jouer contre Kurzawa !
Metz mettra de l'impact ?
Espérons le ..
mais j'en doute. Ils vont verrouiller au max et procéder en contre dès qui peuvent et touchent le ballon..
Ce dernier match a Strasbourg où ils devaient mettre de l'impact car plus que primordial démontre (au delà des choix de l'entraîneur qui sont incompréhensible) que dès qu'ils sont sous pression ils fond bloqué bas de chez bas et compte sur le roi..
J'attends avec impatience la saison prochaine comme toujours depuis de nombreuses années en espérons des changements à tous les étages
On a marqué beaucoup de buts cette saison grâce à l'impact. C'est venu notamment de jean-Jacques ou de Ndoram qui peuvent parfois bousculer le milieu adverse et permettent ainsi de lancer les flèches. Cela fonctionne bien avec Mikautadze et fonctionne un peu moins (pour ne pas dire peu) avec VDK qui fait un tout droit et s'emmêle les pinceaux au moment de centrer ou tirer.
La stratégie est simple, tu délaisses le ballon, tu crées un entonnoir, tu encaisses les vagues, tu contres. Mais quand on met de l'impact un peu plus haut, par exemple lorsque Jean-Jacques fait du dépassement de fonction(s), tu récupères régulièrement le ballon. Ce qui donne la possibilité de contrer une équipe ayant pris l'habitude d'installer 7 ou 8 joueurs dans les 40 dernier mètres de la moitié de terrain messine.
C'est notre unique stratégie et que je pense que le groupe la maîtrise. Le souci, c'est qu'elle n'est pas en capacité de la mettre trop régulièrement en place avec un haut niveau d'intensité ET qu'il n'y a qu'une flèche qui coche la cible, alors qu'il en faudrait au moins une deuxième. Diallo commence à être cette seconde flèche et, niveau intelligence sans ballon et donc dans les courses, il est mille fois meilleur que VDK.
Face à Paris, Metz va attendre son adversaire et mettre de l'impact 4 ou 5 fois au cours de la partie. L'objectif sera de ne pas encaisser trop de buts, de rester compact et de jouer sur l'excès de confiance des centraux parisiens lorsqu'ils participeront à la construction au niveau de la ligne médiane. Jean-Jacques peut couper la passer entre un défenseur central et le premier milieu francilien, puis lancer très rapidement une contre-attaque. Si Metz sait manier une phase plutôt qu'une autre, c'est bien celle empruntant ce schéma.