« Un esprit commando. » Dominique Bijotat a donné le mot d’ordre pour le déplacement à Lens. Où Thierry Steimetz et Yohan Betsch n’apparaîtront pas.
Contraint de se passer des services de Sadio Mané, suspendu, Dominique Bijotat a choisi de se priver d’un autre joueur de ballon : le nom de Thierry Steimetz ne figure pas sur la liste des seize éléments qui ont pris la direction de Lens hier en début d’après-midi. Le milieu de terrain n’est pas le seul à avoir fait les frais des choix de l’entraîneur messin. Yohan Betsch, titulaire la semaine passée, n’a pas été retenu non plus.
Son absence ne constituera pas le seul changement par rapport à la dernière sortie des Messins. Hier matin, la mise en place a en effet indiqué qu’il fallait s’attendre à plusieurs modifications. La mise en place et le discours de l’entraîneur à l’issue de la séance : « Certains ont beaucoup joué, il y a un phénomène d’usure physique […]. Certains ne sont pas à leur niveauen ce moment […]. On a besoin de onze garçons décidés, avec un esprit commando, pour nous aider à quitter cette dix-huitième place. »
N’Sor, première ?
Traduits sur tableau noir, ces propos pourraient déboucher sur un onze de départ où Mathieu Duhamel n’apparaîtrait pas. A en croire la dernière répétition, c’est en effet la paire Andy Delort – Kwame N’Sor qui tient la corde. N’Sor, 19 ans, attaquant d’origine ghanéenne, livrerait alors sa première titularisation : « C’est un garçon qui n’a pas énormément de vécu mais il est en progrès et possède de vraies qualités d’attaquant. Je pense qu’il peut amener un brin de fraîcheur. »
C’est aussi ce qui sera demandé à Stéphane Besle, de retour de suspension, et promis à un duo inédit lui aussi avec Mamadou Wague dans l’axe de la défense. Exit, donc, Bruce Abdoulaye, qui devrait débuter sur le banc des remplaçants.
Au milieu de terrain, Pierre Bouby, auteur d’un match solide face à Monaco, et Ludovic Guerriero, l’un des joueurs les plus utilisés cette saison par Dominique Bijotat, seront, eux, entourés par Kévin Diaz et Oumar Pouye sur les côtés.
C. B.
(et Metz attend depuis 2 ans un coach, un vrai,,,)
R.L. du 20/04/2012 - Bijotat veut des hommes, des vrais
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Re: R.L. du 20/04/2012 - Bijotat veut des hommes, des vrais
Vraisemblablement donc :
Sissoko
Métanire Besle Wagué Tamboura
Pouye Guerriero Bouby Diaz
Delort N'Sor
Sissoko
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Pouye Guerriero Bouby Diaz
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Re: R.L. du 20/04/2012 - Bijotat veut des hommes, des vrais
FC Metz : l’heure de la ramener
Retombé dans l’inconfort de la zone rouge la semaine dernière, Metz s’attaque au premier des six derniers virages de la saison, ce soir à Lens. D’où il serait préférable, pour lui, de ramener un petit quelque chose…Notez cet article

