R.L. du 14/04/2012 - Metz dans le rouge
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R.L. du 14/04/2012 - Metz dans le rouge
En s’inclinant pour la septième fois cette saison à domicile, hier face à Monaco (0-2), les Messins, inefficaces devant les buts, endossent l’inconfortable panoplie de relégable.
Hier soir, face à Monaco, les Messins ont fait la douloureuse expérience de la froide réussite d’une équipe en pleine confiance. Une occasion et demie, deux buts. Avec l’aide, il est vrai, d’une défense particulièrement attentiste dans les deux cas. C’était pourtant sur une présence irréprochable dans l’une de ces zones, dites de vérité, que Dominique Bijotat avait axé son discours à la veille de cette rencontre. Las, son équipe a, une nouvelle fois, « offert » deux buts à son adversaire. En laissant tout d’abord le vétéran Ludovic Giuly glisser le ballon dans les filets d’Oumar Sissoko qui venait de repousser une frappe de Germain sans que personne ne réagisse côté lorrain (0-1, 7 e). Puis en laissant tout le loisir à Salli, à peine entré en jeu, de fusiller le gardien messin à bout portant (0-2, 85 e)
Deux errances, en tout début et en toute fin de match, qui coûtent très très cher. Car ce matin, le FC Metz, dix-huitième, s’est réveillé dans la peau d’un relégable à égalité de points avec Le Havre, mais surtout avec deux unités de retard sur Le Mans, vainqueur d’Amiens sur le fil (3-2). Un statut qui pendait au nez de Ludovic Guerriero et de ses partenaires depuis de longues semaines. Le mal est donc fait.
Une évidence au regard de la rencontre d’hier soir ? Oui puisque l’équipe de Dominique Bijotat, remaniée dans les grandes largeurs en raison des absences des uns et des autres (avec un duo inédit et inexpérimenté dans l’axe central) et selon le vœu de l’entraîneur messin, a été incapable de concrétiser ses temps forts. Et non, car le FC Metz a eu ce petit soupçon d’orgueil d’une équipe qui lutte pour sa survie en Ligue 2. Ce supplément d’âme qui avait fait tant défaut la semaine passée à Amiens. Mais un sursaut. Rien de plus…
Des occasions, en vain
Car se retrancher derrière le fait que les Messins ont produit, hier, une prestation plus digeste ne change rien au problème. Dans leur situation, il n’est plus question de s’en satisfaire. Non. Certes, ces derniers ont eu le monopole du ballon. La belle affaire… Oui, ils ont même fait trembler les poteaux de Subasic à deux reprises, sur une frappe limpide signée Pierre Bouby (41 e) et un missile de Sadio Mané (45 e + 1). Et la plupart des occasions, aussi molles soient-elles, ont été en leur faveur. Mais tout ça est resté vain. Cette seconde zone de vérité, chère à l’entraîneur lorrain, est restée inviolée.
Et rien n’y a fait. Pas même le nouveau dispositif avec trois joueurs à vocation offensive aux avant-postes. La faute à une équipe plombée par ses doutes, improductive à l’approche du but adverse et à l’abus de longs ballons qui n’ont jamais pris à défaut une défense monégasque très attentive et qui a sans doute bénéficié de la bienveillance de M. Moreira sur cette double faute dans la surface de réparation sur Wagué et Mané (60 e).
Si les 13 733 spectateurs – nouveau record d’affluence – massés dans les travées de Saint-Symphorien ont longtemps cru (espéré tout le moins) à l’égalisation de leur équipe, le scénario de la rencontre, lui, était écrit d’avance. Metz ne sait plus marquer. À l’image de ces coups de tête d’Andy Delort (56 e) et de Ludovic Guerriero (61 e), flirtant avec les montants du gardien de l’AS Monaco. Un simple flirt. Pas une histoire sérieuse. Personne, ce matin, ne pourra reprocher à cette équipe messine d’avoir tenté. Par contre, offrir de tels cadeaux à une formation monégasque, certes sérieuse et disciplinée mais loin d’être la machine à gagner que d’aucuns pouvaient craindre, frise la faute professionnelle. Et Metz plonge dans le rouge.
