Petite rectification, Oumar Sissoko n'est plus décisif, même si je ne suis pas totalement d'accord avec ton analyse.HAMP a écrit :Eh bien, notre brave "Oumar nous a tuer" en nous faisant perdre clairement 4 points :
- contre Clermont, où, sur le 2ème but, il est déjà pratiquement à terre alors que l'attaquant adverse n'a pas encore allumé... (adversaire, soit-dit en passant, qui se "permet" encore de + fermer son angle de tir en mystifiant littéralement Guerriero, côté fermé, svp- (au fait, quel âge il a, ce dernier, pour se faire moucher comme ça : 50 ans, ou + ???)-. Donc, si ce brave Oumar s'était simplement tenu debout au pied de son poteau, comme tout gardien normal est sensé faire, le ballon parvenait tranquillement dans ses bras...
- contre Le Havre, où il plonge moitié avec son corps, moitié avec ses yeux, au point que son partenaire de la défense ne sait visiblement quoi faire, si ce n'est constater les dégâts après ce joli cadeau pré-emballé signé à nouveau Oumar...
Désolé, le constat est cruel, mais bien réel : Sissoko n'est pas décisif... Car avec 4 points de +, on ne naviguerait pas en eaux troubles comme on est en train de le faire en ce moment ; au risque de plonger définitivement, en cas de récidives.
Je trouve Oumar Sissoko plus hesitant lors des débuts de matchs, comme face à Clermont et au Havre comme tu l'as souligné. Il hesite à sortir, ne sait pas trop ou se placer depuis qu'il a repris son poste.
Mais ça n'enlève pas son talent, et d'ailleurs, tu oublies que face à Clermont, il nous doit peut-être un but (quoique la défense le lache aussi), mais il nous en sauve deux en seconde période, donc ne mettons pas plus la pression qu'il y a déjà assez sur nos joueurs.
Et puis, on s'en sort pas trop mal face à Clermont en se prenant 2 buts en 30 minutes (bien sûr qu'en regardant tout le match, Metz méritait pas de perde, mais sur la physionomie du match, j'aurai signé tout de suite pour un nul à la 30').
Et pareil face au Havre, ou on se prend un but dès l'entame de match pour égaliser dans les derniers instants sans non plus dominer à fond le match.