Irréprochable et très apprécié dès son arrivée, Mutsch m'a personnellement beaucoup déçu, et, ne mérite plus de porter le maillot grenat, car, pour moi, dans la vidéo de Metz - Nîmes, il fait la "ola" avec les supporters à la fin, mais, il ne devrait pas, il n'a pas participer à cet exploit, il avait déjà la tête à Sion.
Je souhaite pas le malheur des gens, mais, une bonne leçon pour lui, ça le ferait réflechir peut-être...
Mario Mutsch: «Le FC Metz voulait profiter de moi»
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Re: Mario Mutsch: «Le FC Metz voulait profiter de moi»
Peut être parce que Benezet n'était pas là?Juanito57 a écrit : Irréprochable et très apprécié dès son arrivée, Mutsch m'a personnellement beaucoup déçu, et, ne mérite plus de porter le maillot grenat, car, pour moi, dans la vidéo de Metz - Nîmes, il fait la "ola" avec les supporters à la fin, mais, il ne devrait pas, il n'a pas participer à cet exploit, il avait déjà la tête à Sion.
Re: Mario Mutsch: «Le FC Metz voulait profiter de moi»
C'est ce qui arrive lorsque l'on confond vitesse et précipitation!champ d'or a écrit :Surtout qu'il aurait pu se renseigner sur la situation de son nouveau club avant de s'étaler dans la presse. Peut être que BS l'aurait accepté dans l'effectif qui sait...Macheda a écrit : Certes, maintenant les déclarations de Mutsch depuis janvier, sa manière de vouloir quitter le navire en plein orage sans le moindre respect de ceux qui l'ont sorti d'un championnat sans âme, sans parler de la qualité de son jeu avec le frein à main (remember Metz-Grenoble) ne laissent pas beaucoup de place à la compassion
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Re: Mario Mutsch: «Le FC Metz voulait profiter de moi»
Football/Mario Mutsch: «Je sais que j'ai fait le bon choix»27/06/2011
Alors que le championnat suisse reprend dans trois semaines, «Super Mario» est en train de se faire sa place au FC Sion, sereinement et avec un appétit gros comme ça.
Comment s'est passée cette semaine de stage en Italie?
Mario Mutsch: On est partis enItalie, à Aoste, du lundi au vendredi. On s'est entraînés trois fois le lundi, pareil le mardi, et les deux jours suivants, on avait un entraînement de moins. Le matin, c'était uniquement physique. Des séances de trente minutes de course, ou bien des 1500 mètres, des 1000 mètres. Oui, une grosse charge de travail. C'est mon premier jour de repos depuis dix jours. Au niveau de l'intégration, je n'ai pas de problème. Ce n'est pas la première fois que je me retrouve dans une telle situation. Alors voilà, il faut à nouveau faire ses preuves, mais c'est la règle du jeu quand on arrive dans un nouveau club.
Vous avez été titularisé lors des deux matches amicaux que le club a disputés pour l'instant. À chaque fois au milieu de terrain. C'est à ce poste que votre coach Laurent Roussey compte vous utiliser?
Contre Lausanne (2-2), j'ai joué milieu gauche dans un 4-4-2. Le coach fait jouer tout le monde, il fait tourner toute l'équipe à la mi-temps. J'ai donc disputé deux fois quarante-cinq minutes. Contre Yverdon (4-0), on jouait en 3-5-2 en milieu droit. C'était très... différent. Tout seul dans le couloir, sachant qu'il y avait trois milieux axiaux et qu'on était à trois derrière, je devais beaucoup défendre. J'ai dit au coach que je pouvais jouer défenseur ou milieu, dans n'importe quel couloir.
Vous lui avez dit que vous préférez jouer au milieu?
(il rit) Je ne vais pas lui mentir! On s'est entretenu tous les deux, il m'a demandé quel était mon poste, où j'avais envie de jouer, tout ça. Il m'a dit qu'on allait faire des essais et que je ne m'inquiète pas si j'étais trimbalé de poste en poste, lui, il doit trouver l'endroit où je serai le plus utile à l'équipe. Je lui ai dit qu'à Metz, j'avais surtout joué défenseur, ça ne sert à rien de commencer à mentir. Et puis, ma polyvalence, je suis habitué à vivre avec. La seule chose que j'ai à faire, c'est montrer à chaque entraînement que j'ai envie de jouer.
