J'ai du mal à comprendre comment certains se permettent de commenter l'éviction de Cartier, alors qu' à l'époque ils faisaient encore pipi dans leur culotte.
Cartier a fait partie d'un nombre important de joueurs (puis coach) qui ont voyagé de Nancy à Metz ou l'inverse, cette époque ou le football était plus important que l'argent
A cette époque, pas de portables ni d'internet, pas de commentaires pourriss de journaleux, pour ne parler que des grands clubs d’Europe (soit disant).
Mes premiers matchs à st. symphorien: il y avait de l'ambiance (Manolo avec sa grosse caisse, le suiveur avec sa charrette pleine de batteries avec des klaxons, la tribune en bois et les 2 virages découverts (qui s'appelaient les secondes)
D'autres personnes sur ce forum, connaissent cette époque et bien sur, en lisant les commentaires de certains, doivent se retenir pour ne pas dire de bêtises qui va les emmenaient droit à Banny
Cordialement, un supporter du FC metz depuis 42 ans.
Posez vos question à Albert Cartier dans le Graoully Mag !
-
- Messages : 237
- Inscription : 11 janv. 2011, 21:20
- drac
- Messages : 15992
- Inscription : 27 août 2009, 00:03
- Localisation : Metz Queuleu avec vue sur mon église du Sablon
Re: Posez vos question à Albert Cartier dans le Graoully Mag !
T'as quel âge mon garçon ?AFC13 a écrit :J'ai du mal à comprendre comment certains , se permettent de commenter l'éviction de Cartier, alors qu' à l'époque ils faisaient encore Pipi dans leurs culottes.
Cartier a fait parti d'un nombre important de joueurs (puis coach) qui ont voyagé de Nancy à Metz ou l'inverse, cette époque ou le football était plus important que l'argent
A cette époque, pas de portables ni d'internet, pas de commentaires pourri de journaleux, pour ne parler que des grands clubs d’Europe (soit disant).
Mes premiers matchs à st. symphorien: il y avait de l'ambiance (Manolo avec sa grosse caisse, le suiveur avec sa charrette pleine de batteries avec des klaxons, la tribune en bois et les 2 virages découvert (qui s'appelait les secondes)
D'autres personnes sur ce forum, connaissent cette époque et bien sur, en lisant les commentaires de certains, ils doivent se retenir pour ne pas dire de bêtises qui va les emmenaient droit à Banny
Cordialement, un supporter du FC metz depuis 42 ans.
- gauloiskiki
- Messages : 8514
- Inscription : 05 août 2010, 00:19
Re: Posez vos question à Albert Cartier dans le Graoully Mag !
Merci pour ton lien très intéressant. Je le met de côté !olis57 a écrit :C'est là : http://www.classementligue1.fr/2ifoot/a ... edition=72
Il est licencié après Troyes-Metz, se retrouve 16ème (sur 18, mais 2 relégués seulement)
Gilbert Gress arrive après Bastia-Metz
Par contre, là où tu te trompes c'est que Cartier n'a pas été licencié le 16 mais le 20 janvier au lendemain de la défaite à Libourne en Coupe de France et entre temps, Sedan qui était dernier a gagné un match en retard contre Lyon et nous est passé devant.
Nous étions donc bien relégable le jour où Cartier a été mis à la porte même si il est vrai que nous avions des matchs en retard par rapport aux équipes situés juste au dessus de nous.
- Straight Outta Metz
- Messages : 3014
- Inscription : 27 août 2009, 06:16
Re: Posez vos question à Albert Cartier dans le Graoully Mag !
Albert,tu es le seul et unique entraineur au monde à avoir titularisé Mario Epartero en D1.
Dis nous ce qu'il se passe dans la tête d'un entraineur quand il fait ça
Dis nous ce qu'il se passe dans la tête d'un entraineur quand il fait ça
- gauloiskiki
- Messages : 8514
- Inscription : 05 août 2010, 00:19
Re: Posez vos question à Albert Cartier dans le Graoully Mag !
Cartier a été évincé en 2002, c'était il y a 10 ans donc le privilège d'avoir connu cette période n'est pas réservé à ceux qui aujourd'hui font à nouveau pipi dans leur culotte !AFC13 a écrit :J'ai du mal à comprendre comment certains se permettent de commenter l'éviction de Cartier, alors qu' à l'époque ils faisaient encore pipi dans leur culotte.
Cartier a fait partie d'un nombre important de joueurs (puis coach) qui ont voyagé de Nancy à Metz ou l'inverse, cette époque ou le football était plus important que l'argent
A cette époque, pas de portables ni d'internet, pas de commentaires pourriss de journaleux, pour ne parler que des grands clubs d’Europe (soit disant).
