Track a écrit :J'ai l'impression d'entendre Serin l'année dernière ("Sur la deuxième mi-temps, on fait 0-0.")
C'est des réactions à la Bijotat ou à la Pouliquen ça. :D
Il faut effectivement se remettre en question, car se mettre au niveau des équipes faibles contre qui on joue, c'est pas vraiment encourageant.
Les joueurs sous-estime inconsciemment les équipes contre qui elle joue. Elle a beau dire qu'elle s'est remis en question c'est faux.
Il faut vraiment se remettre en question pour se sortir de cette situation, sinon nous arriverons pas à imposer et à élever le niveau face à de petites équipes.
C'est d'ailleurs ce qu'il s'est passé en ligue 2 lorsque nous venions de descendre. On se voyait trop beau trop fort pour la ligue 2.
Nos matchs face aux gros on les gagner en général, car on savait le niveau auquel on devait faire notre match. Mais face aux petits, en ne se remettant pas en question, on s'est fait niquer des dizaines de points.
J'ai pas envie de louper la montée pour les mêmes raisons qu'on a loupé nos montée il y a 2-3 ans, car on se voit trop fort trop beau pour le national.
Je suis pas du tout d'accord avec ton analyse.
Premièrement on fait déja un parcours excellent, et c'est pas 2 nuls à l'extérieur qui vont l'entacher.
Et surtout deuxièmement, vous vous rendez pas compte à quel point il est difficile pour une équipe qui joue pour gagner de poser le jeu et de marquer sur des terrains pourris (comme à Uzes, et Fréjus) et petits face à des équipes qui reçoivent LE club historique de la division, et qui se prépare en conséquence, poussé par un public plus nombreux qu'à l'habitude avide de faire tomber le favori du championnat.
On ne gagnera pas tous nos matchs même à domicile, alors si parfois on doit se contenter d'un nul à l'extérieur quand on arrive pas à gagner, ça sera un moindre mal.
Vous reprochez à nos joueurs de se sentir trop fort, et que c'est cela qui expliquerait nos "non-victoires", mais en disant cela, c'est vous qui faites un complexe de supériorité, croyant qu'on est tellement fort que si on gagne pas, c'est forcément parce qu'on était pas sérieux, sous-estimant ainsi l'adversaire et le contexte.