Sachant que Laurent Roussey est arrivé à Sion en février, un mois après que vous avez signé, comment vivez-vous le fait de débarquer dans un club où l'entraîneur ne vous a pas choisi?
Quand j'étais à Aarau (2007-2009), j'ai connu quatre entraîneurs en une saison. À Metz aussi, il y a eu un changement de coach. Je ne vais pas dire que c'est une routine, mais ça fait partie du foot. Même si j'avais un bon contact avec Bernard Challandes (NDLR: entraîneur remercié quelques semaines après la signature de Mutsch en janvier dernier), au fond, cela ne change pas grand-chose. Si Challandes était resté, j'aurais quand même dû faire mes preuves. J'ai signé au FC Sion parce que c'est un club ambitieux, et pas pour le nom d'un entraîneur.
Parlons justement des ambitions du club. Gabri (112 matches avec le FC Barcelone, 118 avec l'Ajax Amsterdam) a signé. Pascal Feindouno est à l'essai... Le club s'est donné les moyens de réaliser une grosse saison...
On a un effectif qui est franchement d'une très bonne qualité. Avant de savoir ce qu'on va faire, il y a un premier objectif élevé qui est de passer le barrage d'Europa League et d'entrer dans la phase de groupes. Je sais que j'ai fait le bon choix en venant ici car il y a de gros objectifs. Quand j'ai signé à Metz, c'était pareil, on visait la montée en Ligue 1. Bon, la deuxième année, les objectifs n'étaient plus vraiment les mêmes... Si tu regardes notre effectif à Sion, tu comprends que c'est du sérieux. Des gars qui viennent de l'Ajax Amsterdam, de Heerenveen et d'autres clubs de ce genre, tu sais qu'ils ne viennent pas pour se tourner les pouces, mais parce qu'il y a de belles choses à faire. Quand tu vois Obradovic, notre capitaine, il a 35 ans, mais tu comprends ce qu'est le club.
Vous avez aussi une belle carte à jouer en Coupe, où le club est tenant du titre...
Certains joueurs l'ont gagnée trois fois avec Sion (NDLR : vainqueur en 2006, 2009, 2011). Ça ne me dérangerait pas d'en gagner une avec eux! Mes coéquipiers l'ont gagnée lors de la dernière saison et je crois qu'ils n'ont pas envie de la redonner! Mais vraiment, ici, on parle surtout pour l'instant de se qualifier pour les poules de l'Europa League.
Comment appréhendez-vous la concurrence?
On s'entraîne à 25, 26 joueurs. Mon but, c'est aussi de me faire accepter par mes coéquipiers, puisque je suis nouveau. Me faire accepter et me faire respecter. Il faut que je montre à mes partenaires ce que je vaux. L'intégration, elle se fait avant tout sur le terrain. Pour me faire respecter, il faut que les gens voient que je suis bon. Après, la concurrence, c'est ce qui a guidé le recrutement du club. Tous les postes sont doublés.
Même si vous n'êtes à Sion que depuis dix jours, comment vous adaptez-vous à la ville?
Pour l'instant, c'est assez simple: on n'a fait que s'entraîner! Je dors à l'hôtel, pas loin de Sion. Le club a recruté six joueurs mais aucun n'est encore parti. Pour l'appart', ça bloque un peu. Mais on se charge de m'en trouver un. Ça aussi, je l'ai déjà vécu à Metz, où j'avais vécu un mois dans un hôtel avant d'emménager. Mais je ne panique pas pour ça.
Source: L'Essentiel
Alors que le championnat suisse reprend dans trois semaines, «Super Mario» est en train de se faire sa place au FC Sion, sereinement et avec un appétit gros comme ça.
Comment s'est passée cette semaine de stage en Italie?
Mario Mutsch: On est partis enItalie, à Aoste, du lundi au vendredi. On s'est entraînés trois fois le lundi, pareil le mardi, et les deux jours suivants, on avait un entraînement de moins. Le matin, c'était uniquement physique. Des séances de trente minutes de course, ou bien des 1500 mètres, des 1000 mètres. Oui, une grosse charge de travail. C'est mon premier jour de repos depuis dix jours. Au niveau de l'intégration, je n'ai pas de problème. Ce n'est pas la première fois que je me retrouve dans une telle situation. Alors voilà, il faut à nouveau faire ses preuves, mais c'est la règle du jeu quand on arrive dans un nouveau club.