Mes premiers matchs à st. symphorien: il y avait de l'ambiance (Manolo avec sa grosse caisse, le suiveur avec sa charrette pleine de batteries avec des klaxons, la tribune en bois et les 2 virages découverts (qui s'appelaient les secondes)
D'autres personnes sur ce forum, connaissent cette époque et bien sur, en lisant les commentaires de certains, doivent se retenir pour ne pas dire de bêtises qui va les emmenaient droit à Banny
Cordialement, un supporter du FC metz depuis 42 ans.
- Amos
- Modérateur
- Messages : 20339
- Inscription : 29 juil. 2009, 00:01
- Localisation : Au coin du bar
Re: Posez vos question à Albert Cartier dans le Graoully Mag !
Un article de France Foot de mai 2002, on peut y trouver de quoi faire pipi dans la culotte ! ?
...Razurel : « Sous ses dehors sympas, le président sait aussi trancher et se montrer intraitable.
Contrairement à ce que certains pensent , je ne suis pas le coupeur de têtes du club, et lui n’est pas
non plus le gentil monsieur qui dit oui à tout … » Brouillés l’espace de quelques semaines lors du renvoi
chahuté de Joël Muller voilà un an au point que le bras droit, accusé d'en être l'instigateur, offrit, sa
démission à son supérieur , les deux hommes finissent toutefois toujours par se rejoindre. Comme en
début de saison, lorsqu'ils décidèrent, avec le reste du conseil d'administration, de lâcher du lest à Albert Cartier.
Longtemps rétif à toute opération de dépenses massives, le président Molinari, sans doute rasséréné par la
bonne fin de saison 2000-01 des troupes de Cartier (agrémentée par le doublé inédit des jeunes :
champions de France des 17 ans et vainqueurs de la Coupe Gambardella), s'est ainsi laissé convaincre par son
nouvel entraîneur de délier sa bourse au-delà du raisonnable. « Je ne sais pas encore comment il s'y est pris,
mais Albert a réussi à me faire changer mon approche l'été dernier. Si, jusqu'alors, je me refusais à spéculer
sur les résultats à venir pour investir au-delà de mes moyens, là, je reconnais que j'ai cédé.
Je me suis dit tout d'un coup : " Et si c'était lui finalement qui avait raison? Et si c'était la solution pour repartir ? "
Résultat : le renouvellement des contrats de Régis, Meyrieu et Baticle - réclamé par le coach d'alors pour stabiliser
l'effectif - ainsi que les contrats de deux ans proposés à plusieurs jeunes du groupe - Cartier avait toutefois demandé
des périodes de quatre ans - entraînent de facto une augmentation de la masse salariale de 30 %, au point que celle-ci
représente pratiquement 80 % du budget, au lieu des 65 % habituels. Conscient des risques encourus, Molinari prévient alors son entraîneur sur le ton de la boutade : « Albert, tu es en train de me faire acheter une Ferrari alors que je ne suis qu'un smicard! », S'il enrobe son adhésion de quelques réserves - il maintient, par exemple, Cartier dans un statut d'adjoint, sans doute pour éviter d'avoir à régler de trop grosses indemnités en cas de faillite du projet-, Carlo Molinari se lance dans l'aventure.
Car le président est finalement convaincu par le long exposé de Cartier, époustouflant de persuasion lors de la
présentation de son projet l'été dernier devant les membres, charmés, du conseil. « Cette équipe va gagner quelque chose.
Je ne peux pas dire quoi, mais j'en suis sûr : une Coupe de France, une Coupe de la Ligue, une place européenne. »
« Il ne m'a pas dit qu'on allait être champion, se flagellerait presque Carlo Molinari, mais c'était moins deux!
Finalement, nous n'avons jamais été aussi dépensiers, mais nous avons surtout manqué de modestie l'espace de
quelques instants. On a abandonné notre bon sens durant quelques moments, en voulant jouer les beaux et en visant
trop haut. Voilà où cela nous a menés... » Avec cette manœuvre, qui ressemblait beaucoup à une opération de la
dernière chance, le FCM n'a fait qu'accentuer son malaise. Le sauvetage s'est transformé en naufrage, mettant
notamment en péril les caisses du club. Une dérive financière - débouchant sur un trou de trésorerie de quelque
6 M€ pour l'instant - accentuée par l'indigence des recettes provenant des transferts, puisque aucun joueur n'a pu être
cédé depuis Letizi, voilà dix-huit mois maintenant. Sans compter que le club s'échine actuellement à trouver une solution à l'amiable et à moindre frais avec Cartier, toujours salarié du club pour encore trois ans et demi...