Jean-Sébastien GALLOIS
Hier soir, face à Monaco, les Messins ont fait la douloureuse expérience de la froide réussite d’une équipe en pleine confiance. Une occasion et demie, deux buts. Avec l’aide, il est vrai, d’une défense particulièrement attentiste dans les deux cas. C’était pourtant sur une présence irréprochable dans l’une de ces zones, dites de vérité, que Dominique Bijotat avait axé son discours à la veille de cette rencontre. Las, son équipe a, une nouvelle fois, « offert » deux buts à son adversaire. En laissant tout d’abord le vétéran Ludovic Giuly glisser le ballon dans les filets d’Oumar Sissoko qui venait de repousser une frappe de Germain sans que personne ne réagisse côté lorrain (0-1, 7 e). Puis en laissant tout le loisir à Salli, à peine entré en jeu, de fusiller le gardien messin à bout portant (0-2, 85 e)
Deux errances, en tout début et en toute fin de match, qui coûtent très très cher. Car ce matin, le FC Metz, dix-huitième, s’est réveillé dans la peau d’un relégable à égalité de points avec Le Havre, mais surtout avec deux unités de retard sur Le Mans, vainqueur d’Amiens sur le fil (3-2). Un statut qui pendait au nez de Ludovic Guerriero et de ses partenaires depuis de longues semaines. Le mal est donc fait.
Une évidence au regard de la rencontre d’hier soir ? Oui puisque l’équipe de Dominique Bijotat, remaniée dans les grandes largeurs en raison des absences des uns et des autres (avec un duo inédit et inexpérimenté dans l’axe central) et selon le vœu de l’entraîneur messin, a été incapable de concrétiser ses temps forts. Et non, car le FC Metz a eu ce petit soupçon d’orgueil d’une équipe qui lutte pour sa survie en Ligue 2. Ce supplément d’âme qui avait fait tant défaut la semaine passée à Amiens. Mais un sursaut. Rien de plus…
Des occasions, en vain
Car se retrancher derrière le fait que les Messins ont produit, hier, une prestation plus digeste ne change rien au problème. Dans leur situation, il n’est plus question de s’en satisfaire. Non. Certes, ces derniers ont eu le monopole du ballon. La belle affaire… Oui, ils ont même fait trembler les poteaux de Subasic à deux reprises, sur une frappe limpide signée Pierre Bouby (41 e) et un missile de Sadio Mané (45 e + 1). Et la plupart des occasions, aussi molles soient-elles, ont été en leur faveur. Mais tout ça est resté vain. Cette seconde zone de vérité, chère à l’entraîneur lorrain, est restée inviolée.
Et rien n’y a fait. Pas même le nouveau dispositif avec trois joueurs à vocation offensive aux avant-postes. La faute à une équipe plombée par ses doutes, improductive à l’approche du but adverse et à l’abus de longs ballons qui n’ont jamais pris à défaut une défense monégasque très attentive et qui a sans doute bénéficié de la bienveillance de M. Moreira sur cette double faute dans la surface de réparation sur Wagué et Mané (60 e).
Si les 13 733 spectateurs – nouveau record d’affluence – massés dans les travées de Saint-Symphorien ont longtemps cru (espéré tout le moins) à l’égalisation de leur équipe, le scénario de la rencontre, lui, était écrit d’avance. Metz ne sait plus marquer. À l’image de ces coups de tête d’Andy Delort (56 e) et de Ludovic Guerriero (61 e), flirtant avec les montants du gardien de l’AS Monaco. Un simple flirt. Pas une histoire sérieuse. Personne, ce matin, ne pourra reprocher à cette équipe messine d’avoir tenté. Par contre, offrir de tels cadeaux à une formation monégasque, certes sérieuse et disciplinée mais loin d’être la machine à gagner que d’aucuns pouvaient craindre, frise la faute professionnelle. Et Metz plonge dans le rouge.