Vous avez été titularisé lors des deux matches amicaux que le club a disputés pour l'instant. À chaque fois au milieu de terrain. C'est à ce poste que votre coach Laurent Roussey compte vous utiliser?
Contre Lausanne (2-2), j'ai joué milieu gauche dans un 4-4-2. Le coach fait jouer tout le monde, il fait tourner toute l'équipe à la mi-temps. J'ai donc disputé deux fois quarante-cinq minutes. Contre Yverdon (4-0), on jouait en 3-5-2 en milieu droit. C'était très... différent. Tout seul dans le couloir, sachant qu'il y avait trois milieux axiaux et qu'on était à trois derrière, je devais beaucoup défendre. J'ai dit au coach que je pouvais jouer défenseur ou milieu, dans n'importe quel couloir.
Vous lui avez dit que vous préférez jouer au milieu?
(il rit) Je ne vais pas lui mentir! On s'est entretenu tous les deux, il m'a demandé quel était mon poste, où j'avais envie de jouer, tout ça. Il m'a dit qu'on allait faire des essais et que je ne m'inquiète pas si j'étais trimbalé de poste en poste, lui, il doit trouver l'endroit où je serai le plus utile à l'équipe. Je lui ai dit qu'à Metz, j'avais surtout joué défenseur, ça ne sert à rien de commencer à mentir. Et puis, ma polyvalence, je suis habitué à vivre avec. La seule chose que j'ai à faire, c'est montrer à chaque entraînement que j'ai envie de jouer.
Sachant que Laurent Roussey est arrivé à Sion en février, un mois après que vous avez signé, comment vivez-vous le fait de débarquer dans un club où l'entraîneur ne vous a pas choisi?
Quand j'étais à Aarau (2007-2009), j'ai connu quatre entraîneurs en une saison. À Metz aussi, il y a eu un changement de coach. Je ne vais pas dire que c'est une routine, mais ça fait partie du foot. Même si j'avais un bon contact avec Bernard Challandes (NDLR: entraîneur remercié quelques semaines après la signature de Mutsch en janvier dernier), au fond, cela ne change pas grand-chose. Si Challandes était resté, j'aurais quand même dû faire mes preuves. J'ai signé au FC Sion parce que c'est un club ambitieux, et pas pour le nom d'un entraîneur.
Parlons justement des ambitions du club. Gabri (112 matches avec le FC Barcelone, 118 avec l'Ajax Amsterdam) a signé. Pascal Feindouno est à l'essai... Le club s'est donné les moyens de réaliser une grosse saison...
On a un effectif qui est franchement d'une très bonne qualité. Avant de savoir ce qu'on va faire, il y a un premier objectif élevé qui est de passer le barrage d'Europa League et d'entrer dans la phase de groupes. Je sais que j'ai fait le bon choix en venant ici car il y a de gros objectifs. Quand j'ai signé à Metz, c'était pareil, on visait la montée en Ligue 1. Bon, la deuxième année, les objectifs n'étaient plus vraiment les mêmes... Si tu regardes notre effectif à Sion, tu comprends que c'est du sérieux. Des gars qui viennent de l'Ajax Amsterdam, de Heerenveen et d'autres clubs de ce genre, tu sais qu'ils ne viennent pas pour se tourner les pouces, mais parce qu'il y a de belles choses à faire. Quand tu vois Obradovic, notre capitaine, il a 35 ans, mais tu comprends ce qu'est le club.
Vous avez aussi une belle carte à jouer en Coupe, où le club est tenant du titre...
Certains joueurs l'ont gagnée trois fois avec Sion (NDLR : vainqueur en 2006, 2009, 2011). Ça ne me dérangerait pas d'en gagner une avec eux! Mes coéquipiers l'ont gagnée lors de la dernière saison et je crois qu'ils n'ont pas envie de la redonner! Mais vraiment, ici, on parle surtout pour l'instant de se qualifier pour les poules de l'Europa League.
Comment appréhendez-vous la concurrence?