A Saint-Symphorien, Kévin Diaz et les Messins avaient tenu Lens en respect. L’heure de la seconde manche a sonné, dans un contexte délicat pour les Grenats, premiers relégables. Photo Pascal BROCARD
"N ous avons encore trois rencontres à domicile, la première d’entre-elles sera déterminante. » La première en question n’est pas pour aujourd’hui. Dominique Bijotat et ses joueurs devront en effet attendre vendredi prochain pour accueillir Angers, un des nombreux concurrents présents sur le front de la guerre du maintien.
D’ici-là, un autre rendez-vous attend les Messins, d’importance lui aussi. A six marches de la fin de saison – et vu leur (in) efficacité ces derniers temps à Saint-Symphorien –, il serait de toute façon suicidaire pour eux de ne miser que sur les seules échéances prévues à domicile pour espérer échapper à la guillotine de la relégation. Avant Angers, donc, Lens : ce soir, à Félix-Bollaert, Metz a l’occasion de décrocher ce « bonus » qui pourrait lui sauver la mise à l’heure du décompte final.
Primordiale pour les Messins, cette affiche l’est tout autant pour leurs homologues nordistes. C’est en tout cas ce qu’estime Dominique Bijotat : « Une victoire les maintiendrait presque officiellement en Ligue 2… Mais si Le Mans s’est imposé là-bas il y a quinze jours, c’est qu’il y a peut-être quelque chose à faire. » Entre temps, les Lensois ont décroché un succès probant à Tours (0-3) la semaine passée...
Mis sous pression par Bernard Serin, il y a quinze jours, à l’heure de recevoir Boulogne dans la peau du dix-huitième, sauvé par le succès de ses troupes, le technicien messin aborde cette 33 e journée de championnat dans les mêmes conditions. Ultimatum présidentiel en moins. Dans la foulée de sa victoire face aux Boulonnais, un nul à Amiens et la défaite contre Monaco, la semaine passée, ont en effet ramené les Messins en-dessous de la ligne de flottaison. Là où il ne fait pas bon vivre. Là où la tension s’invite plus facilement qu’ailleurs.
« Ça pèse, forcément »
Le frais souvenir des incidents qui ont émaillé l’après-match, vendredi dernier, semble pourtant s’être évaporé dans l’esprit de l’entraîneur messin. Ce dernier préfère parler de « la déception » de ses hommes, de l’usure psychologique ressentie par certains d’entre-eux. « Ça pèse, forcément. Il y a des joueurs qui avaient déjà vécu une fin de parcours difficile la saison passée. Mais très sincèrement, je n’ai pas senti de tension dans la durée. » Soit.
Une semaine après avoir donc exprimé, sous des formes différentes, la déception d’avoir laissé Monaco filer avec trois points, les joueurs messins disposent d’une soirée pour inverser la tendance. Comment ? En ramenant quelque chose de leur escapade. Une victoire serait, du reste, une première cette année : le dernier succès à l’extérieur du FC Metz remonte au 2 décembre 2011, sur la pelouse monégasque (0-2). Un autre temps marqué par des préoccupations bien moins effrayantes que celles qui escortent à présent Dominique Bijotat et les siens.
Le metteur en scène se refuse à parler de peur. « Ce n’est jamais très bon. » A quelques semaines de la fin annoncée de son aventure messine – et du bilan qui clôturera ses deux années passées à la tête de l’équipe –, Dominique Bijotat continue de se poser en père protecteur. Ses joueurs ont six matches devant eux pour lui rendre la pareille. Six matches pour réussir ce qu’ils avaient réussi en mai 2011, à savoir échapper au pire. Ludovic Guerriero, le capitaine messin, l’a promis la semaine passée : « En fin de saison, on va se maintenir. »
Cédric BROUT.
Retombé dans l’inconfort de la zone rouge la semaine dernière, Metz s’attaque au premier des six derniers virages de la saison, ce soir à Lens. D’où il serait préférable, pour lui, de ramener un petit quelque chose…Notez cet article

A Saint-Symphorien, Kévin Diaz et les Messins avaient tenu Lens en respect. L’heure de la seconde manche a sonné, dans un contexte délicat pour les Grenats, premiers relégables. Photo Pascal BROCARD
"N ous avons encore trois rencontres à domicile, la première d’entre-elles sera déterminante. » La première en question n’est pas pour aujourd’hui. Dominique Bijotat et ses joueurs devront en effet attendre vendredi prochain pour accueillir Angers, un des nombreux concurrents présents sur le front de la guerre du maintien.
D’ici-là, un autre rendez-vous attend les Messins, d’importance lui aussi. A six marches de la fin de saison – et vu leur (in) efficacité ces derniers temps à Saint-Symphorien –, il serait de toute façon suicidaire pour eux de ne miser que sur les seules échéances prévues à domicile pour espérer échapper à la guillotine de la relégation. Avant Angers, donc, Lens : ce soir, à Félix-Bollaert, Metz a l’occasion de décrocher ce « bonus » qui pourrait lui sauver la mise à l’heure du décompte final.
Primordiale pour les Messins, cette affiche l’est tout autant pour leurs homologues nordistes. C’est en tout cas ce qu’estime Dominique Bijotat : « Une victoire les maintiendrait presque officiellement en Ligue 2… Mais si Le Mans s’est imposé là-bas il y a quinze jours, c’est qu’il y a peut-être quelque chose à faire. » Entre temps, les Lensois ont décroché un succès probant à Tours (0-3) la semaine passée...
Mis sous pression par Bernard Serin, il y a quinze jours, à l’heure de recevoir Boulogne dans la peau du dix-huitième, sauvé par le succès de ses troupes, le technicien messin aborde cette 33 e journée de championnat dans les mêmes conditions. Ultimatum présidentiel en moins. Dans la foulée de sa victoire face aux Boulonnais, un nul à Amiens et la défaite contre Monaco, la semaine passée, ont en effet ramené les Messins en-dessous de la ligne de flottaison. Là où il ne fait pas bon vivre. Là où la tension s’invite plus facilement qu’ailleurs.
« Ça pèse, forcément »
Le frais souvenir des incidents qui ont émaillé l’après-match, vendredi dernier, semble pourtant s’être évaporé dans l’esprit de l’entraîneur messin. Ce dernier préfère parler de « la déception » de ses hommes, de l’usure psychologique ressentie par certains d’entre-eux. « Ça pèse, forcément. Il y a des joueurs qui avaient déjà vécu une fin de parcours difficile la saison passée. Mais très sincèrement, je n’ai pas senti de tension dans la durée. » Soit.
Une semaine après avoir donc exprimé, sous des formes différentes, la déception d’avoir laissé Monaco filer avec trois points, les joueurs messins disposent d’une soirée pour inverser la tendance. Comment ? En ramenant quelque chose de leur escapade. Une victoire serait, du reste, une première cette année : le dernier succès à l’extérieur du FC Metz remonte au 2 décembre 2011, sur la pelouse monégasque (0-2). Un autre temps marqué par des préoccupations bien moins effrayantes que celles qui escortent à présent Dominique Bijotat et les siens.
Le metteur en scène se refuse à parler de peur. « Ce n’est jamais très bon. » A quelques semaines de la fin annoncée de son aventure messine – et du bilan qui clôturera ses deux années passées à la tête de l’équipe –, Dominique Bijotat continue de se poser en père protecteur. Ses joueurs ont six matches devant eux pour lui rendre la pareille. Six matches pour réussir ce qu’ils avaient réussi en mai 2011, à savoir échapper au pire. Ludovic Guerriero, le capitaine messin, l’a promis la semaine passée : « En fin de saison, on va se maintenir. »
Cédric BROUT.
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Re: R.L. du 20/04/2012 - Bijotat veut des hommes, des vrais
Une fois n'est pas coutume, je trouve ce titre excellent de la part du R.L.RL a écrit :FC Metz : l’heure de la ramener