Jean-Sébastien GALLOIS
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Re: R.L. du 14/04/2012 - Metz dans la rouge
EN VUE
Sadio Mané. Encore une fois, le petit milieu de terrain sénégalais s’est voulu être le dynamiteur d’une équipe messine qui a toutes les peines du monde à trouver le chemin des filets. Ses dribbles et ses accélérations ont considérablement gêné la défense monégasque. Une tête au premier poteau (19 e) et, surtout, un enchaînement contrôle de la poitrine-frappe du pied droit à l’entrée de la surface de réparation auraient mérité meilleur sort.
DANS L’OMBRE
Andy Delort. Buteur face à Boulogne-sur-Mer quinze jours plus tôt, Andy Delort a, cette fois, quitté la pelouse de Saint-Symphorien la tête basse, comme l’ensemble de ses coéquipiers. L’attaquant prêté par Ajaccio s’est démené en vain à la pointe de l’attaque messine aux côtés de Matthieu Duhamel, rappelé sur le banc par Dominique Bijotat à un quart d’heure du coup de sifflet final. Rarement bien servi, Andy Delort n’a pas eu l’occasion de se mettre évidence.
Mamadou Wague. Pour sa première apparition sous le maillot messin, Mamadou Wague n’a pas été gâté avec une ouverture du score prématurée, signée Ludovic Giuly, qui a impliqué toute la défense lorraine. Associé à Bruce Abdoulaye pour former une charnière centrale inédite, il n’a pas réussi à s’imposer face aux attaquants de la Principauté.
PAROLES, PAROLES
Dominique Bijotat ( entraîneur de Metz) : « On a vu une équipe de Monaco composée de joueurs venant de grands championnats. De notre côté, on manque de rigueur dans les deux surfaces de réparation et on frappe plusieurs fois les montants. On s’est créé des situations dangereuses, on a su bousculer une équipe de Monaco, malheureusement, on n’a pas été efficace. »
Marco Simone ( entraîneur de Monaco) : « En deuxième mi-temps, Metz méritait d’égaliser et le deuxième but a tout changé. L’équipe se sent bien actuellement, elle a acquis beaucoup d’expérience dans la difficulté. On va essayer d’aller chercher le maintien, qui était inenvisageable il y a quelques mois, le plus vite possible. On est sur une série extraordinaire et s’il y a la place pour aller chercher quelque chose, on ne s’en privera pas. »
Pierre Bouby ( milieu de terrain de Metz) : « On prend deux buts sur deux errances, on manque de concentration et Monaco est une équipe qui pique au moment où on s’y attend le moins. En plus, on frappe deux fois sur les poteaux, c’est super frustrant ! »
TEMPS ADDITIONNEL
Au coup de sifflet final, Oumar Sissoko, qui venait de passer la deuxième mi-temps adossé à la tribune Ouest, s’est dirigé immédiatement vers les supporters messins en en pointant particulièrement un du doigt. Le ton est monté et il a fallu l’intervention des services de sécurité pour retenir le gardien lorrain en colère : selon certaines sources, ce dernier aurait été victime d’injures racistes. Un fait qui n’a pu être confirmé hier soir. Tout comme n’ont pas été expliquées les raisons qui ont poussé Jean-Pascal Singla, l’entraîneur des gardiens messin, à sortir de ses gonds devant l’emplacement déserté quelques instants plus tôt par les membres de Génération Grenat, qui a décliné toute responsabilité dans cet incident.
Maxime RODHAIN.
Sadio Mané. Encore une fois, le petit milieu de terrain sénégalais s’est voulu être le dynamiteur d’une équipe messine qui a toutes les peines du monde à trouver le chemin des filets. Ses dribbles et ses accélérations ont considérablement gêné la défense monégasque. Une tête au premier poteau (19 e) et, surtout, un enchaînement contrôle de la poitrine-frappe du pied droit à l’entrée de la surface de réparation auraient mérité meilleur sort.