CARTIER PERD LE CONTRÔLE DES TROUPES. Malheureusement pour le FCM, les difficultés ne se limitent pas au
bilan économique. Côté disciplinaire, quelques égarements sont venus ces derniers temps ternir la bonne image du club.
Comme si une autre époque, avec ses nouvelles (mauvaises) manières, apparaissait du côté de Saint-Symphorien.
Dans son désir marqué de rompre avec les méthodes de son prédécesseur, Albert Cartier, qui n'a pas souhaité s'exprimer
sur le sujet, a relâché la discipline avec ses joueurs en tentant le pari de la responsabilisation et de la permissivité.
« C'est évident que certains, des jeunes surtout, ont profité de la situation, admet Meyrieu. Ils ont cru que cet entraîneur-copain allait tout leur laisser passer, Tout le monde n' a pas été très responsable sur ce coup-là. » Résultat. : quelques dérives comportementales sont venues parasiter la vie du groupe.
Comme les écarts du jeune Espartero (prêté depuis à Bolton),talentueux cabochard admettant de plus en plus
difficilement son statut de remplaçant, et qui finit même un jour sur le bord d'une route, abandonné par un des
médecins du club lassé des nombreuses réflexions déplacées proférées par le petit caïd au retour d'une radio.
Un épisode tragi-comique qui traduit un peu l'ambiance délitée, si loin de l'atmosphère ouatée réclamée par le
président Molinari, celui-là même qui avait - vainement - demandé à Meyrieu de se couper
les cheveux avant son arrivée en Lorraine afin de ne pas donner un « mauvais genre » à son équipe !

...Razurel : « Sous ses dehors sympas, le président sait aussi trancher et se montrer intraitable.
Contrairement à ce que certains pensent , je ne suis pas le coupeur de têtes du club, et lui n’est pas
non plus le gentil monsieur qui dit oui à tout … » Brouillés l’espace de quelques semaines lors du renvoi
chahuté de Joël Muller voilà un an au point que le bras droit, accusé d'en être l'instigateur, offrit, sa
démission à son supérieur , les deux hommes finissent toutefois toujours par se rejoindre. Comme en
début de saison, lorsqu'ils décidèrent, avec le reste du conseil d'administration, de lâcher du lest à Albert Cartier.
Longtemps rétif à toute opération de dépenses massives, le président Molinari, sans doute rasséréné par la
bonne fin de saison 2000-01 des troupes de Cartier (agrémentée par le doublé inédit des jeunes :
champions de France des 17 ans et vainqueurs de la Coupe Gambardella), s'est ainsi laissé convaincre par son
nouvel entraîneur de délier sa bourse au-delà du raisonnable. « Je ne sais pas encore comment il s'y est pris,
mais Albert a réussi à me faire changer mon approche l'été dernier. Si, jusqu'alors, je me refusais à spéculer
sur les résultats à venir pour investir au-delà de mes moyens, là, je reconnais que j'ai cédé.
Je me suis dit tout d'un coup : " Et si c'était lui finalement qui avait raison? Et si c'était la solution pour repartir ? "
Résultat : le renouvellement des contrats de Régis, Meyrieu et Baticle - réclamé par le coach d'alors pour stabiliser
l'effectif - ainsi que les contrats de deux ans proposés à plusieurs jeunes du groupe - Cartier avait toutefois demandé
des périodes de quatre ans - entraînent de facto une augmentation de la masse salariale de 30 %, au point que celle-ci
représente pratiquement 80 % du budget, au lieu des 65 % habituels. Conscient des risques encourus, Molinari prévient alors son entraîneur sur le ton de la boutade : « Albert, tu es en train de me faire acheter une Ferrari alors que je ne suis qu'un smicard! », S'il enrobe son adhésion de quelques réserves - il maintient, par exemple, Cartier dans un statut d'adjoint, sans doute pour éviter d'avoir à régler de trop grosses indemnités en cas de faillite du projet-, Carlo Molinari se lance dans l'aventure.
Car le président est finalement convaincu par le long exposé de Cartier, époustouflant de persuasion lors de la
présentation de son projet l'été dernier devant les membres, charmés, du conseil. « Cette équipe va gagner quelque chose.
Je ne peux pas dire quoi, mais j'en suis sûr : une Coupe de France, une Coupe de la Ligue, une place européenne. »
« Il ne m'a pas dit qu'on allait être champion, se flagellerait presque Carlo Molinari, mais c'était moins deux!