Une belle manière de tacler Guerriero sans le nommer...

Re: R.L. du 20/04/2012 - Bijotat veut des hommes, des vrais
J'espère que cette compo est une blague ......
Wagué à la rue contre Monaco et de nouveau titulaire
Bouby en milieu défensif , déjà qu'il n'a pas sa place à son poste ......
Guerriero plutôt que betch et fleurival .......
Pouye alors là c'est de la science fiction
Quand à N'Sor ???????
Metz prépare le national
Wagué à la rue contre Monaco et de nouveau titulaire
Bouby en milieu défensif , déjà qu'il n'a pas sa place à son poste ......
Guerriero plutôt que betch et fleurival .......
Pouye alors là c'est de la science fiction
Quand à N'Sor ???????
Metz prépare le national
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Re: R.L. du 20/04/2012 - Bijotat veut des hommes, des vrais
...et Abdoulaye n'avait pas démérité contre Monaco...
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Re: R.L. du 20/04/2012 - Bijotat veut des hommes, des vrais
Je pense pareil.henrik larsson a écrit :J'espère que cette compo est une blague ......
Wagué à la rue contre Monaco et de nouveau titulaire
Bouby en milieu défensif , déjà qu'il n'a pas sa place à son poste ......
Guerriero plutôt que betch et fleurival .......
Pouye alors là c'est de la science fiction
Quand à N'Sor ???????
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Bijotat s'en fout, il ne sera plus là dans quelques semaines.
Les dirigeants messins sont vraiment à la rue.
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Re: R.L. du 20/04/2012 - Bijotat veut des hommes, des vrais
Je ne suis pas d'accord ! Je m'attendais à pire, même si N'sor est un pari risqué.
- drac
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Re: R.L. du 20/04/2012 - Bijotat veut des hommes, des vrais
pire ?DCD a écrit :Je ne suis pas d'accord ! Je m'attendais à pire, même si N'sor est un pari risqué.
mais les pires sont sur la feuille de match.
- DCD
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Re: R.L. du 20/04/2012 - Bijotat veut des hommes, des vrais
Bouby en milieu déf' c'est une place de libre pour Diaz et une défense à 4 avec des joueurs à leur poste.drac a écrit :pire ?DCD a écrit :Je ne suis pas d'accord ! Je m'attendais à pire, même si N'sor est un pari risqué.
mais les pires sont sur la feuille de match.
Bref ! C'est déjà mieux que face à Boulogne et Amiens

Evidemment, au milieu et en attaque, beaucoup auraient préféré Betsch à Bouby, N'gbakoto à Pouye et Duhamel à N'Sor.
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