DANS L’OMBRE
Andy Delort. Buteur face à Boulogne-sur-Mer quinze jours plus tôt, Andy Delort a, cette fois, quitté la pelouse de Saint-Symphorien la tête basse, comme l’ensemble de ses coéquipiers. L’attaquant prêté par Ajaccio s’est démené en vain à la pointe de l’attaque messine aux côtés de Matthieu Duhamel, rappelé sur le banc par Dominique Bijotat à un quart d’heure du coup de sifflet final. Rarement bien servi, Andy Delort n’a pas eu l’occasion de se mettre évidence.
Mamadou Wague. Pour sa première apparition sous le maillot messin, Mamadou Wague n’a pas été gâté avec une ouverture du score prématurée, signée Ludovic Giuly, qui a impliqué toute la défense lorraine. Associé à Bruce Abdoulaye pour former une charnière centrale inédite, il n’a pas réussi à s’imposer face aux attaquants de la Principauté.
PAROLES, PAROLES
Dominique Bijotat ( entraîneur de Metz) : « On a vu une équipe de Monaco composée de joueurs venant de grands championnats. De notre côté, on manque de rigueur dans les deux surfaces de réparation et on frappe plusieurs fois les montants. On s’est créé des situations dangereuses, on a su bousculer une équipe de Monaco, malheureusement, on n’a pas été efficace. »
Marco Simone ( entraîneur de Monaco) : « En deuxième mi-temps, Metz méritait d’égaliser et le deuxième but a tout changé. L’équipe se sent bien actuellement, elle a acquis beaucoup d’expérience dans la difficulté. On va essayer d’aller chercher le maintien, qui était inenvisageable il y a quelques mois, le plus vite possible. On est sur une série extraordinaire et s’il y a la place pour aller chercher quelque chose, on ne s’en privera pas. »
Pierre Bouby ( milieu de terrain de Metz) : « On prend deux buts sur deux errances, on manque de concentration et Monaco est une équipe qui pique au moment où on s’y attend le moins. En plus, on frappe deux fois sur les poteaux, c’est super frustrant ! »
TEMPS ADDITIONNEL
Au coup de sifflet final, Oumar Sissoko, qui venait de passer la deuxième mi-temps adossé à la tribune Ouest, s’est dirigé immédiatement vers les supporters messins en en pointant particulièrement un du doigt. Le ton est monté et il a fallu l’intervention des services de sécurité pour retenir le gardien lorrain en colère : selon certaines sources, ce dernier aurait été victime d’injures racistes. Un fait qui n’a pu être confirmé hier soir. Tout comme n’ont pas été expliquées les raisons qui ont poussé Jean-Pascal Singla, l’entraîneur des gardiens messin, à sortir de ses gonds devant l’emplacement déserté quelques instants plus tôt par les membres de Génération Grenat, qui a décliné toute responsabilité dans cet incident.
Maxime RODHAIN.
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Re: R.L. du 14/04/2012 - Metz dans la rouge
Metz chez le leader
Le match. Lyon-Duchère : 1 er avec 75 pts (14v, 8n, 3d) ; dernier match : nul à Amnéville (1-1). Metz : 6 e avec 59 pts (10v, 6n, 7d) ; dernier match : défaite à Bourg Péronnas (1-0).
L’enjeu. Après un déplacement à Bourg-Péronnas, mercredi, en match en retard, les Messins reprennent la direction de la région Rhône-Alpes aujourd’hui pour y affronter Lyon-Duchère. Alors qu’ils étaient parvenus à enchaîner trois victoires d’affilié, les joueurs de José Pinot ont chuté face à Bourg-Péronnas. Ils affrontent, cette fois, un nouveau cador du championnat puisque les Lyonnais sont en tête du classement. Les Rhodaniens qui comptaient cinq succès consécutifs n’ont pu faire mieux que nul à Amnéville en milieu de semaine (1-1). Pour leur troisième match en huit jours, les Mosellans vont donc tenter de faire tomber cette série d’invincibilité.