Finalement, nous n'avons jamais été aussi dépensiers, mais nous avons surtout manqué de modestie l'espace de
quelques instants. On a abandonné notre bon sens durant quelques moments, en voulant jouer les beaux et en visant
trop haut. Voilà où cela nous a menés... » Avec cette manœuvre, qui ressemblait beaucoup à une opération de la
dernière chance, le FCM n'a fait qu'accentuer son malaise. Le sauvetage s'est transformé en naufrage, mettant
notamment en péril les caisses du club. Une dérive financière - débouchant sur un trou de trésorerie de quelque
6 M€ pour l'instant - accentuée par l'indigence des recettes provenant des transferts, puisque aucun joueur n'a pu être
cédé depuis Letizi, voilà dix-huit mois maintenant. Sans compter que le club s'échine actuellement à trouver une solution à l'amiable et à moindre frais avec Cartier, toujours salarié du club pour encore trois ans et demi...
CARTIER PERD LE CONTRÔLE DES TROUPES. Malheureusement pour le FCM, les difficultés ne se limitent pas au
bilan économique. Côté disciplinaire, quelques égarements sont venus ces derniers temps ternir la bonne image du club.
Comme si une autre époque, avec ses nouvelles (mauvaises) manières, apparaissait du côté de Saint-Symphorien.
Dans son désir marqué de rompre avec les méthodes de son prédécesseur, Albert Cartier, qui n'a pas souhaité s'exprimer
sur le sujet, a relâché la discipline avec ses joueurs en tentant le pari de la responsabilisation et de la permissivité.
« C'est évident que certains, des jeunes surtout, ont profité de la situation, admet Meyrieu. Ils ont cru que cet entraîneur-copain allait tout leur laisser passer, Tout le monde n' a pas été très responsable sur ce coup-là. » Résultat. : quelques dérives comportementales sont venues parasiter la vie du groupe.
Comme les écarts du jeune Espartero (prêté depuis à Bolton),talentueux cabochard admettant de plus en plus
difficilement son statut de remplaçant, et qui finit même un jour sur le bord d'une route, abandonné par un des
médecins du club lassé des nombreuses réflexions déplacées proférées par le petit caïd au retour d'une radio.
Un épisode tragi-comique qui traduit un peu l'ambiance délitée, si loin de l'atmosphère ouatée réclamée par le
président Molinari, celui-là même qui avait - vainement - demandé à Meyrieu de se couper
les cheveux avant son arrivée en Lorraine afin de ne pas donner un « mauvais genre » à son équipe !
- Straight Outta Metz
- Messages : 3014
- Inscription : 27 août 2009, 06:16
Re: Posez vos question à Albert Cartier dans le Graoully Mag !
Cartier n'est pas viré aprés Troyes-Metz,mais au lendemin de la défaite en CDF à Libourneolis57 a écrit :C'est là : http://www.classementligue1.fr/2ifoot/a ... edition=72
Il est licencié après Troyes-Metz, se retrouve 16ème (sur 18, mais 2 relégués seulement)
Gilbert Gress arrive après Bastia-Metz
et oui quand il est viré on est pas reléguable,mais on a la plus faible attaque de D1
- gauloiskiki
- Messages : 8514
- Inscription : 05 août 2010, 00:19
Re: Posez vos question à Albert Cartier dans le Graoully Mag !
Si on était bien relégable.
- Straight Outta Metz
- Messages : 3014
- Inscription : 27 août 2009, 06:16
Re: Posez vos question à Albert Cartier dans le Graoully Mag !
non
on etait 16iéme
et aprés vérification,y'a jamais eu de Sedan-Lyon en match en retard
on etait 16iéme
et aprés vérification,y'a jamais eu de Sedan-Lyon en match en retard
Dernière modification par Straight Outta Metz le 03 janv. 2012, 21:45, modifié 2 fois.
-
- Messages : 9531
- Inscription : 06 juin 2010, 20:58
- Localisation : Forumiste d'Argent censuré .
Re: Posez vos question à Albert Cartier dans le Graoully Mag !
Personne ici n'a oublié l'intraitable stoppeur que vous étiez , vous avez marqué l'histoire du club par vos exploits sur le terrain et par votre mentalité de gagneur que vous saviez communiquer a vos partenaires.
Avez vous toujours des problèmes pour remonter vos chaussettes ?
Avez vous toujours des problèmes pour remonter vos chaussettes ?
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : _Chris., Babacar_G, ChickpeasAndLove, flamingo, Kaiserinho, Le Duc, Oliiviier57, Serval, Sovak, tihoti, totof573, Whiteganda81 et 713 invités