On s'entraîne à 25, 26 joueurs. Mon but, c'est aussi de me faire accepter par mes coéquipiers, puisque je suis nouveau. Me faire accepter et me faire respecter. Il faut que je montre à mes partenaires ce que je vaux. L'intégration, elle se fait avant tout sur le terrain. Pour me faire respecter, il faut que les gens voient que je suis bon. Après, la concurrence, c'est ce qui a guidé le recrutement du club. Tous les postes sont doublés.
Même si vous n'êtes à Sion que depuis dix jours, comment vous adaptez-vous à la ville?
Pour l'instant, c'est assez simple: on n'a fait que s'entraîner! Je dors à l'hôtel, pas loin de Sion. Le club a recruté six joueurs mais aucun n'est encore parti. Pour l'appart', ça bloque un peu. Mais on se charge de m'en trouver un. Ça aussi, je l'ai déjà vécu à Metz, où j'avais vécu un mois dans un hôtel avant d'emménager. Mais je ne panique pas pour ça.
Source: L'Essentiel
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Re: Mario Mutsch: «Le FC Metz voulait profiter de moi»
get_up_kids a écrit : Le club a recruté six joueurs mais aucun n'est encore parti.

- champ d'or
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Re: Mario Mutsch: «Le FC Metz voulait profiter de moi»
Aucun départ n'a été enregistré pour compenser les 6 arrivées, donc le groupe est très étoffé.pierrot57 a écrit :get_up_kids a écrit : Le club a recruté six joueurs mais aucun n'est encore parti.
- Fred
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Re: Mario Mutsch: «Le FC Metz voulait profiter de moi»
Ou comment avoir une ambiance de plus en plus tendue...
Si pas de départ, pas de signature officielle.
Je pense que sur leurs 6 recrues 2 ou 3 au moins vont devoir se chercher un autre employeur.
Si pas de départ, pas de signature officielle.
Je pense que sur leurs 6 recrues 2 ou 3 au moins vont devoir se chercher un autre employeur.
- Hooper
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Re: Mario Mutsch: «Le FC Metz voulait profiter de moi»
Pour l'instant aucune des 6 recrues ne peuvent etre qualifiées.
"Sion a donc recruté six joueurs [...] Vendredi, la SFL a tranché: les six recrues du club valaisan ne seront pas qualifiées avant janvier 2012."
http://www.eurosport.fr/football/transf ... tory.shtml
"Sion a donc recruté six joueurs [...] Vendredi, la SFL a tranché: les six recrues du club valaisan ne seront pas qualifiées avant janvier 2012."
http://www.eurosport.fr/football/transf ... tory.shtml
- get_up_kids
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- Localisation : Entre Metz et Thionville
Re: Mario Mutsch: «Le FC Metz voulait profiter de moi»
Quand je lis ça, et que je lis le titre de ce sujet, j'ai comme une envie de rire.Hooper a écrit :Pour l'instant aucune des 6 recrues ne peuvent etre qualifiées.
"Sion a donc recruté six joueurs [...] Vendredi, la SFL a tranché: les six recrues du club valaisan ne seront pas qualifiées avant janvier 2012."
http://www.eurosport.fr/football/transf ... tory.shtml

C'est vrai que c'est le FC Metz qui le fait s'entrainer depuis un mois en sachant qu'il ne sera pas forcément qualifié pouer jouer cette saison.
On est vraiment des pofiteurs au FC Metz à faire signer des contrats pas forcément mirobolants mais h*qu'on honore, plutôt que de promettre des grosses sommes qu'on n'honorera pas.

- Fred
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Re: Mario Mutsch: «Le FC Metz voulait profiter de moi»
Et oui ils sont nombreux ces joueurs à croire que l'herbe est plus verte ailleurs.
Ribery quelque part s'était fait avoir aussi. Sa chance aura été un Jeannot Fernandez arrivé aux commandes de l'OM.
Il faut dire qu'il avait un peu plus de football et d'avenir dans les pieds que le petit Mario...
Ribery quelque part s'était fait avoir aussi. Sa chance aura été un Jeannot Fernandez arrivé aux commandes de l'OM.
Il faut dire qu'il avait un peu plus de football et d'avenir dans les pieds que le petit Mario...
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