L’avis de l’entraîneur, José Pinot. « Nous allons tenter de jouer les trouble-fête. À Bourg-Péronnas cela s’est joué à peu de choses. Nous avons fait un bon match il n’a manqué que le but. »
L’effectif. José Pinot a convoqué seize joueurs dont Joris Delle. Le gardien messin, reprend la compétition après sa longue blessure. Plusieurs éléments non retenus avec les pros participeront également à cette rencontre. Le groupe : Delle, Aissi-Kédé – Kayombo, Croizet, Bernardelli, Deher, Martin – Fawzi, N’Doye, Le, Sarr, Wang Chu, N’Gbakoto, Kehli – Vinko, N’Sor.
L. J.
Le match. Lyon-Duchère : 1 er avec 75 pts (14v, 8n, 3d) ; dernier match : nul à Amnéville (1-1). Metz : 6 e avec 59 pts (10v, 6n, 7d) ; dernier match : défaite à Bourg Péronnas (1-0).
L’enjeu. Après un déplacement à Bourg-Péronnas, mercredi, en match en retard, les Messins reprennent la direction de la région Rhône-Alpes aujourd’hui pour y affronter Lyon-Duchère. Alors qu’ils étaient parvenus à enchaîner trois victoires d’affilié, les joueurs de José Pinot ont chuté face à Bourg-Péronnas. Ils affrontent, cette fois, un nouveau cador du championnat puisque les Lyonnais sont en tête du classement. Les Rhodaniens qui comptaient cinq succès consécutifs n’ont pu faire mieux que nul à Amnéville en milieu de semaine (1-1). Pour leur troisième match en huit jours, les Mosellans vont donc tenter de faire tomber cette série d’invincibilité.
L’avis de l’entraîneur, José Pinot. « Nous allons tenter de jouer les trouble-fête. À Bourg-Péronnas cela s’est joué à peu de choses. Nous avons fait un bon match il n’a manqué que le but. »
L’effectif. José Pinot a convoqué seize joueurs dont Joris Delle. Le gardien messin, reprend la compétition après sa longue blessure. Plusieurs éléments non retenus avec les pros participeront également à cette rencontre. Le groupe : Delle, Aissi-Kédé – Kayombo, Croizet, Bernardelli, Deher, Martin – Fawzi, N’Doye, Le, Sarr, Wang Chu, N’Gbakoto, Kehli – Vinko, N’Sor.
L. J.
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Re: R.L. du 14/04/2012 - Metz dans la rouge
Et une éviction de Bijotat, c'est pour quand? Il n'a plus de crédit. La victoire de Boulogne a remis son compteur "condiance du president" au taquet ou quoi?
Il ne reste plus beaucoup de matchs, mais il n'est jamais trop tard pour bien faire.
Il ne reste plus beaucoup de matchs, mais il n'est jamais trop tard pour bien faire.
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Re: R.L. du 14/04/2012 - Metz dans la rouge
Sur le match d'hier, on peut reprocher quoi aux joueurs et à DB ? DB a fait en sorte de mettre un dispositif promettant plus de jeu, et du jeu il y en a eu plus que sur les derniers matchs. Ils ont promis qu'ils allaient se battre, ils se sont battus. Mais voîlà, on a vu d'un côté une équipe pas en confiance, qui est pas réaliste et qui a encore trop d'errements, et de l'autre côté une équipe en confiance qui a besoin d'1 occasion et demie pour mettre 2 buts. Point.
- chips
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Re: R.L. du 14/04/2012 - Metz dans la rouge
Certes, mais si avec 20 occasions dans une rencontre, on arrive pas a en mettre une au fond, je ne voit pas comment on peut gagner encore des matchs....Kent' a écrit :Sur le match d'hier, on peut reprocher quoi aux joueurs et à DB ? DB a fait en sorte de mettre un dispositif promettant plus de jeu, et du jeu il y en a eu plus que sur les derniers matchs. Ils ont promis qu'ils allaient se battre, ils se sont battus. Mais voîlà, on a vu d'un côté une équipe pas en confiance, qui est pas réaliste et qui a encore trop d'errements, et de l'autre côté une équipe en confiance qui a besoin d'1 occasion et demie pour mettre 2 buts. Point.
Et si on ne gagne pas, comment peut on se maintenir ???
Il ne faut pas non plus oublier que le FC Metz a remporté une seule petite victoire lors des 14 dernières rencontres !!!
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Re: R.L. du 14/04/2012 - Metz dans la rouge
Il est sauvé car on a tiré deux fois sur les poteaux. Si on perd, c'est faute à pas de chance. Et pis c'était vendredi 13...metz59 a écrit :Et une éviction de Bijotat, c'est pour quand? Il n'a plus de crédit. La victoire de Boulogne a remis son compteur "condiance du president" au taquet ou quoi?
Il ne reste plus beaucoup de matchs, mais il n'est jamais trop tard pour bien faire.
- champ d'or
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Re: R.L. du 14/04/2012 - Metz dans la rouge
Pourquoi se focaliser sur le match d'hier ??? DB est jugé sur l'ensemble de son oeuvre c'est à dire une saison 2010/2011 calamiteuse, une série de 5 défaites l'automne dernier et une magnifique phase retour en cours digne des clubs perdus dans une division à laquelle ils ne méritent pas d'appartenir.Kent' a écrit :Sur le match d'hier, on peut reprocher quoi aux joueurs et à DB ? DB a fait en sorte de mettre un dispositif promettant plus de jeu, et du jeu il y en a eu plus que sur les derniers matchs. Ils ont promis qu'ils allaient se battre, ils se sont battus. Mais voîlà, on a vu d'un côté une équipe pas en confiance, qui est pas réaliste et qui a encore trop d'errements, et de l'autre côté une équipe en confiance qui a besoin d'1 occasion et demie pour mettre 2 buts. Point.
Alors les 2 poteaux d'hier on s'en tamponne le coquillard, c'est le roseau qui cache le baobab.
On fait quoi selon toi ??? On continue encore la purge ??? T'en veux encore de cette misère sportive du vendredi soir ? Mais bon sang de bois, quand vous êtes malades vous vous soignez nan ? Ben le FC Metz a besoin de sa thérapie pour soigner sa gangrène :marteau: DB !
- chevaliergrenat
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- Inscription : 27 août 2009, 11:04
Re: R.L. du 14/04/2012 - Metz dans la rouge
ouai SISSOKO, GUERRIERO et compagnie plutot que d'etre si sanguins et virulants envers le public, c'est plutot sur le terrain qu'il faudrait l'etre. Mais bon on ne fera pas de bourrins des chevaux de course. Ils sont mauvais un point c'est tout. La pire equipe et la plus pauvre techniquement que l'on est connu. Ils sont mauvais c'est tout et le NATIONAL on n'y echappera pas cet année. LE MANS gagne, LENS gagne, ANGERS gagne, LE HAVRE va s'en sortir, BOULOGNE et AMIENS condamnés nous on y va tout droit et c'est pour cette année. Il n'y a rien a METZ pas d'equipe des joueurs pauvres techniquement sans âmes, des dirigeants dépassés et à l'ouest, qui plus est un entraineur dont les compositions d'equipe relevent du X FILES. Mais avez vous vu jouer WAGUE hier ??? Quel desastre c'est un pro ca ????
- Piou
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Re: R.L. du 14/04/2012 - Metz dans la rouge
Tu as raison. Mais comment savoir d'ou viens le problème? Les causes sont multiples certainement. Je laisse aux personnes plus compétentes que moi dans le domaine le soin de trouver les causes du naufrage, mais pas sur que de changer la partie émergée de l'iceberg change quelque chose.champ d'or a écrit : On fait quoi selon toi ??? On continue encore la purge ??? T'en veux encore de cette misère sportive du vendredi soir ? Mais bon sang de bois, quand vous êtes malades vous vous soignez nan ? Ben le FC Metz a besoin de sa thérapie pour soigner sa gangrène :marteau: DB !
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